
 
		nageoires  sont jâtmâtres, la tête1 auSsl,  la mâchoire. Lès fâehesÆô'üt'Tè^igs  suf 
 .  w s  flanc?,  noires  s u rl e ’dos.  _■ 
 * " ü f rp e u p lù s  âgée,  la  Truite no porte  presque plus^doBanées  transversales plus  bruiras, mais  
 —  comme  le Parr% — iptfCbnserveVri&:forïn#ae c s rp& jîa tié   analogue à  celle  «1  é a r to n ;  forme  
 qu’elle  changera  plus  tard'contre  le  type -'cyllrfdrace ■qiff'caMefér'fèe  les  a d u la s. *<A-ce  mofàeïft,  
 quand  les bandes b n t dtsparu,  la teinte générale du  poisson  est  très-clairé  et les tèelles;,T<®S®,-fi<fe  
 visibles.  Elles  commencent  à  prendre  une  petite  auréole pïttef les  flanoiTsôiftfflun’  argenté  vio-  
 làcé'jléYentre  argenté; I'é  resté  comme 'chez'ledPnrr, maisde- craA  la ^ùe.'üû^omW'bhè'S'à! s*bbl1- 
 térer. Cèt  âge a'été  décrit  sous  le  nom  de -Sahno pumiatus p a rC u v le r^ e ta è« .  alpinus  pàp  Blêch. 
 Dans les mêmes lieux où vit la Trüite'côtnmun'èyèrr rencontre quelques mdMdus^dont la^®pC  
 ration estbsi'différente qué Cuvier les avait decfité-sôus le -riam' S8|8  marmoratur, alors  que  
 taches  noiresj j f t  entre-croisées.  Ici lé-doS'est_vert-n'oir5  les  flancs,  -le-va'ntre et'le^ùès jaune  
 d,’or brillant.  L’extrémité de l’adipeuse est rouge ;’la  caudalë'et la'dorsale jairoe-Vbrdâtre/l’analô, '  
 les ventrales, les pectorales jaune-rougeâtre. Mais ce^qui'est plus remarquable,  c’est que les taches.  
 noires sont plus  nombreuses et  plus irrégulières que dans la  variété' commune ; les  faobsSJ'Oùgé.C  
 également fort nombreuses d*une  témte- tfés-vlve-et- dont  les  plds  grosses  son^jjbtb'iirfes'^’éne  
 auréole blette. ' 
 Le S i .syïvaticus  de S c h ra n r n ’est  qu’une Truite  c om m u n e ^  Tjoloréê^ de  ta éM « ® A s  brunâtres  
 très-foncées,  couleur de  suie,  avec très-pou  de tabbê^-réages,-—ftellë' qù’on' là' trouve «â*s  
 les  rivières ou  rufsséaux  foitement  ombrages o u d o n t le 'lit  est  très-encaissé, cfirSbtfceiêâ'qûï'Se.  
 trouvent souvent  réunies’dans  les  grandes forêts^ 
 Quilquefois .o  tte  Truite  noue  prend,  sur  le  \fn tre   e t ‘les  üfagèoirrs, il. - tuns  plrf^Jdir^ferih^i  
 , abandonner  sa fcoUtéifr de suie ou de brou  de noix..Dans'diïéâs, les taches rouge&-bj»fentfes %0-wt‘hSn-  
 tourées d’un cercle  d’un brun encore plus  clairqiie te  flanc.'  1 
 Certaines eaux  donnent enfin aux Truites~qïïries habitent unê'tolaiâ.tibh Ardoffié*sùr- lfefî'apSJs,  
 tout en  leur lâissant'la  couteuf dës  nageoires  sombre dé* celles  d'oSt ribqs venons  de'  paTjêr.’-Qlîez  
 celles-ci,  on  vôfrmfiÿ'place  argentée /sombre  sur  la-têfè  et  rop6fçure~'fté^-ffle’'  fceil^lp'queî,-  datas  
 toutes  cêS -Truites sombres,  n’est plus jaune-clair, mais bien âombré’âvec  jjîirî?'j&al<\uent 
 autour ae la pupille.  Cette  dernière yariétéde Truites  ardoisées ne porte que quelques  rares  taches  
 'rdùgèâ,  vives,  grandes,-placées  en  ligne  Irrégulière,  au-dessous "-dé fa   ligne  l£ ^?» lëp e t -|itouiifes  ,  
 toutes  d une auréole blanchâtre.  Elle n ’a q u ’une  petite tache  rouge  alï b'out‘0e-îJadipeûaej et point  
 de taches  noires  sur  cetté nageoire. 
 A mesure que la Truite vieillit, la forme de sa tête s’allonge et son museati  s’aplatit, qheijlfe'fois  
 sans devenir  tout  à fait bécçrd; les  vieux mâles ont cependant la mâehoirs^nférïéùrê pfdëtnfaëü'tè. 
 .  l,i ni  couleur varie  aussi  ils  deviennent jaune  orangé, le  dos seul restant verdâtre  L’anale, les ven-  
 ‘ traies  e t les pectorales  sont jaune  v if,  la  caudale  et  la  dorsale  verdâtres,  l'adipeuse  rouge  'dans  
 presque  tout  son pourtour.  Cespoissons  n’ont  plusqne  de  grandes  et vives 'tacffjÿ’fcmges  eûtdûféfes  
 r d’une auroole-verdàtre  sTm|e  corps, bleue sht les ouïes. L’oeil  est'-roSe" éfr la  ^ ùpfti^®t u rT p iï’iîn  
 r fer  â  dhevaf tourné en  a va rit.  La’ queue  est à peine éehanerée,  longue  et  à  p ointes'mfecés.'f  ^ 
 t r u i t e   c o m m u n e .  —  Ea Truite  chassé  ordinairemetit  li^ d ÎT 'i?e l  la  nuit,  '  
 puis le-jour  reste, inactive -et  ne  se  dérange  que  lorsqu’on l a ^ ^ l l i l ^ n 1 k ’^ ç h e   
 -volontiers  avec un grappin, On jette l’amorce  un peu  en  ayant d$ sa tète  et pu k   
 relire  en1 la passant à sa portée,  elle se précipite  et se prend  au-grappin. Il esthpn  
 de  lâcher d’avance le déclic du tourniquet; parce qu’elle fuit avec rapidité et'pôur-  
 .rait briser la  ligne. 
 La Truite qui  chasse',  au contraire,  se  pêéhe  généralement  à jc^grande  volée  
 avec line grosse m o u c h e . - 
 Les  Truites  de  fortes dimensions  se prennent par  la  même  méthode  que  le  
 Brochet à  Trolling,  ou en suivant,  à  là ligne munie d’un Yércn,  d’une Ablefté,* du  
 d’un  Goujon  sur  sa  bricole.  Peu  de .personnes  sont .capables  de  vaincre  la  diffl-  
 culté.que présente la- capture  d’une  Truite  de 12 à 14 livres  (6 à  7 kilos),  qt ..c’est  
 une  grande rareté qu’on en vienne  à  bout,  à moins d’être  un pêcheur  de pr'emier  
 ordre. 
 •  .Tout le monde sait  que  ce  poisson  doit  être  cherché  dans  les  eaux  Clairès,  
 vives et à cours;rapide,< souvent froides,  mais cette dernière -coudition n-est pas de’ 
 Âtp^üeïiBiScamk  France,  iéËÉ| 
 Mtemfaut 
 t e . - tHl Tg . i Ét& i^Enè^èi^{Bfefeh‘dfela!e>unetiÿq^à?l,^iiiljh^ifde  source  claire  eieaux  
 par 
 une  Truites  r- 
 - JfeutEPesÿ'J^W^ '4eIaM'iS§s  oîjÉpi  aséai&tta^p^MSîiSjS *pus 
 uif$^  en S o i É P û b o p d'tlpvhs. •  eaux,  dansAfièr 
 trajetrS’u1fe®am‘,bs?'|È ^ r ê |U i i â l ^ ^ ^ ^ ^ ^ & t a p iW d § ,4ié#l8?^ ^ S l a  T rm f|\  
 4&%èê outre'  ^ 
 dant, ion^n  trouve a'U- rnWieu dlufM'pTanjy vlll^i  iii.uî? ij^èFÿft  anipu 1 ’ 
 de%%#feif' et  fait'^s',heàdoou^'|la&nlehfa^jii ^ lJ^^éii!^îlîî  caurffqgijé>ît 
 déserts, ^^ fe-^ 'n l^ ÿ d te iS à ^ râg e^   ..’dfoau, 
 aux rdaiÿdt vmi^^^EyteÿiPaitëSt oùft#%'oirs -d'Ma riviè'rot(\sWÎ'âj?(^ |^{ liri^é  
 ’jiiipîuiB 'obeISV-It1 vj 1 i ^ 7 !en(:i)Mi]<é'tunctpiéf'l'f'lJu%i,îS!»^(?f' ipiiPfi7ij§î® 3^3>eii'i^Ssfilana  
 1 eau  l ’eflSîa^jfuffivij tieifdrf^laigl^Ll^W(ï'pfJig^;pVé'sciilV?a33ïjsSunfB‘tîaniluiii'A^%  
 P f i p i f / r t f d é  ^ ^ ifflê c à   uri'e^j»te,  de s’y m 'o u le r|fd ^ l^ ^ ^ ^ ^ ^ p ÿ ê fl® i  
 dii'i-  rn f T)  -ui\ i^If'.Sfânria’nuiwéli’",  et,jfcÉts j tR>y»  tihiïwcnl  iiînrr«>l3j ^  que 
 une tdu& d’herbe-,o^de  iïabife|iùît%àr>b’à l|d u 
 îfeïlâBd^^jSbÎPtioht7eSttfeldlant du pbü»Pn qiuCgdîS 1  fa]Ç V î i d 
 est  vr d ! # , « L ^ T _ r u i I c ‘Pè:êë 
 WééMŸd^^^M^ré^gêque^to^ci|p|[fri-viêre n’a qùè'i|îl^q'fes 'décim^Sl^dd pro-  
 •fondeiiF  •'^fi’^ o ’ii^Kntiun EMïlkl'dë'sW^vgS^^J^l^iîhl'b^l^iiB^^ÉSîR 
 | ^ , f l ln ^ a 6 t  lfe^gràffds-fônds 
 id’e’àu  ^ 
 T x ü i^ Sfàb&ikt'’^ ^ ^ id ù iS fe ’-^fl’une  adrêés^fet'd’u n s ^ ^ t e iÉ   'q h ^ ^ b   
 ’© o ü e ^t^ t  la  ra i^^ -"T 6®W ^ lP  vit  ani®f  daiîs’dW#; 
 es!  bon  à  prendVet  aussi  ne'l'^ è ^ ^ i  éllfe5  fa ja^^ e l’® ■  
 i etourne,  ^  é^slWbbrfe é n ^ n i b t hstagriiâ%|É^^Slîiifufe  
 longues ded|bs s’eûtr’ouvfenfpbùr happècrfiè  
 j’atnais^-dS  qui;  sbëg  la  forme ‘d’unfe'irnodc'h'é,'!s^mb‘fé1 i n d i ^ ^ ^ ^ p   
 ^ » t s ^ â i - s ,   tout fait v e n t r e ^ t f ^ p ^ e r l f è ^ f e t  lâ Tr®ît(r'te^ra«fÉ^i mer-  
 ^ ^ v ^ a'A point iû'êMfe de's’aS j^u'er à des. ohjete brillmts ou|métalliqu,ê^^^4ë  
 pèèheur-malin fait darièer  à sa1 portée et  qui1-* bàch.ent:ilê‘ per dUH-bl3wM#ùqu< 1  
 êlle  reste 'ac'Cfochée.  Mais  enfi-Sf^si on  la  prend, ’e*Ü^ e iftfln é îk u ^ p ^ fS ffe s s é   
 laisse pas  toujours prendre ! En  somme*,’ b’est^ÉîP'bfepêfeh'e; Lien attàqùgëfSiën  
 délëSaue,  o’ù le  courage sè mesure avê##ïa*g-»idfÉfM>lèr;Ç & ^ c i^ 'u ;8s^pfe  
 toujours ’e w  quipËïâît le plus raisonnable.*' 
 Ainsi,  dte MUtbe 'que nous Venons  de-’direj  ü faut con&ldèe|^®,',e&  rapide;  
 froide  et  battüè. renferme  des1 Truités  qûândAlh wvoière en  ûoutrrii,  auSM--ilÉsPcéïlà  
 |ttTl faut  allfer*§’«teilir mtm? d’Ù n e ^M eW '^ d  flexible,  g am f t^ ^m o u lif if e l,  
 ët y faire  une  pêche  a tte n ti^ ^ la l grande VolSê'r-Si lé  demps  et-lâ  s M l e ^   
 je tte n t,  employè^-^lSsec'tès  naturels':'dis «bht feVj^$ fîe s mMleurs,-  s if il^   
 pêchez  à 1a môuëhe  artitfêiell^^f'alo^Phliërchéz ù ^ i i |   un®lgtac.le poup ^ ù s   
 déteber  aux  regards' perçanl#<le v o tr é 'p ^ ^  futurd.t •Shr'têW^pas dê^Müiïïf mar