
 
		GRAVENCHE. — Les  Jll^iSpiôïïd de 
 loin au bruit ( jr t^ ^ d ,0iutîén*,du>Watit<'ëi  en^spÉiut'liâKt^ilTOS^I'fflwd’eau. Elles  
 -imitent, dans  ce  mouvement des  mâchoires,  le barbottement  les 
 attire^^fcL®eur^^^^Mlunrês  surle-T'î^a’^ëi’Lorê4 u^®léfe:hretifee^dà''-fll,e1» é e   
 .psécautioïiji-'arïîipeiffifeFli'âïûettre enwéservoi'dvà'dù'-eHi^®«i?ênt  soin 
 y flpK&jjw H ) Teàîi^ é^ uenïËû.feW& 'fî^ sl^ fé^ ^ '‘fôfujours1  t r è s ^ lW ^ A r a ^ U ! . K ®   
 'terrips,  Ie#Bo'ifso^^^^ft)jent' /ôikgeftres; êtïie tardent Val1 atpMi^'gles.ffifcrt u t  
 tl^e?“pAr oelk,  aessÆa^à^ra^^^^Her^^îPem ne  p%Gt pasngaiî4 ^r^Éis^l  Ip.g-  
 temps en fettumtf.' T?ou ôfe^lomacLekt- 1  @win|ud i». i léhm -ad fpjsi^TiiHâges" et  dl@fc.tes  
 aquatiques.  Il^fc-assez"curieux^que  desAaimaux  à  canal  intestinal  aussPRirt  
 sdieut beriâ'W§&-,La»^aâppst;]^tts tferi^dte^efesitaÉd!ei<^^^ëLfê»4e.4aâ6éraf. 
 GRAVETTE.  -^®n-sd3aiô^46n=*Bretagne,  lê  4-17) m 
 ^M^ÿM^ânn'éTOey'erranU que B^PHWîiY^ùrfTOMffd  
 .  de  ta  pour  la 
 '^^ ^ ^ CnW s^ .s"m a r in s  M R P 
 F i g .   44 7 4 ^ ^ ^WB te  blanche. :  .  -.  %  x f=-eoïB;Ba& de 'spWfëm ~- 
 GRAVIER. ^SofnaoSiê ?<JI?momv-âli Yéro i  d ans1  ff^Wpaa^m'L  ) < 
 (Y o y.  V éron . ) 
 g r e l in . —’SfYoy.  Pêche'a la lioMe jn -^merI I ^ j 
 GRELOTS. BSYnJ^m-Ecri o i$m,s  
 Grelots  q u e f f e » gîîSïw^ pîjïri' in b r ï^ s ie sp j& tîu  ineriKPBÎ*^?m^ÿifil  
 p o r ten t,  ehézUeïs  q u in c a illie r s, le   n°  3 «GrBtju-î' a é n e t^ w e   cFHfc ien ts   ijaii'Ke^dt;  m-  
 tant.-qpefpossîb|e',  -régsdfers ;et*isans  aspé9^ ^ ÿ [â i^ ^ ^ ^B ew lSA i^ r  uéMm'enir  
 ^ccrôTdkées  qu’on-g-metfirait.  '  1 
 GREMEUILLE. — Nom donné,' en'Loiraine3^ m RwO(‘fieùrs^. '2 la ^Minlli  
 j8pt^^^p^qVf(;qnni(T«!t (Yoy. fflK.ram*J ** 
 GRÉMXLLE \Géir&, (Acerina, Guyyv— Par rdMtfrlÆepffi|K3j s.Lieupllf s v1 ij|pp||yient  
 extrêmement dés Perches, mais leurs darsaièi^nwmhiiês'; 'dëgpmï M^Finil1- oauûStl ieu m ’'deBni-ni-  
 breuses cavités,' et enfin  lé^préonerculb est  fortement deûlr^rfllwrïPe \*  itioni /tdridis^çtiffl^oefcule  
 lui-même  est terminé en peinte.  Dents en velours aux mâchoires.  (Yoy.  Perche^w j 3SSière ) 
 GRENADIÈRE. — 
 _.. GRENOUILLE (Rana).^— Genre de reptile^l6®!!«? d ëF '@ S^ S è i» fflp g^ t^ ^ p p u re s,  
 se  distinguent  des  Crapauds  par  l’extremité Jijfs  doigts  et^es  brten^^ü-jî,e_ &ÆNpas< ’ étalés  en  
 disque,  par  la mâchoire  supérieure  ahnëê^é^aeûts,  pàrla  fcrrm#Me^a‘dahgae^^ourcK’ü e BT ar-  
 rièreret  libre-dans ïer tiers  postérieur de-sa lsagWür,  enfin, pàt ta “fatmé^én éràl e p lu P ^M te^ 
 -  } ïfoiîsme parlons ici de des animaux '(fif-au pdrnt^KVcre* de l’appl.f'éxBeMent  qu'îwïoraieüt,  
 ’éiMwrpetifi 0 *  4e8)> Iwuria prise des pdissons'càrnassiâ’sf'Bracfet^’Péfche, Truite ®m&ie  
 ^fefesffél':  ' 
 lés; grenouilles  onêfiév. chaque c^'éVçifflq gorge ^uBé  vessie  vocale tFéÿ-iip$atéhfé TOând  e p   
 est  rëmpKè  d’air  et an  moyen  detaqüéfte  F animal  fait  entendre ses1coà!srër?!’e?ï:'fa;t5®‘^melle, qui  
 ne possèife pas cet organe,-ne  peut  piSïtHrequ’ün  léger  grognement.  . 
 -  Les^^t’èidtrtfiés'é'é  natfrnssêirf'dè vèÿs, -de larves, d’iifséctes aquatiques et  dé’pétits  iSbllus-  
 quès; Elles passent l’hivèr^ïïÿ&ardfes 'dqns'tà  vase'- ef ,!'liâcdôüjllént air printemps. Leurat oeiïfs dp-  
 posés en chapelets sont abànïcfritrè'l'à la surface dès  eaux.  ‘ 
 ” Ali "bâtit dé quelques j duré J' Mépetlte en^WfïèiîPf/î^. 'é$QffVàiÿè'rÛ n tTéJF 6m (BPfflaPds, sont  
 absolument  aquatiques  et respirent par des'branghfes. Qtiinzejours'après^ôn-Ietir ,téiÉ-êëéiÿéux®  
 des rudiments ,de patteé de"dernéAë,"'ëyde&k “ou trois mois plus tard,' leur peau se fend sur p  dos,  
 et  l’animal en sort i  l’état parfait et 'avec fine queue, qui disparaît 'graduèllèment.  :. 
 On compfê énvîF8fa’'ïmefpft;ie de1 cés' ’animitox.^lLes jrffl cotrunttris sont :  l&gfâlnouillsiverte,  
 bu : ÿreTt(miiWÏOMm%ri^f^âm^f^it(é Iwlf'lrois bàüdeé  dorsales d’un beau Jauffi’d'or f la ÿt'e- 
 ;ÏW^/8r^^a//^-nnjt«niigr'ftiq|n.'ÿqi une: tache noire  entre  B$É;  et  l’épaule.  Le  mâle  n’a pas  de vessie  
 VoéâSiEJ-®,l 1Êiiî,i® les .ohampsjdfes;figues  et ne va ,â-Feau;que pour pondre. 
 Les rainettes Oe,gfenb‘àïiles  <ÿfiTP£^i sont2 tou^s .voisines  dés  grenouilles  propres,  et pour la 
 pêche  peuvent  servir  aux mêmes usages.  Elles  ont  les doigts  élargis en  ventouses, au ‘moyen  des-l  
 grimper  |f o   les  arbres  pour  chereher leur tàmttpare  -MÉAit». '‘tàkjttm et  
 l’SÜaS^Sè®*  ®n  l&exY^ ^ i 'Se  retirent  comme  les  gre-  B  A  " 5 
 nouilles au  fond  des  eaux  et  s’y -engourdissent ;  leur cri  est ~  
 plp&bléi^^iplu 
 lA®®ljdùîJle qii’on  empldife;,dansouh  bocal,-coûamej 
 iiarome^:,  [, | 
 ^Pour leaSacer à  l’hameçon, on etr-émâm de très-petites  
 qu’on  enferre  sous  la  peau  du dos, en  y passant la pointe de  Fig-  482. — Manière de monter le Grappin  
 entièrement. Ainsi prises,  les  g ^ J e  pêclie a la Glenouille  'nantc, de  
 LMTüOTms  ^ v < û .tresrldp^lSpins  éa  nageant  à  là-surface 
 de l’eau,  où  elles  sont  attaquées  par  les  Brochets, les  grosses  Perches, les gros Chevesnes,  les  
 Truitéij;^te4;iï, 
 On  s’en sert également aux lignes de  fond,  la miïL pour les Anguilles, mais dans ce  cas,  on les  
 enférrepbhdement par le  çorps afin qu’elles, ne puissent  s’échapper. 
 Il  est bon,  quand on  se sert  de  cet appât vivant, de prendre  an moins un hameçon  
 n» 1. II est bien préférable encore de se servir d’une petite bricole de  deux nos L ou çpun  
 «iâ^Ma&,-trniÂ'no*  l j   {fig, 
 Les  grenounles grisés  sont préférables  aux vertes, elles vivent  plus  longtemps. 
 GRENOUILLE  PifcciRETTs e -jHH, ,t^ jb fiWirtl  squs  cette  appeUa-  
 lion.'. Vulgaire -la Baudroie,  sur plusieurs côtes de France.  |( 
 Fig.  4S3. 
 GRESLIN.  »ü   A  Fécamp,  ^ ^ c S t " 1 
 virescens).  pour 
 GRÈVES. — Ç’est l’endroit que-laisse à #çôuvert la marée  deux  la GrcaouiUo.  
 fois par .jour.  C’est également lé  théâtre des  exploits de  la pèche à  la  Petite  Câ-  
 blièreÿet,  le plus  souvent,  de la pêche à la ligne à  la canne,  seulement  quand des  
 rocher^ lê dominent à haute mer. 
 La  qualité, 'des ‘.grëvês,  ou  plutôt  leoj  constitution  sableuse,  vaseuse,  rocheuse, 
   etc.,  influe  non-seulement sur l’espèce  et  la  qualité  du  poisson qu’on  y  
 pêehe, mais encore sur les différents moyens à employer pour les prendre. 
 g r if f o n . —  Syïionyme de jSncofe,-hameçon. (Yoy.  ce mot.) 
 GRILLON  (Grillus). —  Genrè  d’insectes  orüioptères,famille  des  Sauteurs. 
 - '  Gif ïa^ei® ,  que tout le monde cohnait,  est  un dés meiïlèurs appâts  pour les- poissons  carnas-