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 octroi?, ainsi que  autres agent? autorisés, par- l$?tei'Çku 15  avril lJ^SieLpar îg  
 décret du 9 janvier 1852. 
 - -  De?) déqret§ AéterminerQaJiiAâi gratifiGatioi}; qui ■■seras accordée.- auBjj^^ ^ teup;  
 des procès-verbaux; -ayant pour ç^îe.Ldâvc^Q-pstatgr ljiS,Tlélits  
 prélevée#ur le  produit dps-.amende^*, 
 Art-H  . La poursuite-des délits et^qqntraventipns et l’exécution d  
 pour infraction? à, la présente loi^aqroqtlifijî cppformément à  loLdq 15, avril|1829  
 et au  décret du 9  janvier, 1852. 
 ■  >  Ab t .  '19  Tip.^.d^sposdjpnR^lég).^l^,ivp.^antéraWre?^ont %by%gée?  e n .p q ^ q ^ p ll s s   , 
 peuvent avoir de contraire à la.présenteA®«^ 
 Au ,mMq§nt, où ces, important^^odLfl5QaltionS;1vç^)êtreûpiP0duiît|^S(|®§%Fdi?'M  
 notre Loi,  il y aurait lieu,  croyons-nous, de rompre  unéfch^^|Mj^^i^MepuËs  
 long-tgmpsjparvpos  législ##,ùïs,^t  qui consiste 
 des lois  antérieur es'que la nouvelley-frAn’ abroge. pas. <aiÿjj|gfc,lge^3?^'|^^M ^  di?-  
 n é S l ^ ç  dans  le  dernier  texte  élahoné.. Netammeatofle^ 
 présente  Ijqi^siir-la  pêche.  Ce, moite,.de pçqc^gër nlawaitÀM fe aire mM»feii-nt  
 que de créer en quelque sorte toute une b.iblialAèqu ^ ÿ j^ }&un^vseigil^xi5dSp;. qu’il  
 ^rait,  snfftsammftnt.. défectueux% ïfci&n.n’est, moins  propre  à  faciliter  l'étude  e t »   
 connaissance  des^tqis que b’fl]dàgajhp^ l |%Eecbér'cbe^^^ilife. nei^j^idE^BgSjéyfajt  
 lointain parfois -J$|s*_, dispositions •législatij^rqui-f.-r^gi§seHtf^^^|j|^]j^|,u^telle  
 matière. 
 Mais il y a un autre inêonv4rvieMeRain.itaikiclesL  qjqi^dga^fij^^^ i yfe^5<ajaLe^ja.i|^piF^^fcL  
 trouve tgea, les^dispositions  qu,e le nouveau; lé'E^ l§ f e ^ tn|a^ua^emtÿdu^mo.difier ;  
 mafe,^g;  dispositions  ayan^ été., formule r a  sous- l’emnire  d’idées  très-différentes  
 de. eçlles qui j#^t. prévalu depuis lors^leur texf,ej|iàiti-l^te souvenl ■^■(|tf f e p )ri w-  
 tions également différentes d e .cel-ks^nue desJuisplus^r,éQeu;tes^émkil).4Ges^iyMaent  
 commandées..Nous pourrions  citer beaupoua.d;ejrayiyêj3|L.l’appui) deÿ®ë@febs.erya-  
 tions. C’est particulièrement dans  toutes  les  matière^ soiïfei^ s ^ i |T^ . e ^ to ^ atiQn  
 opuyeUe,  dictée  par.  un  esprit  libérât,,,; qne:Aes^ ^ ^ s ÿ a n ciei]^r^ (^Oipteg«peU'  
 sinon /avec les textes nouveaux,  du moins  avèo^ leswàt^qul.Bjaadi(gtésv.>j»- 
 ^ i^û tau b lie   trop volontiers eq haut li Æ;^que^l^lqivqtqsLpas. fidj^ lpapj^ B p y -   
 consultes elle s avocats, mais bien pour le peuple,  pour le  vulgaire.  Nul  nest censé  
 ignorer  la loi,  est  un,axiome de droit très-juste  .etjquèf%0psj,aT^ei|0H^, jjigiais àtla  
 condition  que  la lo g e r a  compréhensible,,  L’est-eM ||iMburs  pour jjgs  gens  peu  
 instruits ? Nous répondons  hardiment';~NonJ^f. } 
 Voilà ce  qu’il, serait  temps jdfejpbaqger.^Gqtte u^forme—là.  enfeàùd^àlt. vè elle  
 seule",  beaucoup  d’autres^—. 
 LOMBRICS. — (Vov. Vers de terre.) 
 LesLombrics sent des Annélidesde la famille des-Lornbriemées dont ils-forment IStype.ills ont  
 le  corps  arrondi et  allongé, parfaitement rond  et  extensible,  composé  d’anneaux,  et  plus  pointu  
 antérieurement que postérieurement. Les pieds  sont remplacés par de petites soies non rétractiles,ÿïî  
 partié cbïnëes et en partie caleairés,  colorées ot jaune. Sur chaque aôrîeau existent deuoojoes éfoù  
 sort une humeur muqueuse qui sert  à faire  glisser plus facilementTaii-imal  à  travers  la  terre,  et a  
 défendre son corps nu contre l’action desséchante do l’air. Les lombrics' sont hermaphrodites. 
 L’ànus est terminal en arrière; un renflement coninie eharpu,,convexe en  dessus, pletjfesojî-  
 ventporeux en dessous, oqejqpè un espace un peu postérieur au.quatorzième ou aeiqèmjïMMau, et  
 varie en ëièpÏÏue, Quand, les vers sont malades, cet anneau se décèle»Jjÿlto JMS^MÎÉfipûent et  
 oe'Cddïéùr ifÿîfev  r,‘1 
 11 a Lès vera1 dé terre où lombrics. qui, pourie ’édiÉrùtthidès'pêeBeürsi  sont tous Semblables â eüx-  
 mémes, renfement cependant plus dtojngt esfêeef Méh .distinctes ;  leJ uâs'laissent  suinter eit® 
 LO.TT-E; 459 
 f l ? 9   ® , iïW  4 é U  pas. ce* moyen  dot défense  .Cette' 
 liqueur s’écoule  par des pores  dorsaux  placés  généralement  en demi-collier sur le quatorzième  an-  
 -  neau. 
 LMSwWWî I   po  siùi' g   ventre,  et la position de  la cemlnre  ou renflement dont nf0'us avo‘.nsr  
 parlé. 
 i  ^  mntls/ho^pl-m^LentSiW 
 Æ’^ v a m â a u x j l a j û f 
 lei^yet  uianieube'.,  a ms) juinjs ddiHyjos  fmnit  l~'rcinîuïn^bi 
 1  pm<  rm  d?r 1i  f  ‘  H  MB H   • 
 9 B  y ü H 
 des beaux jouis,  surtout Ja nuit  ou  après  une  pluie  d’orage. 
 N ’oublion s  P a s  i l   m en tionne r  q u e  les  L omb ri es  son t  ovipares, 
  et que leurs 
 "i,il^ | gM |a i ç)ngér>,  qm  \ ' 
 Foetus, U faut que,  malgré  cela,  leur  fécondité  soit immense  '  de 
 ["'tSB S S ^ r a   ton^e<*  tes-oÿMsçs^^làQtes' deVde)Æeîu) i ^ ^ i-i>; la,  n . 
 eM  JwifflJ^irSaÆ^*entn 
 U  B ■fflmwgdl.jp. Æ :  Pin'-'SniMuÆ^Æjl  p c r ^ d K f ! f o .H 
 de 100  a 240 anneaux.  ■ 
 LONfe-BEC —  (An^ffl^^iVTO^^rèù'nNmaTife^i^^^Ÿhuîmii! ) 
 LONGtéVITÉ DES POISSONS. 
 LONGEE OREILLE.  ' 
 LOPHIUS PISCATORIUS. -  (Voy. Baudroie. ® 
 LOPHOBRANCHES.  Or^Lre,d«i‘passons ®Sux7. (,  
 h iS   i |   par  leurs  branchies  qui,  au  lieu  d’être  en  forme  de peignes,  sont  en petites  I 
 I  i^ffiî^ïïffid^jf'Jit aucunp airn térêt.,,.q  a‘'ÿ2sf MsÊÊÈm m 
 LOQUE. — Nom 
 lo r e t t e . .^*Nom'vÙIgâîfé^ae l’A é&ff  A'Blltte 
 f  HH|   'i  ‘  1  ' %  i  ■  ,  ;  .  _ 
 LOTA.  ji^OTTÉ; 
 LOTCHOÙ et LOTCHO.  -^ ^M p ro v e n ^ ia ^ |a   celaot. ) 
 LOTTE  M a ta c o p té r fg i^ ^ S r a c h S ,  famille  des  fiâffiîdes 
 e' nre Lade ;  comprend deux espèces  : H 
 ô^iÿi-rue èsagmJq J l ^ ^ ^ jr- • '  
 w “ ”e’ W 1™  Barbote eu de rivière. 
 i | nI'0 J T:E COMMUNE  {Gidus Iota, M B B W B   <-ubn WÊKKÊKÊÊÊÊ  „fa  H   
 Syn^éfAiot,  —  Aalrulte^éhein-, ■ 
 '  * nÆ ^ 1? '<',, <] ^ 5 'Ç>rtSon  est lon8»  erroné,  ëjp^slût gli^ùuVt-nmmê^AM ^ P l À b g » - 
 'ip fM f ''P! JeS  de di®rentes couleurs-lé’-ffevqèilù, ivâr'i'qnt.fii^ïiKiu bçun et aujWnàtre 9 J 
 i L  .  ont t^ I-^ lcle'^>  la îueu^fteferm^ d’u »  VU-,îimfolargo,La  1 HW BW 
 i ; ! , 4 a M i ^ iH u esr % f & Sses lèWes  e ^ ë s î '^ t g n t  11 f f lW M a M M B iW M S   ün 
 ' •  ,1 °“ ‘  Les yeux.s°utronds etdëgrandeur  feoyèmir.li'S quatreèmesnlé i liaime eûto 
 famille  ïù>  remoritê.dan.les /îÙ^oÙVos,  ilaimeief'ebùx vives  
 « » I  et  seqentdtosAes trous, sous  l e j - p iS W ^ f .^ i i o s  b a rra is,.e la ^ C 
 m m m  i0^  a ’f à  ,çes pectorales d eM f ^ s  sont 
 J rs^nflf  “i 9US61 f une 5 m  Ve?l'ral6î; de 6 ï.ay°n9 s°nl M  H  ' |  B i  pointues . t petites, 
 et  rWh>Vs«n L-aE 'Hre’-»t0Xlt  s  L‘i  ‘® lT'"dt  ^ r-qraSl^ ivâle, pointue 
 •  S H  ,  .   S a B B  et de l’arialéqÙL^nfUi lànfnèsÀ^foy. JTemps de mr.)  
 le Jfoi e est W  r  ,  L,°! \ est très-deiicate et ir.ès-estimée  : les oeufs purgatifs ne se mangent point, est très-bon  e t ^ ^ b l t f f i î i l& ^ Ù Î â s a n . a  la .vié’^ î , ^ ^ 
 COMMUNE. J   L?,iLqtte?r,ess.emble  énormément à  l’Anguille dans  
 UP^r' ’  ^VéAabitqd^iseioachaqtjfpfe lesipierpes-,- s’embusquant'pour guetter