
 
		A  la partie  imtërl,cilrB, dç  ces os, -Ou. voit  doux,  trous  de  part  e t  d’autre,  Futt-ett-la. cavité  des  
 orbites,  endroit oAesi^reniertaé 1 3 $ l’autre l’ouverture  de  l’appareil  olfaptif ou, trpu.des  narine?*  
 La  tête  en  general,  cummend,dans  lesppalsons,  un trè s -g r a n ^ u Ç ^ rA ^ ^ tp eU 6 d t l a ^ W 
 K /?. 
 Fig. 1 il3Èfe  'd^OalÇeï! 
 ^■*'êS^sl/transparent,*’(ï'un  vprt d’ê.ni  ulauq  
 du  rivage :  (le primée  sans jo iffljfp b 
 en  -faurnit  80,  sPFên- y  comprend .ceux  de la  nu-  
 :que^.du, museau;  defftehites,  ‘des-  tempes  et  des  
 joues. 
 ’  Ofl  veut  en  .Ç^PSi 
 jïg.  2,  pl. A, B(materre,iy|^pSoiiELETTi;f ) ■» 
 C R A N G O N   C OM M U N   (Crangon , |À t  
 garis,  Fabi^'A-1 Crustacés icife|pôaes *  '^crolires  
 usdltèoqju&Sr'llang. ma*fi==i®hS06.£t^   i 
 |f a . t gftmwip, •ahgJ<_-ttiMr«aetov élleur-l -4* 
 GçflW|awpia,>ital,* 
 il  paie ,  vivant en- ùoupes'nom^iiqu-s^suRle.^jd  
 S d irJa p rèth iérb  palre  e"f;'àiâln  i l j W -  Nàg.çsur 
 j 204 j j r i A f  (i< totQ.un ' utyaru' I  br.). 
 le dos  Ne  rougit  pas  en  cuisant, resti  grisâtre.  Chair agréable, mais intérieure à celle du P démon.  
 M ' È t ó p w Ó   qu’à l’autre  le nom  de Chevrette,  surlnut.cn  Normandie  et sur les  cotes  
 de l’Océan,  où  ces petits  animaux  sont très-nombreux.  in   ’f-’1 !i 
 CRANGON  COMMUN.  —  Blf <<foçVTl'tfe  
 Nard e t de fiOuest. BUe^sst E H X H j j ^ H -1   “ 
 latiô0 deiîeoemes et-d'enfants-vit de-àâtfetindtislisiâdL^fêcfrdïd(^M^^^EW#  
 fait  en  lifeiK 
 dest-ë^èiie un filet que l’on poussa d i f o i i t e  sufitësV^IC^ -  
 H B  B W B B M I H B   balanees,aue  la 
 mer  et qui  rappellent' tout ^ t è e è & f r  dont 
 tek ÉdteyisséS.-  '  "   ^   |   '  .  '  . 
 NnusTÉ^voyonÿ-axix diffié^ntstoOts’ qm^eöffi^rê^elil^WipS/nouSFgservant  
 dertrafS dans la-.deuxiêtóe partie, d em ti^ ? a,g 
 toutes  les  q u e s li||| si intéressantes cl si peu .connues- de reproduction,  d’élevage,  
 de rendement,' de  statistique,, etc^ - j 
 CRANGON  VULSARIS. — {VdyyO»«teS>!* e o s a t i ^ * ) ' i'‘ f   -M  »  
 CRAPAUD DE MER, —,ÿqm vulgaire d u > ^ ? j g g g ,  mot’'  
 CRAQUELINS. —,On dit aus^jt OEqQudcsfaty-; nom,des, Crabes dont lacarapaceJ  
 ^ncorp % 9 d ]^ ^ j|^ ^ en (fcraquant^p%iqiPiies^on d,e l^ainf^fi^QitABES.Onj 
 CRÉAC. — ÆM-jiBsTDR&EON^j^t^akl-^{^ • » ' - ' • <   
 g r é  AC DE b u c h . — Noriidonnéà Bôrdeàuxrà VAfig& de  ( ^ ,ip î^  ^Pt.)  
 C R É N IL A B R E   [û£ss].(Crenilabru&). — Aca^thopt.Labroid»  / .  -  ■ 
 '  Ce'genre,  démembre des Labres;;ÿâtecrïe la  forme  générale, .dès-poissons  de  celte  famille.-Op 
 leurfdooi^eraussi-jtaogjççfjle L«^nfe®ss,eyjlistinguentpar leur préopereulé.detttefé, deslévres épaisses  
 S n h awMesÆ^ffi^ fôilatérale non interrompue, dents coniques su r un sçul rang à  chaque mâclieire. 
 C R É N IL A B R E   A   V E N T R E   B L A N C   (Crenilabrus  a lb iy en tris, JpifjVfrAcanthopt,  
 Labroïd., GrénîlaiMj|i Long», naü^.^s?ffiv,35. 
 *  'r fiettfeV-îpèce dvCi cm! ajuVNmriCmfi «il ■ j ns' prlsj^u sieurs individus parfaitement semblables dans la  
 rade  de'®rest,r’et que 3ioOTh4$6iis tM iv e e f^ e là /O T t'r^ ^ 'q n a b le   avant tout par sa coloration p arti-  
 §t®tière. Elle n e rs è f tî^ S is  avoir  été  cenbnbt&eiYàrrelk' Le  efet blabe ‘argenté, très-légèrement 
 jdaia-unâtrejsur .le&Mnes'.- Le  blane --se ,prolbn.ge<‘s!ous-IIa«tête, jusque  sous la mâchoire inférieure, 
  TOÎi,sÇ?tv® » èli^ a ii& g q jm la ;lèyre, du.> dBssuiu&> Les  flancs, à partir  du  dessus  des  pectorales, 
 Æ l ' n n   verf'f^iille.morte ou jaunâtre  plus  ou  moins  
 EmviiV'd'' gra'iifl^n<re)ffs‘pli^tp.'iR* d'1 n iè iiie ^ ^® OE ? ^ r ' 
 véniSé’éêf tt/é ^ d ’^àâlteli’iurnrawdli^aitslTMflarfls’fcoi^melcelOTilu Mulet. 
 P =   f4.  A =  # + 9   1 î ® ^ 5 .   = 
 po«-tmnu e  If,i«rW  qûéd%tttêÿiéÙrï|pli^WÏ!lhî^® caudale de 
 .-même.  Eeotqç^lis^fflï^i’ujseéi;, Ventrales^bae^flîffiiMlï'e'^iipointe jaune-bruia  de  la même  teinte  que  
 Iss pectorale^. Anale  inçolore  à la hase,,feiiminée à la noînjtq en brun  foncércomme la  caudale. 
 OEîl  j,am e ll.r is ^ ^ ^ i,^ ^ e a a n s î, qee, l’oeil,  et boide ^ 'ïe rm liïb n   vjf avec  un  petit  trait  n p |r  
 » i S f f n i  dcTsvuâ  et  qn  dessous. 
 jte-.  Dents’lS È ^ ^ ^ r a e w m lm ^ e s rO T rÇ ^ f f lT ^ 
 OpéTSule  présentant UîM'ip'0iflte^uS)fli^'^n--’p8u au'-ides¥ûs de'lâ’ pectorale. 
 Un  autre  échantillon  avait  :j;D^==32tSfi3iftOÏJ ^  = r lh l r   5  ;  cette'' nageoire’  était  jaune  à  peine  
 ■-teintée .de brun.  A =  3 -|- 9.  C == 15.  Ces  deux Crénilabres  ont  une  langée  de  écailles  monta 
 n t   entre  chaque rayop  de  la  caudale, jusqu’à mùitim  La  caudale JiM»  chez  toutes  deux,, arrondie  
 W ë v è n W   Tohs  o n t,‘quelle  que  soirUeilr feinte,  u n e ’raie  blanche  s u r   mais au-dessous 
 de là  ligne latértdeset  rie dSînriîdffnt pas  avec  elle. 
 ■Moeurs de  tous tes Labroïdes.  Se prennent de la mêrriejftiâiséiWi*ÿï 
 C R É N IL A B R E   M É L O P S   (Crenilabrus  melops,^ëùV.).  — Aéanthopt.  Labroïd.  Gré-'  
 tuîlabrid. Long. max. = ,0 “,20i  r  
 j Syn,. :  The Q&kffâffc 
 gLj^Æ&énilaliro,* qùn” Pou  peut regarder  eomons  le  typq du genre, v arie extrêmement  de  coIoraT  
 'tïn’nTant par  suite  des' salssris,’des  eaux,  qtCe des -sexes. Le caractère*vraiment distinctif de l’espèce,  
 'd ’après" EkstrBm,  est'ùée tache noire  derrière l’oeil j iJaquélfé 'persiste  après la  n îo rt  et  devient quél-  
 quefois même plus  apparente ;  ajoutons-y  une  autre  tache  â-la"-'base  dp  la  caudale,  au-dessous  de  
 la  ligue latérale, mais  çelte-ci  est  moins  constante  et«nqins  persistante.  Son  corps  est  plus  é p i s   
 l^msore  qçq  c e&  de Iâ'mluprt des Labroïdes.  (Voy.  Temps me  EKAt«J,  ;, 
 v ^ æ  +  5'  A |= ’l - 1-  (O. 
 ■"*  La  teintél‘èOTÏéra^isf v e rï^ ’pas'sant  au bleu  sur %“Îîô^ AveÉ l é #  ’écailles' bordées  dé jaune.  La  
 tète 'est jaune  avec-des''Lga'és  vertes  obliques  et  un  espace  noir  derrière  l’oeil.  Les  nageoires  sont  
 tachées» de jaune, de  vert et de  bleu sans  taches  nôtres. T ^ÈÜ ê ^ î^ ïl^ ^ ^ ^ te d h tttrè s'fa g a ç e s,  
 Moeurs de tous  les  Labres,  se prend par  les.mêmes moyens  et aux mêmes  lieux.  
 C R É N IL A B R E   P E T IT   (Crenilabrus pusillus, White).— Acanthopt.. Labroïd.  Crénilabr.  
 Loûg.  îriâx?=ib“ , 10!.   - 
 P « iGè>p e tit'î)S î^m ^ ’f e t  remarquer par la  èhnvexité de  sa ligne latérale  piusi.grande  qhd  f e te   # a   
 dos. Les flancs-sont  comprfcàés, lés mâchwres'égàl'êsf:Iësdehfe peuSjipârôfites, coniques, régulières,  
 16  à  18 pÿr mâchoire. 
 D =  19  à 20 + 1 0   à  t4‘4 ^ ^m É "A -‘S ^ S à A l S S l 13' 
 La  couleur, générale  e.si brun-jaunâtre  ave&des. bandes irrégulières  transversales;  la  dorsale  
 irîé'gtdîèremetit tâchée  de f a t ^ ^ l ^ a f a b r u h   clair, res  autres  nageoires  pâles.  Présente trois  taches,  
 blanchâtres  surdri^récipercule;  3n#rprès  de  lS'c^TOlëièf'une près de^â* dorsale à  la fois. 
 ,Se prend  comme  tous  les Casttacs, dont i l  a les  moeurs. 
 C R E N IL A B R U S ,  Grènilabre. ) 
 C R Ê P E .  —  „comme  un Gardon,  doit sçjdffttrêe-U toanière dont ce  poisson  
 attaque l’amjprGe\p.pd,es&]ae^que-lni offre le pêcheur an bout de sa ligne. Le Gardon  
 aime tout ce  qui remue,  tout, ce.qniporte une couleur .trânehante. Présentez-lui un  
 petit  vér  à  tête’upire,  ü e n  ir^ a |to ÿ r un  astÈc’qt. blanc,  un  veridaovase  à,la couleur  
 de  sang  vermeil,  une  houlette  de -mie  de  pain,  un morceau  de  crêpe, —