
 
		Les, deux dorsales  sont  très-diffei entes  :  la  (première composée  d’ijne.  w emb ra^g& p d p d e h   
 frangée, (ou plutôt  de  rayons  très-minces X0utenant,une  pageqire'd’îBÎe,  extrême  légèreM»  se&àche  
 à volonté dàfts  une rbinüré  en  smon  creusee  dans  le gras  du, dos. N 
 Lorsque l’animal est au repos,  au fond de Pe.au, il se UèSrep  éQiiiîibre sur rânalè et sur les deux  
 filets  blancs  de  ses jugulaires, la- véritable  dorsale  est  dresséd'e'E  immobile,  tandW-'que™  dtfrètile  
 plumeuse de l’avant  exécute le mouvement continuel ondulatoire tout- à-fait a n a lô g u e c e lu i' Qu’exécutent  
 les dorsales  des Hippocampes et  des  Syngnathes.  Quel  est le but de ee mouvement? Quel  est  
 l’usage  de- cette  nageoire ou membrane  sans  cesse en  mouvement? C’e s t es, queJ’piigMre^msola-  
 ment. 
 •  _ H ==55. P =   20, raides ettaefietées  de brun suivant les-rayons  qui  sont pli^aoimèv.qTs^p'ùt  
 géûireelle-même, V =  1  un peu  en  avant des -pectôr'aJès  et.se'têrmioent en  barbillon mou. H =  | |   
 bordée de blanc en a Vaut.  C =e|H || petite et.arrondié; Les  arcs branchiaux  semblent garnis  de Rfë-g,  
 (Yoy. Temps de  frai.) M 
 MOTELLE  A TROIS  BARBILLONS. | §  La Motelle  vulgaire  ou  Loche de  
 mer est un poisson qui &e .çoMeuçne autour des-pierres  comme uu f^^ sû ille  B; s!y  
 blottit en .embusjcade pour atteindre sa proie  en la surprenant du passage-.- -Il &prae  
 les basrfouds-ei s:’y nourritd’insectes aquatiques : 3, mord'bien àf.^hàiqe^cmaiforcé  
 de  chair vive ou de vers marins. .Sa-chair né se~conserve pas,  en peu  d)be& ep elfe  
 sent  mauvais:-,,. t 
 MOTELLE VULGAIRE. ^-C’estTa Motelle  a trois  barbu iffi-arey 
 MOTEULLE EÏ MOTEÜlLLE. — Nom lorrain dé la” Lockf^fjanÔÎfelB^Qf*  
 ce mot.)-  , 
 MOTURE.  r-.Oa appellejiinsi l’effet prddmt-éiM®er par un goup” dcvent qui,  
 frappant plus  ou-moins foFte-ment-les-falaises. du rivage  ou  leâ! gF’èveS^ s R i 'e  È  
 teTre1,  la rûêîe à’ l’eau et fofme’ àih§i ünë zone troublée lé l e i ï g *. 
 Cette circonstance  est favorable à  fit digpe, 
 ’Ii  semble  évident  que le mot mature  .même  raeÎB^qdeTe. vfè^bp»î-«ï;ere,  
 m&tmn, mouvement: 
 MOUCHES  ADDITIONNELLES.  — <3n donné çC  iïom aux moucÊps artificielles  
 quellê®§eheurs mettent sur leur ligne volante, 
 termine'oet ëngin. Selon nous,-.cette'  méthode- æ t mauv^sej-'cÈÆnoins  que le p p i;  
 veuille prendre  que  de  très-petits  poissons blancs.  fSptemwasse 
 mal étreint,  ce proverbe est bon à m é d îte r^ ft0ut''à&te.p#igéîÿtfa,«aoucSe. 
 Je ne pêche jamais avec plus d’unetia^ÿtiê, mais  quelques pêcheurs  enp$*  
 pfoieiït-dfp%^aiéme trms,< omteefeelle  qui  tgrjfem'e  la  liij|ae?r2& 
 Abouche-suffit; .un plus,grand- nombre-présente des-spot>tivéiiien6s* e-t plus difficile  
 à manier, e tn ’ôffre pas assez de compensation. 
 " Il&i^'eertain qu’avec les mouches additionnelles,  on  peut ÿue&q.tiefoù^T^am;,  
 deüxpôlss&hs d’ùnr^coup,  mais  ils  sont  -généEa-tement'très^petil^M^ralîan’ôe ®  
 prendre deuie  gros poissons se présente MenTarement,>  et si elle aëMÿê^l®&eheur  
 përd^- oû-très’-pTobablement l’une de ses victimesycm toutes deui,"êféb‘,ftlé&e p K   
 tfiie -partie  de son attirail. Ety cepèrfdanLeoiifmê il  en faut pour toùs leSIgoûts.  si Ë|  
 pêcheur veut'se sérvir de  deux mbïïchç§_ou pjüs: -la- meulière ajustée dïïtfa l’gtre à  
 environ d mètre aü-dessùs de celle qui iennine'ta ligpej  et la seconde l m,$0  epeore  
 au-dessus* Un plus-grànd nombre devient ridicule et tout à fait préjuditei^Mé; 
 lia  rwbuehte  addJMoîm’eilë  s’attache,  èoit êtt f-&rmant'tf3è  'JK lp  de 
 ligpe Cf é%a^eiiït dans ëiffîê anse  celle  qui porte la mouche sûppremëntâireMp$i  
 qu’on le fait pour  celle â l ’extrémité  de  la 
 On pèiit‘eae^^dodper-la lime  au point ôù l’otf veutmettre un© moucheisaiidi'  
 tfoniieUe /  puis,  ê*©et endroit,  pratiquer un  noeud 'anglais B®1 QfallMlSfffÇvfy• P 
 mot)-  -^.moHF  serré,  ©afceqles  et <N# Äq%Bs0to insère  la monture  de  là 
 mouche  artificieltelermih^eyléelie feis-^-pa^tf^ceud. On ne- luiTais&e-que 0mj 10 de  
 1 on gueur d^fi^once i 
 - éGette  .esjijl® m e i 11 e w,e;jp aU^aWsaçhà r > .1 a, Impwèà e' àddüâoiAâfl®^ parce 
 que  celle-ci  se  soutient mieux .en  dehors  de  la  ligne  .  
 principale-,dqùfe'le- esÿpw»ip.-5^SJP.je3ite à"sl@nro®l'er  sur  
 ^leÂfcpance que  les 'üicBUds',, .comp.Qsânidemoeud-,à<a^r  j  
 g l # * - te   1jÇM  pri%eif^ei«peuventf 
 en  lesÂftdéusS'ainlï ©ommBSidan»  là  figjä^öSBi^et'lA. u  i a|ïf“J  on«- r   troduit  l’extrémité d !  l’empile. rûou(‘he^holoT©erlapd©Baenj^-l3ou<1f <©ej qM®nm|i®i'V'es  < 
 juj'wâÉÿe  décru e  ne  .dta^ja-gntj.., édp-skliLt, ou 
 iloRwiÿ^im’P ^ 
 M O U C H E S   A R T IE IC IETjL E S   (C o n f e c tio n   d e s ).  — La  
 1 OrL^n^hl^E-u d,rfefdheH’Mn’  loifa.udon, *li>Jdette.  -VJÏn'ACt 
 tofïsjfô'ffu^fare  le^> plu-'-•('Oum’n-qs.iibtms^'^éVup.a^t^fc^e'  avidi-lt'CLt’- ''in ^  fcés .quu  
 le xêm^®ffiilaiïei(l(’Ojt quglï^p<qf®ejpr,é(à^ité^l&gurfacÊ?<Éifesie,auxf  leuh.m-étiÇr 
 tj3 |Ky.j3jp:u*h.'viTiiuu’iil  t eflocha^e,  cl  il,- ->çiijô<<qui'Wcj-1  bu J 
 dA gffiÿ^ fe freonMfe?^Kpîi^liongienipsaffese!EVié.J car  il  est  patent,  est  dérivée la  
 |" qhfc^h-îafe iôuclH’  ai lih(’[C,J4i©ieliBl)ea^llÇ^uw^JUMdtiii.ltellt V j^ t '^ ! ^ .i 4^^%ii!i  
 1111 m.ViriT^Ar-i t )  e-l'eiMà?(Mii[i.nftt- eVautres inv&Mr©fasmeteôïià|t|^|fiji^lont modernes, 
  je vais,  dans  eux quelques passages de 
 4'hi iM^Ly iM aPH. o|î!ii-^ah.-s^©n4»0mvr£^fcêê#enu trèsrrpj?##-jsupBi|àjél&n 46S*li(fi^cé-ffît  
 of. çy^^)^l#i’u.ei<tBi0âÂdmàèsmsé'exGêHentes/Ldctp,êche^à'La-nMiiâi@*l|ei et indiquait  
 I uM^Æ^Jwlq ütstnaU- c-sdi i’&jdedhata »  Lu inouï met.  Il  dwnimti'-tfù.ênt4il-?éiietHnpfj-il-i.on 
 «^auvîqndiW-  «•*> ,v<ti,l'if'.'Viule,/{, IjjCt.t ai^ySua^ugpru /  .uwjfigcr  
 que .ÿi-ij^yCt-üdiiiez.  Gomip^n^i^sil^Ât te tt< - ( ah- i n e-1 \ , 1111 la ^eÿnc «tfcèlq c  luo^rr-^aÈ  
 j  |^l*-ské;3 lie-riaux iangerfe-de  AvsiqMërBientaf-j. 
 Or,  la pêche à la  a^Mfe’tqSt'estîsaUS  contredit la #.u-^uAip-ciblaAoilu^ 
 :m istocratique  de  toutes l-ef^pê'ebsa;)^Âé®Bqï1'®ili^^® n’est pas - fp ^ ^ ^ f e s te r  immobile  
 comme le pêcheur de  fend- ou au coup  :  toujours  en marche  le  long  de  la  
 rive, il n’a de limite à  -a promenade.que.  la \aleur»y   
 I|Æ^M’('fatHjî(î''jp3l!it''0unla-qnaUei  Jiqn-seulement de^--■—lu >S H 
 i-vfeiMltPvbfiâ^aaifatefltet vigoureux. Auj®e-av-sfetage,  nMédlappâ.fegH-iÉll^çlife^énu--  
 gnants et sentant  s.oUBenfcml^slho^-qiae  la rose  maa n 
 qiml-ifiut  jjéliii  avec soi®  i»W  le-Ajeter-ù Lcai-i-p^pl-us  (feimfeaaiq i S M/tümrxt I 
 lt  -,®'^péch(M|toVub‘-pîC^it6di%)deigtixil--„(--I,  rlc^gfwtls' 
 cats qu’il le jugera  convenable,  il  n’a plus àidfrp^âqjffipe, dea imitations  de  la nature  
 qulo^auqrait^p.p.eler  de véritables objets  d’art  
 -%i,'pêobe -à-htomodcbe^artificielle est -eaiAÆg 1 <1 Icrfic^ld^tfe^h ^  gjjyOÿ o^^ggiim e  
 il tant^fiafcôônf/emê??,  qiiiqtbp.si.eii» lont-^t-llai r c fe’ériiqfis-.ehM  c n ^ iid r a l .y  
 mal lfee^.';t.nuu.cpitd>,dédaigne u L  la  pâclie*s^denUii t^. l.oirwM la-,  
 une prédilection é#dentes  pour l’exercice  qui  nous  occupe  et  qui  permet,  en s’y  
 liv-^^pyfcifeiad.ftr  cette tenue  .... 
 Or, dans  notre bolleSjÿiariee,  cette  pêche  est  ih.umi  
 fiant pas mal d’étrangers q(ui.\ icnnent en j ouir su r notr e  sol, et nous, nous ne 1 a pratiquons  
 pas ou presque pasjjQoÄjßjp A 041?1’ W V soit plus commune chez  
 le%%g|a,iMiS%ehez nous, ell^stÄto^hibtone dans  les deux pays  peu 
 moins  rare  dans  du Royaume-Uni,  en  revanche  il