AMORCES. — Ces amorces sont des appâts que l’oü jette dans ' l'étcd pàüt’ attirer
16 pdissoû d Vendrait oàr l'on doit pêcher, à la difffïMëé deé jSstihéis
appâts également, mais attachés a l'hameçon.
■Haie des meilleures-amorces estle.ver blanc de viande duasfeotÿmaisÆhaque
poisson, ayant un© préféreuee pour- télleiQU t&lle.Jâou>Eritolfé,|^a dû varier i ?«^ïè.ce
d’amorces pour chacun ou pour ceux de moeurs semblables.. . ;
Le-secret de la réussite des pêcheurs qui font de belles Captures, dans la-localité
qu’ils habitent, sè.,compose dejleux choses : 1° une parfaite .eonnaissance de |g, -
rivière, et 2° la précaution d’amorcer à intervalles égaux les mêmes, places choisies
©t connues d’eux se A ï ”
LeqjofesSh, comme tbïfs les animaüx, est susceptible 'd’une certaine éducation
; donjaez aux Carpes d^up “bassin Qit-d3uÇfe -rivière^ tous les joUbs, du pain à la
même heure, et- à_cette heure-là^ elles viendront d’ettas-mêmes s'è rassembler ,auÜig§F
habituel pour attendre leiir provénd©? qhâhgez dëqfpee 'üh|ûü^ et vous verrez V
morce délhissée..pendant assez de tèffipt} jusqU'à ce qûeïe hasaHl-laleur ait fait-
trouver.
Or, ce qui se passé à la surface pouf lelH®àrpes ftpprivdîséûs d\in bassin, se
passe également au fond de l’ead pour lés4- Carpes sauvages d’üûê rm èr^JB|iLes
s’habituent, au-bout d’ua' Cerfeiîn temps 4 trouvé!? à tott ûètteiü éhdroit, uji^ ^hr-
riture abondante et appropriée à ïêWgônt^ ^Hèl-^lTOhMnt^Sê^^àp&ent, puis's’é-
loignent chercher aventure. Leur estomac‘est rtpu, mïïs^tmT m l'qjffifli uild®-» âlç""
Qu’au lieu de leur.apporter leu r nourriture, vous laissiez tomber asil|aéme endroit
votre hameçon couvert d’une partie de l’ainoree hahitaeUet-'ê^psbgp
desstfsisansTegarder, sans défiance et avec-une .voracité; dont ^ypjK-,§ÊE&z
Si, de plus, vous ayez choisi l ’heure, d’après les hahitudes connue^dêSj'.,boissons,
la grosseur de la bouchée suivant l’animal' que, vn^^déâçpz^yous^pes à gçji pp.ès,
sdr dé réussir ; car un gros pcassop njord quelquefois. â p i a i s , . j a -
mjas ùn petit ne mord à une grosse. _ .
C’est ainsi qù^en variant les, ap^bree&.apivaat.le^^M^&fp’.AecJjqppp^^es -
pql^ofis, on-peutarriver à lès-réunir. Les dèvea^,l©blé^cràfcjassÉniMerbnt en un
seul endroit les Carpes,'Tanches, Gardons de fond, BrèmesJtpas.ndii^oûsÆÙi-ha-,
bitent ensemble et qui fréquentent-les mêmes fonds.,vageuxy.eplrejes roseaux.
Les détritus d’animaux, les vers de terre hachés^ les:- dAhri&dfeyiaESi .à^safe;;-. la
rate cuite, le sang caillé. Ira entrailles delw^ihAs, Jtè© oiseaux, été., rassembleront
tes Anguilles, les Lottes, les Barbeaux, si vousAes, dépose^, mj|lé;^y ecL dej^L terre
glaise et du crottin dë (Éeyal, à l’extrémité <t’upp,digu.e,- d^’up perréj, d’un vieux
mur, eutre des souches profondes, près des carrières çfu .des,-remblais trempant
dans la rivière.
Du erôttpi de cheval, du son, du sang, mêlés dans un panier, ou lin filet, feront
assembler e.n un endroit rapide et dans l’eajUfoqlaff#^ ,Jes Ablettes, ÆnjjHpns,
petits et gros Chevésnes, Dards, même les Barbillons, etc.
Il est donc vrai de dire que l’aiùorce est le, moyen par ©xe8l6®eê;©t le^ e c r et
du grand pêcheur. C’est surtout le ..secret de ceux qui èh font leur profession et qui
souvent, ne r©eulentdê,vaht aucune, préparation peu ragoûtante pour rendre ^certain
le .succès dix lendemain, succès du res te légitime, puisqu’il assure lëü$ existence,
mais que le pêcheur arnatepr n’ôserait pas'poursuivre au prix dès mêmes
sâeriflcèà de déltehtësSe. S’il l’oée, tant mieux pour lui, è© sera lê èas de lui dif.e :
honneur au courage récompensé !,,-
r 'Ltexpériênte'' démontre surabondamment ainsi, que toutes les fois qu’on en
aura le temps et lesmsteyens,- il faudra aüx mêmes heures
et,avee- la même! suhstefifeéKpeadaarf pÉtusieursajours de suite. Il est bon é%oe®Fcef
plusjeur^êndr^te-ci Fun^p(filft Isîttr à l’autre quand un premier
prf&on a été' jfMss ..“fomffle te e n d r e i LS^h'eàsis -sont ordinairement placés sur la
même, rive-dê la rivière4; il faudra^ èfflmhJfeBSe’ei'- par en, b as, ©n-remontant,- et eek
îp®fi d'eux raisons:'D’abord, quand’un bruit se‘produit dans l’eau, le'courant lui-
fnAmp. fu.it descendre l’ébranlement, p ro d u itp îre ^ à une pdusfgrànde'‘distance qu’il
S&vpeut' remonter “1 en second flte1ï,,"si. 'lè*paiss«nn'pris a effrayé les -autres en se
'débattant, e‘eux-pb*@nt fui m^emoïifoâ^jsÿ: »Mère','‘toâf ours^ce'.qui peut donner
rd ‘ê lë&BfetsouvëP''-‘aux autres ^Ihdèfg^aimoreées qu’ils ÿeUveht-renconter sur
feuifeiesage.'' ,*1
,, Leî$i©ix des éndrortsi >e " ïvoga liment fort important.
ttfàufc-qniSs soi eut nets d’he»b&§,=et dê.grqssesa.pii.emes., que -te’e0u»»-trne-p»isaeen-
fiteaer l ^ m ^ è r e s d ép o sé e s'^0- ? ,eiest,^oiirg^oi,|dans les rivières à «Brant ra-
• IfllftPfaudra^%isir|leâtendrions a » rit^ p a ^ d le^ ‘# ,t^ ^S® a ffl^ eE u ? e r produi-
sa-nt-des-pâPti&s-tranqàiJi-es-et à-demi.tem#ffl|8%,que honvuM.m-e^^e^f»<Aa*ëe.
Céla se trouve prqs desuponts^if^e's digue§,,^des( barrages^ia&beJib# des quais,.lies
, murs, etc. 1|acore-''esi-iI*M»n de fêrharUuertque VèuSbii^^^ s e i;dànsjîds grands
^ fteuves, èst'^telquefois iP ^ ïfT O l^ ^ l^ f ^Æ É eB ^ ^ îe s f e b ieB jc b ô ^ L Æ if is t
'S ^ ^ ^ . ‘â |h '^ â ^ h ^ .id u rs gai#.Aui^e-,am ^ ^ l '[que,l’o-n -
t feape réussite, guidé par le hâisard. É an sw i^ ^ t^ ^H ^ ë re ^iit^ iteE ^d n to a ip e^1
I f ^'uel que soit le mode dfe'fe.â^^ijlJnffe-gme êMeÉ’AmèbiUe suivtf^ ^ e i ^ p t é l a
pécha à-la mouche naturelle d ^ S f iM e f t i j i S ^ q u e l l e ^ ^ à s s e p lu tô t^ e
.^Sl^ii|ao pêehq;, pu i^ ^p® marche-sans ,
— il faut a ÿ ( ^ c e r ^ |f ^ ® rB&1§ fait e nm ^Vptf, si l’on n’a
^au-tiis.momem, d’avan le^ ia i« ' l’effet- ne[s| produit qu’aii^outeete-plusierés hêu®^,
pottr-atteUdrea-ee i^cw|ent qu’il .d^ patieïf|f? Il’vâ' èwis^dtfe
-^qù’-uïi coup^fei^tamOi^éiesiMatin^ et entretenfi pendant la^-oUmé^ue doit p'ae être
Quitté, pA i|h ^ !s®val4i*‘', '^ Jm m ^ ^ ^ n ^ ^ i^ ^ ,- e B t ) ^ '^ .f ^ ||''f è j^ ^ - ^ A l i ‘ èt k
qraan€té d’anJea^é^dépensée. -
Non-seulement lfe^êèfiîp#di^@n’qV|ej|on recherche fait varier la nature de
l’amc * > :e employée;-défe* la qualisb^^^eaux,
' fluent ëgfllemftTatVsnrÿeet objet. On en^hM^ un^xe^iaM^anuanM ^ k U ’emploi
des asticots q ^ ^ iv f e a n e n tJ è ê S ^ j^æ m a jie ta e e p a r fe des ^ofe in s
d’eaiii-doupe, et qui forment, mêl-és là.
ofd^s^e-'ri-vièyfe
petite,, et *sten rasiâsièktnt. Dahs'Àe ^vière à ^ ^ n s tranquille^jjdpa^dët roseaux,
lteoeifeespoissohs s ^ é th ttom r-tin ^ ^R â ^ ^ ^ e ip ^M ^ fre fi|C ,d e s /^ J ^ ft^ g ,^ a
î^Les Ép&édhesfedévolrera' et '1
À iu q i tient .qette .dljpi^h^, dehàoeurs^wtis ddqte,; à feé^up sur le bord dgs
graffds fleuves Sè 'trouvent jetés ^ ^ I'À e y $% n .iié |èm p o s i% » ‘qH»fevierinentune
^ ^ ^ â ân te teM c è -id ia 4ti^w t[ tfû ^ à ‘,| sont habitués A
' së nourrir. Sur’ lê '^ ^B ts- rM’è’res' quî sont, au^Wbéôre, enfermées dans-lês^teraes,
' SBjnM^M|B lM É âM^MM^énafees!»do.-4eseamAUfaéteiMdesivüIefeafet des fa-
qrîquës, le même fAif. n ë sè pTod-iiitlnaST^Peu^étreLs'us-g^1^ ! ^ ^ ^ ^ lA temVe
une<-'abë'ndante pâturé vfeètale et d^»%®nBWnea^^iO,h-^B’iRsectes, ne seVIbueie-
, -.terf plus'd eVre s^ ^iVe ïste flll la faim fee^^pissBfpâs.- .