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22 - - À.M#ÜGlé
> 'Naiis-,aîtt®iji&p#s^towwileïles ®0MPQes.‘l©sw|)ks oxdinafe#t'et4es^lUsifÆc|ire;s-à
s&i- p r.Q e i® ^ ie n iiid iq® 8 ta .tt^ g e n r e d-espbi-ssw aisqjadl e lle ^ s oB ia .r(feëis^é^ ÿB « t“Mbiêiiièfi
è Ja^^ifesnYierSt dejles^jeter paty^fl'dFfemditeipècfe&iî.,aq?mèméf and®oit,tà
» ■iï^a&lqeest^fgn^t^Me^tte-SQnffïfQBti^fceienQ^aw^l^s/ah'QiiBîtfeprodteifteiS
.pèi-es-, dont on -raiitte souvent lajpfeaÆ,mac.dpé©^av.&iên:t
du^on cependant et prenaieptfaHMnt, sfeoà'f jW^éê'^pcâsgens ’que-nous; ’©ntpr'étend
quo,e est parce qu’il y,e®,>avQÀt davantage'; je ne que -poiüf liftasse»,
«nais il*y.aypdkmo’iaS.de règlements et par dMkéquent.moinsttrie- A^annmnirtfoyErctylià
la raison, car liunsa^-va-pas sans l'entrer -
TABLEAU DES MEILLEURES AMORCES
OPPOSITION DES AMORCES. ^ v m m È s
' QBE Y ‘ MO^DEtNTT.^ , HEl Kl >' J , t, teS E ^A ïïO N S ^ ? , ,
I. Prêtiez : 85' grammes' do- ffo-
mage vieux' de .Hollande, .nqùâa-
Gruy&re, }in)\T*z''le "Î5m' dans' m?S
morUeas^avec d e là lie d’huile d’o-
Bves, et mêlez-y du ym, jmu à,peu,
j n s ^ ’à'cë'ifoeWtre^canipoSition
ait acquis la •ounMstîin.ri; d'üià's!.:
pâte un peu t paisse, ete vous À j
ajouterez un peu d’huile dë^ro&el '
FaftjÉtoffga. pâte, de, jpetRes i
boulettes de la grosseur d’un pois,
te n ta u plus.
■ T oiitpôîsSo’ïï’t
d’eau douce.
PI irS irjn g ^
. Jbeur.e»..vayant,’j
3 8 1 1 1 ^ '-
•• ’Los- poissons trèwm-*
amorce., res-,
Sfeiil Limgtémps A 'rnuVr
$lpT<1jfr’d f$ !dhdnMt oliffîJsl
H. Ew Ang&fem' ; ^ “ ^nîû'èë
dans la Tatn&ai avec /du pàin'îdBi-
creton bouilli et- cojim. ,
/ " T . n ’ p'ê iTi ;?i 11..
^ 'Tous leM p v ? î
i fens , n^iirtfnliPt
,^&harM|j<jii. -,
. MI. Laissez trompa» 6'•litres de-
lèves QFaba vulgaris) n a a .rtn.it
danè d e # êS u | faite! S î lP I f o ÿ ^ â 1“
demi avec 250 grT de miel e t
1 décigj;. de .musc. Retirez du feu-
ponr ® pétrir'Ct «a faire * des-Bon- 1
lettea.:
c il^ É s î:7'’ i(£ j Lo’^oiïSpiféiâs
le lendemain , |
jour.
id.
" I-V.,Mélàngéz ■ i
tin de cheval, chènevis. et sang
em W .-f
toffs ’ porP*'
sons blancs.
Toute'lS'joiffHt
née.
p»,.ï;. Edites durcir auqpleil, ou, qu
four des oenfs de pdfssbn, gardez-
le? dans des .pets entre des lits d e
laine et de sel, et coupez par morceaux
pour lapêeftete ’ tr "
_ Tout pojjisoii
3 e 'su rface "et
peissonsblafics
....À p a lh A gM i petits
'*mw^Sux' comme esche
à l’hameçon.
VI. Faites,, je te r . un. znr'.denx
bonifions à de l'orge ou de l'avoine
germée e t gressièrementmoulne:
Passez dans un linge et laissez re f
r o i d i r M'
. Brème. , Mettre à I’e?jj :
vèré " ;îÿ ' ntiit’
le boutlloh de
cuisson .S l l i ; - ,
! IcWtM’e'au ëst; '
dormante. -,
, Cette orge porte le
nëfta‘'d'e'»îa//j et sert à
. faire la hièret ' ■>
Vil. Sai]fo,8!ii#ài*ê##i^asS ,?
d,i.t pou^rd,t .avec de la^fspnelle
{LaurusVimabiWiïÿb%)*io\x’dLUL serpolet(
TAjt?»«s
Gardons, bi-ê-
ints , ca rpc s ,
^WWmMÿ.r
COllPOSIÏ'ION'^^ AM;0RCESf.if !
POl-tSO^S'^'
Y - HEURES. OBSERVATIONS.
YIJI. ,Ée.Gette.ÀjFteeit^
^ B i a u x mesiire|WGi^®||.
Ê'rofew7 •ÊamâriJBai, 1 « e| s# el dif v j
‘ ' s\y? wellia semrata, Dec.. . . 30 gr.
■ Touslespois-
sons d ’eau
Mettre à l’eau
6 u&è fieurô (Hideux
favaht do'
pêcher. --
jM jL i’t-nirlacèzi'e^Jia'hfS-pi" MV
Ecorce (1 en< l'nn.
Myrrhe ( ' '
‘ iMvrrhd) .. . J .. . . . . . . . 30 »
"J Bol d’Arménie col^UTij/ pu ■
argile ocreùse rouge.. . . À- '3,0'.■».' ■'
Farine d’or ge dé tr emp ée
le
' '.Vw^ie de porc rôti.-..,
Ail..................SpMSB . . . .100»
tPile/ i li a qui1. 0 11.O-P. . 1 jiai c, itAnre-*-
lez à dusablonmenu.
IX. Plein»/ et pétrissez inserri-
£le :, |
Mie de staixnK-vtÙ
wsfHEr,,.
Assa foetida ÇF'ërulavssa foetida, de
'LCand.)
' lG;iffli«ÎSl‘,crîcr
y ésnes.j^,
Péiidâni
.tjPêché.
*®^irm'ét ‘à' l’bam'eçôn.
et faites^eii de's honléttes.4 ■
' 'ÿ'X.eÈaites imir-e, ensemble :
^ ^ P r p m é n i g r .
^.ÇQiçe’. ............. 50p •»
P^'^LeiiëVis. .......... 125 »
p|pâ^z-y :
Se 1 de cuisine. . '. . .. 1*poignéesurtout
en .e# ,' de- peut que7 le •
hlé'pé devienne aigre.
Tous tesmois-
»-wïïST|]ierKivo-
resdéyfond'. -
; .SÿOetfalne'auleurs'veu-
i lontîai 'contraire que le
1 tdéîsoït fermenté^ et aigri,‘'
Jeter rfosqioi- -
pour lie matin
pÉ ï péndarit- là'.'
pêch^, - fotttes '
les demi-lieb-
res, en-aipofit
dufe'éfepïûwe
mais n’ous déyons
déclarer que^jamais ee
.systèmene nous a réussi.
Les appâts végétaux "doi-
; yènti^ujonrs. êtré flstsî
XI. Faites bouillir du blé ; quand
il eatbien attendri, fricassez-le sur.
le lu i avfe du mul et uli pf.u'rte'“
safran délayé dans du lait (Wal-
tony.'
Idem, t -, . Idem.
XH„ Ghomel ( tJ I 8) modifia cette
recette. En transformant les quan-
titésnnbiébnes en mesures' nou-
■fgïlhB,, ôn ta foit atpsi, en mettant
à cuire dansV' '
Eau de rivière . .
, Fèves (Faba vulgaris), 3/4 de
: litre.
Quand elles seront à demi cuites,
ajoutez :
Miel...... fflOigr.
Müsè.....s... . . . . . i à 2 aéeigr.
Laissez encore- cuirbj 'et retirez
du feu,
Carpes. 5,. aie heures
.du soir et du
maJ-ujj,»1*
Ceftèprescriptiori pins
moderne que la recette
. a'été Tobjet de beaucoup
, dé plaisanteries de la
parte de quelques pécheurs.
Il eût mieux valu
: rapporter des expériences
plausibles que de se
moquer d’une idée, en
vérité diabolique, pour
forcer à mordre ces pauvres
carpes qpi n’en
■peuvent mais.
On croit qii’il peut être bon de .
donner la veille aux calpes iine
§morce de fèves purgatives ; environ
la valeur de deux fèves d’a-
toès soccotnn en poudre i-ur 2 litres
de fèves, et les faire entre'
.ensemble. Le poissonjoaofd mieux
le lendemain aux fèves musquées.