
felli
M
1 1 4
ile la
p a r
raiiqi
laissi
lemblic
1
mont
P E Ü P L E S INDO-EUROPliENS.
siiii(ji'ionté nuinKi-iiiiic, religieuse et iiiteileetuelle des Russes soinnis
j i i x , ils s'étaient niainteiius dans la liossessioii inattaquable du pays
lis vis-à-vis de voisins liostilos il l'est, taudis qu'il l'ouest ils devaient
ir le eliami) libre il l'ordre Teutonique sur une partie du do
¡)ropi-c nationalité. Cette suprématie des Allemands
t o u t e f o i s qu'après une lutte do eent cinquante ans
plot de la tribu des Pr
j u lous. Sons le
o u t r e la Lithuanie propre
p r i n c i p a u t é s russes (voir i
sic lithuanienne qui, dél:
e m b r a s s a , avec le royaume
t r e i n t o do ce mot) tout l'c
d u Dniepi' et do l'Oli;
D n i e s t r et la fiontioi
ssos, dont 11
g e l l o n , la i
s ' é t e n d i t en
des Litliuan
1 de
' é t a i t étais
et l'aiiéautissciiom
seul est parvenu
omiuation litliuanienue,
;ore sur les nombreuses
ens) composa Rui
Duna
q u ' a u
Litliii
Russi
Russi
ndit
régne d'Yi
•ment dite
le cliapitre Litliuanions) composant la
r é du joug dos Tatars par les Litliuanions,
e de Halitcli (dans l'acception la plus rcs-
' o u e s t de la Biissie jusqu'aux sources (le la
j u s q u ' a u cours inférieur du Diiieiir, jnst
r o de Halitcli (la Galicie); en un mot, la
ice sur tonte la Russio-Blanclie et la Petitecommença
ainsi (1380-1434) de fait la réunion de la
mi e cti 1 pu
. Yagi
litliuî
ne, où son frère Vitokl resta grand-duc, avec la Pog
a l o m o n t , par la grande victoire qu'il remporta à l'aide
p r è s de Tannonbei-g (1410), le coup de grâce si l'ordre
lie s'en releva jamais. La Pologne et la Litluiauie
loglio. Il don
des tatliuanii
T e u t o n i q n e ,
a c q u i r e n t d'importantes parties des anciens dom
puissance polonaise fut consolidée pour des siècles ;
L a Volliynio et la Podolie furent directement r
d e v i n r e n t provinces polonaises. La petite noblesse
la Pologne (IMO) après la mort de Boleslas 111
s u i t e 1
côté di
l a r g o 1
gouver
pouille
les ma
p r o p r e
qui po
de l'ordre, et la
V i s t a l e inférieure,
i îi la Pologne et
ig (à l'instar des droujines
l i l i t a i r e di p r
l a liante noblesse déjil [
iix intentions du gouvernt
e r les provinces
p r o m p t e m e n t 1,
isanto, p
o u v e r n e m e n t polou
il y fondor d'immi
noblesse russe de i
•éta app
p a r t a g e de
inée comme
1 Russie) à
igoureux et
; noblesse ii
q u i , dès b
s ' é t a i t foi
1 lia
e t le catbo
lu
•s poin
t dit, abaïuk
t sur lui, tcnr
moeurs et à sa langue,
d ' e f f o r t s persévérants qi
conversion forcée dn peuple il l'union —
décisive (voir le cliapitre des Petits-Russ
Blanclie). La cblalcbta polonaise, qui a
avec la liante noblesse, dans la Russie o
b i e n t ô t de l'importance et du crédit com
la protection dn gouvernement et de la
r é u n i o n des éléments correspondant:
r e n t il elle, se forma la cblakhta r
Cepei
u a l g r é
a l i t é ,
idant le
la leur
:t fortement il sa religion, ii sa nati
Ce ne fut qu'après deux siècles di
c l'élément polonais et le catliolicisi
p o r t è r
e t de:
p r i v é s , il déii
lui imposer
1 peupl e russe
•de oppression
o n a l i t é , à ses
3 violences et
n e — avec la
nt enfin une victoire
Russes de la Rnssleit
immigré en grand nombre,
¡dentale (litliuaiiienne), acquit
i caste dominante placée sous
l a u t e noblesse. Alors, de la
isses et litliuanions qui se joigni-
I, qui par ses tendances politiques
a p p a r t e n a i t tout il fait à la Pologne,
r.a])port5 que par son origine et sa
c e t t e cblalilita était devenue catlioli
e t qui ne res
r e l i g i o n. Kn
ue et l'autre
lion religieusi
i russe sous quelques
ffet, une fraction de
é t a i t restée grecque.
, mais ne passa pas
Celle-ci entra par la suite dans l'union
a n catholicisme, comme l'avait fait toute I
l i t b n a n i e i i u e . Cette scission religieuse représe
lUJOl
selon
c e qu'en effet
•e des princes
mate) et ti
oblesse russe dans la Russie
n t a alors et représente enp
ligne de démarcation la
l u s juste et la plus net-
T / e x p r e s s i o n cliiaklita, qui
: s'appelle chlaklitsitz), déallemand
ndiquéo entre les deux nationalités,
la petite noblesse (le gentilliomme
quelques étymologistes, du mot
p e t i t e noblesse formait
Sclilacht (bataille)^
m perniaiience la suite miliisc
s, la caste guei'rière, la cla
libre (peut-être d'origine
i j o u r s armée, tandis que le bas ¡leuple ne portait point
d ' a r m e s . Ne serait-il pas plus vraisemblable de croire que la dé.signation
de clilakbta provient en effet de ce mot allemand Schiacbt, mais dans
un autre sens et tel qu'on l'employait a:
moyo
ign, Gcscklacbt,
i l - d i r e Gesehlccbt (race)? Il s'est conser\
i jusqi
'il nos jours dans I
n n g e s c b l a c l i t , brutal, grossier, ce qui, dans le ])rinc
b a s s e extraction. Sous les successeurs d'Yagellon, la p
g n a t s polonais et des assemblées de la noblesse dans
1 pr
t l i n a n i e n n e s augmentèrent de plus en plus, comme cela avait ci
dans la Pologne proprement dite; d'un côté elles affaiblirent la puif
r o y a l e et de l'autre elles opprimèrent sans relAcbe le peu|ile de
n a l i t é étrangère, dans sa religion, sa langue et ses droits inéconnui
P o l o n a i s , se chargeant d'étendre et de développer les tendances di
; ' e s t -
mot
t do
l a t i o -
. Les
s Litlio
s ' o l f o r ç a i e n t d'à uipr
dont les pro'
ment réunie;
eommencerae
Pologne. Il
d n bien
r e s t a i t
les don
L a p
t a r s de
sociatio
n é r a l fi
s a b l e s ,
Sous
l'e
.tic sur l'est de k
>me siècle, s'étaient si
ipire des tsars moscc
Sigismond 1" monta sur le
isi que l'avait fait Casimi:
t i t r e de fief de la Polog
de l'ordre Teutoniqne, d.
Ru!
vites. Au
tròno de
le Grand,
0, ce qui
'enii, dans
la réf(
î u e r i r la
i n c e s , vers la lin du qu
en un seul ensemble
it du seizième siècle.
s'occupa beaucoup, ail
ê t r e du pays, et obtint, il
incore de l'ancien territoire
i e r s temps, duclié séculier.
lissance croissante des Turcs et le dangereux voisinage des Ta-
Criméc suscitaient des guerres continuelles dniis lesquelles l'as-
1 guer r ièr e des Zaporogues et les Kozaks petits-russieiis eu géir
les Polonais des alliés importants et même indispeiid
' u n e fidélité douteuse. (Voir le chapitre des Kozaks.)
id II, la liberté de conscicnce fut accordée aux partisans
r é v é l è r e n t de tous cêtés dans la Pocauses
se réunirent pour hâter les pronêine
des classes inférieures du peuple
les principales il faut citer la désorp
a y s , malgré le prestige extérieur de
m tenait il un régime aristocratique dont
i t e s , s'élargirent encore au détriment de
lyales et du développement iutel-
A j e u t o n s - y le manque de discil
i a l e ; l'absence d'une bourgeoisie
i r o n t p
quoiqn
Sigism
ISO, qui
Plnsiei
d u
iligiei
logne proprement dite,
g r è s de cette réforme an se
c a t h o l i q u e de la Pologne. Pa
g a n i s a t i o n toujours croissante
s a puissance. Cette désorganisati
les bases, déjà trop peu restrei
l a considération et de la puîssaiici
l e c t u e l et matériel du peuple soun
p l l n e , de justice et de hiérarchie
e t el'uiie c l a s s e r é e l l e de payi ; l ' a p p l i e
e t Pélément juif se développant avec
On vit mémo se manifester parmi li
pour la nouvelle doctrine, autant .'i i
de rAllemagnc que par opposition a
connaissance raisonuée des abus qui
romaine. Sous Si
p l è t e de la Russie lithuanienne à la Poloj
l a i s s è r e n t à la première que des droits illus
le traité de Vilna et la dissolution de l'orek
en Livonie (15G2), la Conrlandi
en duché séculier; mais la Livon
des provinces polonaises, et ce ;
q u ' e l l e fut annexée à la Suéde.
E n 1670, les jésiiiti
aussi en grand nombi
D n i e p r , pei-sécutant et
testai
l ' i i g l
a t i o n du système de la corvée,
n opulence et toute son activité,
noblesse une certaine sympathie
ise de son contact avec le nord
p o u v o i r des prêtres et par la
i s t a i e n t réellement dans l'Eglise
A u g u s t e (1660) eut lieu l'incorporation com-
L e s pacta couventa ne
ros. Dès l'année 1561, par
des chevaliers porte-glaive
e un fief polonais converti
-valt été rangée au nombre
é t a i t de'
f u t que beaucoup plus tard, en 1629,
f u r e n t appelés en Pologne et ils se répandirent
dans les provinces russo-lithuamcnues jusqu'au
i h e r c h a n t à paralyser autant que possible le prou
a i s s a n t dans la Pologne proprement dite, aussi bien que
icque dans la Russie-Blanche et la Petite-Russie. En 1596,
E g l i s e s grecque et latine s'effectua dans les provinces depenntcs
l ' u n i o n de
di
fil
de la Pologne ; les pays situés sur la rive gauche du Dniepr en
; e n t seuls exceptés, et leurs habitants restèrent fidèlement attachés il
i r ancienne religion, pour laquelle les Pctits-Eiissiens luttèrent jusqu'il
ment de leurs forces.
( 1 5 7 0 - 1 3 8 6 ) sous le
igrie. Homme (l'Etat
apoge
d e Hi
d ' u n e maiu vigoi
e m p i r e , et porti
e n t r e la Pologm
L a p i
r è g n e
t a n t que b
nse et décidée les natio
.u plus haut degré d'én
:t la Moscovie. Manqui
assise sur de solides fondements
r e n t e s branches de sa population
t u é , la Pologne perdit bientôt,
p r e s q u e complète qu'elle avait
d e s c e n d r e de la hauteur h laqi
d e la Pologne parvint à sou
x et ferme d'Etienne Batori
•os intrépide, il sut contenir
ilités si diverses de son vaste
•gie la rivalité déjà existante
t d'une nationalité homogène
le classification normale des diiïé-
1 et d'un pouvoir royal fortement constia
p r è s la mort do Batori, la suprématie
.cquise sur sa rivale, et ne tarda pas â
die elle s'était placée. Batori fut la personnification
vivante de la sympathie
nais. Elle se fondait sur les tendane
g r a n d e partie des Hongrois aux Polon
ment polonaise, sur les tendances chk
m u t u e l l e des ¡Magyars et des Pololos
aristocratiques qui passèrent ei:
ais, ou, selon l'expression spécialeiikbétiques
(nobles, dans l'acceptioi
morale et sociale de ce mot). Cette sympathie forma aussi la base principale
de leur ancienne et ferme alliance contre les Turcs, qu'ils combattir
e n t en commun, et contre les tendances antiaristocratiques et la .sympathie
g é n é r a l e qui régnaient |iarmi les autres Slaves. Sous le règne d'Htiennc
B a t o r i , les Ivozaks petits-rnssiens reçurent une organisation l'égiilière et
la Petite-Russie eut un lielman â iiart ; il en fut de même pour la
R u s s i e - B l a n c h e (avec la Lithuanie), tandis que le troisième hotmail fonc-
P E Ü P L E S INDO-EÜROPÉENS.
tlonnait dans la Pologne propromeut dite et portait le titre d'hetman d.
la couroniic. Sons Batori, cl grâce à la protection nationale et reli
gicuse qu'il leur accordait, les Kozaks de la Petite-Russie furent d'ui
]iuissant secours pour les Polonais contro leurs ennemis communs. Les
contrées occidentales de la Russie-Blanche et de la Petite-Russie devinrent
de véritables pépinières pour la nationalité polonaise et l'Eglise
s o u d è r e n t de plus en plus leur puissance en
•ées et des domaines publics et laissèrent pi
iluence sur les aff'aires comincreiales, ce qui donna en
ince il d'admirables créations dans les sciences, l'art
u r c du s(d, dont on retrouve encore aujourd'hui des
catholique, qui.consolidèrent acquérant
des possessions p r •e ai
juifs une grande i
même temps nais;
chitectuH
et la cul
traces év
dentés. Li
r é g i m e de la noblesse et de l'Eglise absorbait tous
les autre!
i n t é r ê t s i
1 pays. Noblesse et clergé furent les seuls mobiles,
étroiti
int liés :nt r e e u x de l ' e x i s t e n c e p o l i t i q u e e t n a t i o n a l e d u p e u p l e
lie ces C(
illtrées.
Avec 1
extinction de la dynastie des Yagellons (1672), la Pologne était
devenue un royaume purement électif; et ce fut lii, .sans aucun di
cause première de sou inévitable décadence, que quelques persoi
brillantes, telles que celles do Bator i et de Sobieski, purent retardei
non conjurer définitivement. L'élection des rois subsistait précisém
vertu du pouvoir prédominant de la noblesse; c'était le résul tat et l'i
sien de la vie nationale et politique concentrée exclusivement dans l'aristocratie
i u t e , kl
eut en
ixpres-
et hi chlakhla (et le clergé). Le décès du roi était suivi d'un
interrègne pendant lequel l'esprit de parti et les instincts dominateurs
(le la noblesse ébranlaient les ressorts du pays, le uerf et la force de la
nation, qui, divisée en plusieurs grandes'fractions, représentait vis-à-vis
(lu pouvoir suprême une sorte de république royale, et vis-â-vis de la
basse classe une aristocratie despotique. Sous le faible Sigismond III
il des Suédois et protecteur des dissidents
la rapide décadence intérieure de la Pologne;
u t e s t i n e s de la Russie, occasionnées par les
a p r è s l'extinction de la dynastie de Rnrik,
,
assurèrent encorc pour quelque temps la
i r la Russie, qui serait alors infailliblement
(Wasa, 1682 - 1 6 3 2 ) , onuc
(iion-catkoliqucs), commença
e t néanmoins les divisions il
divers préteudauts au trône
et par le siège de j\Ioscou,suprématie de la Pologne su
devenue la proie du catholici
fermeté des Russes et sans 1
nationalité. Avei
à la Suède, la s
et passa d'abord
L'union religieu;
P e t i t e - R u s s i e il
;ne et de l'élément polonais, sans la noble
iir fidélité persévérante â l'Eglise et il la
l a Livonie (1629), qui échut en partage
1 plui
le nord arriva â son terme
:1 elle appartint aux Russes,
des Polonais portèrent la
e l l e épuisa ses forces; mais
oins une rude atteinte. Ce
Khu
p e r t e di
•matie des Poli
Suédois, comm
•t les abus de pouvc
soulever ; il est vrai
la puissance des Polonais n'eu reçut pas
coup devint une blessure mortelle lorsqi
tits-Russiens, désespérant de pouvoir alf
pesait sur lui et de lui assurer une existí
1654, aux pieds dn tsar Alexis Mikhallo
Russie, et consolida ainsi d'une manière
la Russie sur la Pologne. Oependant la
t e r m e ; c'est alors, au contraire, qu'elle éclata
dit.
t s k i , hetmun des Pei
n c h i r son p.ays dn joug qui
ice indépendante, déposa, en
t e k le sceptre do la Petiten
é b r a u l a b l e la suprématie de
i t t e était encorc loin do sou
et la Petite-Russie, divisée, quant â sa
naisc, et, sous le rapport politique, pa
tantôt aux Russes, tantôt aux Polonais,
d'Aiidroussov (1007), il eut été convoi
partie de la Petite-Russ
(lire une grande iiartio
tien de la ville même)
céderait la rive gaucli.
Toutefois les hostilités
réellement nu tonne q
* »»f», I» persé
s i t u é e SI
gonvei
e t cou;
qui se
e lors di
SMS de l'Kglise grecque. Los Tiii
ennemis par la prise de possessio
(pie le chevaleresque Je;
'ionaiité polonaise, leur i
ci^re ce héros qui couvri
célèbre délivrance de 7
' I ' cette ville en l'année 1683. Sous le règne de
'•«iineiits entiers de cavalerie furent faits geiitilslioi
I geste l iiqui
d u s de violence,
• l'infinencc polor
le cours du Dniepr, appartint
j u s q u ' à cc qu'enfin, par la paix
ni que la Pologne garderait la
r i v e droite du Dniepr, c'est-iV
veriiemeiit actuel de Kiev (à l'excepd
e l'odolie et deVolhyiiie, mais qu'elle
i c e r a i t à ses prétentions sur Smolensk,
r e n o u v e l a i e n t périodiquement, n'eurent
t r a i t é de JIoscou eu 1086. iMais mal-
1 continua pas moins contre les partircs
étaient aussi devenus de dangereux
lie l'Oukraïno polonaise (la Podolie),
Sobieski (1674-1690), second roi élu do naa
r r a c h a après des guerres sanglantes ; ce fut ent
les armes polonaises d'un immortel éclat par la
iciiiie et la défaite des Turcs sous les murailles
S o b i e s k i , des
c h l a k h l a ) par
r q n c , brandissant en l'air son sabre viegré
t o r i o u x ; ce qui, il faut
cct honneur, la façi
l a
gentilshommes. Plus tard
ment pour achotcr un titr
L a décadence qui se ma
t pas, pour ceux
1 moins gloriensi
linimos snfiiront
les rois de la maison son
L ' a d m i n i s t r a t i o n des nobb
d ' a r b i t r a i r e et d'esprit de parti, dépassa tonte •
t i q u e s se joignirent bientôt les querelles religiei
r e ç u r
deve
sous 11
le libi
p o u r s
l e u r (
c e t t e pro-
Wélau en
l a Russie
1667):
f u t de
puissance europèi
m a l g r é le eoiicou
c o n t r e la Russie
ilus facile ni In
des sommes m
d e noblesse.
i f e s t a l t depuis un siècle devint complète sous
Draine de Saxe, Auguste H et Auguste 111.
, entachée de désordres, d'insubordination.
Aux partis polios
dissidents, qui,
•ègne de Stanislas-Auguste IV (Poniatovsiri, 1764-1798), obtinrent
e x e r c i c e de leur culte, fournirent aux Etat s voisins un prétexte
i m i s c e r dans les affaires publiques de la Pologne. Lorsque l'êlee-
B r a n d e b o n r g se fut déclaré roi do Prusse (l'indépendance de
a i t déjà été reconnue par la Pologne dans le traité de
q u a n d , par suite du glorieux règne de Pierre le Grand,
enue à la fois principale puissance du nord et grande
i Suède, sous Charles Xl l , se trouva,
5 l'impossibilité de rien entreprendre
es vues, — les puissants voisins de
royaume. Le cempétiteur du roi de
¡que appuyé par la Suède, ne put
e ; lorsque enfin
de Mazeppa, dn
d e s'opposer il
l a Pologne accélérèrent la chute d;
P o l o g n e , Stanislas LesKczynski, qi
s e maintenir contre l'influence russe, déf
a i t e de Poltava (1709), et Auguste 11 i
d e la Pologne encombrée de troupes rus
les Turcs et les Kozaks continuaient â
P i e r r e le Grand fut pour la Pologi
iqii
c e qi
r o y a u m e de Kazi
p e r e u r s de Russi
L a confédération
n o v i t z contre les
u e dominante depuis la délOuta
sur le trône vacillant
e t saxonnes, pendant que
é t e r le sud-est de l'empire,
' a v a i t été fvan lU pour le
fiireii
Varsi
apaisées que par l'ascendai
e eu 1717. La prépondén
l a r q u e s'accrut encorc par
à ïfystadt, en 1720, et 1;
de jour en jour plus m
S u è d e ,
t r a i r e .
d ' A u g u s t e II, en 1733,
i n t e r r è g n e pendant lequi
le roi Stanislas Leszezy
la nouvelle diète appela
qui ne pa
implétement son
nouveau roi A
' u s t e
;n : — à partir du règne de Pierre le Grand,
e devinrent les arbitres des destinées de la Pologne,
d ' u n e grande partie de la noblesse polonaise à Tart
r o u p e s saxonnes amena des luttes sanglantes qui ne
;t de Pierre le Grand sur la diète de
uice que cette circonstance fit prendre
l a paix conclue entre la Russie et la
i cause des dissidents devint, au conl
u v a i s e , jusqu'à ce qu'enfin la mort
: h c v a de la perdre tout à fait. Après un court
u n corps de troupes russes chassa à Dautzig
iki, qui avait été éln par une confédération,
au trône de Pologne l'électenr do Saxe, Aut
toutefois qu'avec l'assistance des Rn;
iste Stanislas.
1 à expu
lutai
tout
s u p r ê m e
d é p u t é s
d a i e n t di
c r é a t i o n
p o s p o l i t a
s a b l e poi
chacun (
pozwaliai
i m m t ; c;
:ste IH commença son règne se
us défavorables. Une désorganisation générale se fai
les parties du royaunio. L'administration et le p;
s e concentraient dans la diète (selm), nombreus
délégués par la noblesse des diverses provinces
! la guerre ou de la paix, de la perception des
de nouvelles lois, eu un mot de toutes les affali
. Le consentement unanime de tous le
i r l'adoption d'un amendement. Le libo
e rejeter toute décision par nn « J e i
u ) , faisait de la diète une sorte di
u-, au lien de la prudence réfléchie qii
aux affaires, l'ad:
ment des plus fo
dominait dans le
que tous les dom
r o y a l e dans leurs
s e faisaient souvent la
d i è t e s provinciales. L
i n i s t r a t i o n d; •oya
gueuses passions. Los
lyaumo, étaient iiombi
nos de l'Etat. Ils viví
ibâteaux fortifiés; ils
u e r r e entre eux
l i b e r t é si vante
g r a n d e partie que dans les actes san
ques milliers de despotes, tandis que
imbait sons la corvée et des chari
1 les auspices
l i t sentir dans
ivoir législatif
assemblée de
lesquels décim
p ô t s , de la
i de la rjetcb
d é p u t e s était indispenim
veto ou le droit de
1 le permets pas > (nié
p a r o d i e de gouvernedoit
toujours présider
ne se trouvait livrée au déchalnem.
agnats, dont la prépondérance
•eux, riches, et possédaient pres-
.ieiit avec une magnificence toute
a v a i e n t des troupes à leur solde,
e t influençaient violemment les
0 des Polonais ne consistait en
c o n t r ô l e et sans frein de quel-
1 grande masse du peuple suce
x o r b i t a n t e s de toute espèce.
De p u i s l ' a v è n eme n t de s roi s de l a ma i s o n de S a x e , l'luflu l e s j u i f s
la toujours en augmentant, le luxe et la démoralisatio
;i des gentils
imines suivirent la môme progression ; ce qui n'empêcha
p o i n t cepen
lit que la culture des sciences et des beaux-arts ne r
épandit beau,
uji d'éclat sans porter aucune atteinte aux habitudes
x r i s t o c r a t i q u e:
e t cbevaleresqucs de la noblesse polonaise, basées principa
N