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voilà donc assemblé^ü? la route bombance ! veulent
y aller et'tous.fendent I j M p b * ? u^ ™eux rai eu*'vers
source de-toutes sa^ zv^%'§°^r ' _
ni art dise qui aperdïjtslp monde, ,et ïa^p'o^^,, ajjx oeufs J^ER.eil;eïne.nt_ fie
mode, du haut en' bas- die l’éohelleitei âtres -I -*
Les voilà dobc'quî arrivent'atÿtônt de- sont défiants, W^,‘?®1|êîst
que i ’a p p â tn d 'lt^ l^ p a ë , ils1. v ôS b n® f^ |||b ^ e f j F ^ É ^ r ^ei^ '
tez des.moFeeau&hg^fèj^z à -tefit - de ligrtè''.. hardis g ^ risq u e n t ;
vous êtes attaqué* vous f e r r e s P |f ^xoiel'fe' cannage qui^ommen.Qe : carr enraaés
par le sang»- le s■ Ch&vesnes;>,ngfeonHaisseB<^^is de danger e t attaquent fraheh»*
ïhent èt-sans-rêKcSfe.luette p è c h ' e ^ b m m é ' i l ^ f f g r a n d i e rpht>e-d'e*pois-
sons fassemb^^&MêMB dieu, faut pa# feê r^ § |è f è ^ e û m ÿ ^ '^ u^Jh1# iVez
%as le t ^ p j p d laS#lîféd>e#'sohde. E f a u t | | f e td é v ^ ^ n ^ ré fe i'S -
sionyils. effrayeraient leurs compagnons, qui doivent venir au fond
® du panier ! Il faut-dégorger le plus té t possible la provision de sang
que if ^ u ssôarà av ^ ^« lÿ g # sé rv iï;soU '< ^P ,de-lî^ t | ë * ^ ^ ‘f f iP i;1
l’on emploie le sang dans l’état Où nous ld Supposons ici. fiais nous
allons le prépareridg manière à garder les mains à peu près propres,
I et à ne pas ressembler à un bùucber dans l’exercice $ é jè s^ h Ë te liis .
■, 2 e méthode. —^Le-.Sja^'de^SÊWiest-leînêij'lpour c e ^ p f ,r » ,
mais celui du boeuf peut servir à-défaut de l’autre. A Ou que le sang
: '!l Soit r nilléafimimc. il faut, on emportera à l’abattoir une-certaine
7 pjusë.'du ||§ quantité-dedsehjie cuisine égrugé tràsÿfin, et, à mesure que le sang
cheui- a» saïuj. COy |e de la blessure de l’animal, on le reçoit dans un vase et on le
saupoudre d e s & ^ c i fait^ôn^-ajefete'dpSx- pgti#*ÿéi$ds • d’a b s i â f i h ^ g ^ t e s Ml
glt riêp'essaire.- ' '•-* 'v -;; m
On verse alors cé sang dans un sae de toile, et on le laisse passer-la nuit entre
deux planches, comprimées par dès pierres que l’on met dessus-. Léiedfeïnai-n matin
il est assez dur et assez consistant pour ten ir;p a rfaifem ®^ ê 'l’bame|i)nsoe1i Mèlfèr
de fond au spt^MbwOûi au îd&rgffà « j flotfé’^ ^ g ^ f f l ^ ^ ^ l f u d f n i e r
cas, il faut ferrer vivement et à la première attaquer
Parvenu sur le lieu de la pèche* on a une poli le
d e 'h h ÿ e rd ë O*“, 1Ô à X)m,15 d e diamètre ^ |p i9 3 é ^ |!®iun:-coüfeafe’ à
( p£ipiefoen'-boiViékJe»<€»siordinairéîbd®. coupe US .rpê¥ééàu- du i i a i ||î
de sang que l’onplace sur la planche Lie, où on le façonne en dés avec
I FifJ- 930• ~ Pae la plus grande facilité- au moyen du couteau, et sans y mettre les
lette K m | :t m " ’ . D 1 ' . • , , à j couteau pour le' doigts. Il en est de même p u r eschen; comme Je sang est tendre,
sanî caillé- . on le pique sur la palette, et quand on veut amorcer, c’est, encore
sur elle qu’on fait un hachis des petiLes recoupes, et, c’esLavec elle qu’on les: l a » é
au loin, mais toujours! sur la mêmedlgpe nfu çodihnt oü l%wdbfiîq)êfeiw^^Ppôint
estfesserittel'.-n :
SANGLE. H p ôm donné, p s rfe sp é cÊ eu rs dd‘iH$ppêf% des pF^êekd ÿppélet
de moyenne grandeur, dont ils seservenl pour prendre les Soles et autres poissons
plàts. ;
S A N G L IE R iZeus ap ér, L im jf — ÂcânthopflÆ o m ê c m ^ ^ é É . Long. 4 ® =
• Syn. : Ual. T in tà lm ^ eipagr _
I - Ce petit poisson jaunâtre Çfig. 930) se prend quelquefois dans la Médftêrratiéeprarem’éflt flans
l’Océan, cependant on ia vu remonter jusqu’en Angleterre; la forme de son corps rappelle celle de
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4?.,pp,E.én ; mais se? ÿeu??^op.t^%'®.tsffToiil(,spii.j,ûorp? est oorasert d’ecailles ciliées qui en rendent
pu<*uclier rud$ d ans-jÇpf^? seps«Les yeux sont^Qfapge et les pupilles bleu-noir. La boueto est
Yarr.).
» ^ b t r a ^ t i l ^ f - p ^ e . ^ e i iW a ^ J ^ m e n u e s dents sajfiântes*éiri*cBaque mâchoire, la première
porsale et ie^.i©af^le| î„s,p it.très-épineuses..
I ,? ,AN(f S U E S . (Voy. 4 nn^ li-bj:s.) Ce« am m a ïl'^m -p o rte n t; parmi les A.nnélides,le nom-de
veut dire sangsue, - o n t* coypp nu, contractile, formé d’untrès-
|] ^ ! I'(’AUS’ et tejffllftë à H i n | difeVehrouse'- dilataéle'et préfiensile.
E -,- . SH I p li® , “ ué® dans la ventouse arilérie||g, aveuou^M-mMhoires'.âltenu'nibr^M 3, ra-
6111®™®s dn..-^es -pejuts edulaijug, qu&; l’oii- nomme-ainsi sa^g^tçe oeffairf'4 î’ils
sar.vpnt y? p^ég,,eQ.(uuml3re,,va)rfel)le;de 2 à 10, à la partie.,sppér*iké,d)r la ventouse
ou ce ale. .
■t ^ l ^ o f eM è id l^ p e tits .M-Qohets, tantôt oMiquè.-fe^ôt exactement termipalé, - ; </ 1? ,3*7 ;, ür ' * , , ^ , '
« ^W^I^i^^lif^lés'LfeMâwl^iîisnl's’sont’androgynes, maisont
Besoin du fa p p ro a h ém é n f* d e rd e u ^® d iv id '» ^W .à eV e ri# iî^ 4 |ÿ ^M e s >â^tMito^de » a i ed octo-
m des 'Wpéulesîou céufs%a;ul~se forment'd’une m'OTièïé ’eteêmementrretnaïq&îtt'fe tife efe s animaux