
80 P E U P L E S INDO-EÜUOPEENS.
;t femmes, ont le
petite on an moins de moyenne taille. Ti
|iic(l petit. Dans quelques villages, les •
íes ont lo teint foncé, la
chevelnre noire et la taille pins élevée qnc le reste de la population.
On remarque ca général que dans le midi de la Vollijnie les habitants
sont pins grands et pins binns; dans le nord, plus petits et pins blonds,
et que tous ont i-aroment des yens gris ou biens.
Parmi les maladies qui sévissent en ce pays on signale, au printemps,
des fièvres; en été, la dyssenterie; en automne et en liiver,
des fièvres lentes on nerveuses.
septentrionale, boisé
ni justifle l'usage q
La Volhyi
ours bumidi
lu tabac. Les habitants de ces c
nais cela tient moins îi l'effet di
!s sont assujettis des leur plus ti
et marcea
les homm
aitrées sont en
climat qn'au.ï
ndi-e jeunesse e
use, a un climat toufont
universellcmenl
énéi-al peu vigoureux ;
ides travaux auxquels
au défaut d'une nonrassez
substantielle. Ils s'adonnent
; et l'industrie étant complètement
uirtout à l'agriculture
iccaparés par les juifs
le
Les Rutbèues parlent en général le petitmélangé
de tournures de phrases et d'expressioi
mais fortci
polonais
Les maisons des paysans (l:lmtas) n'm
clnambre a laquelle ue se trouve que bleu
chambre a de trois il quatre fenêtres, d.
vrent dans l'angle principal ; l'antre est
(pel), qui consist
iute
1 trois p
. Le lit
angé dai
i avec
sont si:
ipal de
imagos
1 bé
ils
de la chambre
j o u r , il est plié et r
la maîtresse de la nu
quant aux lu
bancs. Bans l'angle i)r!n
liiafond sont placées les
teille contenant de l'eai
dinairement de fonne ci
téricnr, |ieintes à l'argil.
avant les grandes fêtes
bule, eu face de la eh
oii les paysans eonsei-vi
fête, etc. I^es bâtiments sont ce
deux poêles, l'nn pour cuire le p:
it pour la plupart qu'une seule
rarement joint nu cabinet; cette
Mit les deux plus grandes s'ouen
face du poêle, près du lit
.uches posées sur le banc qui règne tout
'est dressé qne pour la unit ; pendant le
un coin. Sur le pol couche seulement
ics enfants
nplemeiit i
l'appartem
saintes; au
Un ba
rrée. Les mais
blaiiclie plusiei
et avant la me
nibre, sont les
it tout ce qn'i
rts
1'
et anssi la mère du i
inpés tout autour sui
it et immédiatement se
iii-dessous d'elles est une
est placé devant la table
i t ,
il l'intéri
iqui
fois cl
De l'ai
its desti
it (
en chaume,
itre pour ch
lorequ'il fait très-froid, tout le monde s'assoit sufour.
Les arbres qnc l'on emploie pour bâtir les m
des annes et des trembles, qne l'on taille et do
posées horizontalemeut les nues sur les autres i
lairemeiit en terre. A côté de la maison se trouv
hangar en face duquel est l'étable pour les poi
palissade qui entoure la cour et le potager est
ehéue, et rarement en longues perches, comme
d'antres contrées. La grange est d'ordinaire éloif
grenier il blé est établi sur deux pieux
auti'cs moins solides. Les étables sont t
épais et forts et
•ès-légèrenient cou
il a l'exannée,
notamment
itre côté du vestiles
aux provisions,
u linge, habits de
Chaque maison a
luffer l'habitation ;
le poêle qui sert de
lisons sunt des sapius,
it on fait des poutres
n fichées pcrpendicu-
; presque toujours nn
:s et la vokilli
partout en pie
nous l'avons vu
née de la maisi
sur pi,
¡truites
La
[ dans
m: le
Vu la qualité iuférienre du sol, on s'occupe en général ass
jardinage, excepté dans le midi de la Volhyuie, qui produit si
cerises, des prunes et des poires. La principale ressource de
tion est dans l'agriculture, dont les produits s'écoulent de la
vers le nord par la Tistule, et de Kiev ainsi que de la Podol
sud; mais la difficulté d'exportation étant très-grande pour b
ou a commencé â alimenter les distilleries d'eau-de-vie du pi
récoltes. Les gouvernements habités par des Ruthènes sont ren
par leur étonnante fertilité. Les
sont oertainemeut les pins beaux
;t le
rope, autant ii cause de leur ht
accidenté mtagiicux et cou
Les paysans portent habituellement di
tin pour les jours de fête. Los ebemisi
fendues depuis ie col jusqu'à la poitrine
jusqu'à terre, se portent par-dessus le
3Z peu de
irtont des
la popnla-
Volhynie
ie vers le
1 Podolie,
•oduit des
larqnables
irncments de Podolie et de Ifiev
1 plus salnbres de la Kussie d'Euclimat
qu'en raison de leur sol
•ande partie de magnifiques forêts.
linge grossier, mais un peu plus
s, dont le col est rabattu, sont
; celles des hommes descendent
pantalon de toile et sont fixées
1 moyen d'une ceinture. Les fci
endent jusqu'à la c:
dn côté du dos, u
r tissée par bandes
les sont coiffés d'un
les reins i
ses qui des
rtent aussi,
ne de coule
il, les hom
quatre verchoks
ir bonnet est di
|_7 pouces angl
forme cylindriq
nit de longues che-
11e et des tabliers de toile ; elles
espèce de tablier très-étroit, en
•izoïitales. Pour les jours de traniet
de drap avec un rebord rmid
is) de rgcnr; mais po
il a quatre vereli
tenr, une entaille par derrière, et est fait avec la lai
grise des moutons de Crimée, l.es liouinies se rasent la I
ccptioii du sommet, il'oii les cheveux retombent tout autour
jusqu'à la naissance du front, et par derrière jusqu'il la
femmes portent des pardessus blancs, les ho
ir les
iks di
fêtes,
hauà
l
r de'
ue. Le
.lit
naintenus par une i
t dont les bouts si
sont taillées en fut
autour des poches
bouleau sont la cli
nt les fêtes. Pour
et des tabliers de
descendant jusqu'il la cheville et
fait deux fois le tour du corps i
le devant. Les pelisses de mouton
elles sont brodées de soie ronge
l'endroit des reins. Les sabots de
on ne porte des bottes que pendi
femmes mettent des robes de persi
à ramages. Dans la maison, elles ont la
choirs blancs ; mais lorsqu'elles sortent, t
bigarré ce même mouchoir blanc qu'elle
ce qui produit nn effet assez disgracieux,
de la Volhyuie, la coiffure est plus gracie
leurs cheveux très-serrés en deux natte:
attachés de longs cordons de laine ronge, puis i
tête comme d'une espèce de guirlande. Les cord
sur la nuque ; sous les tresses elles attachent
dizaine de rubans de couleur et quelquefois plus,
dans leurs tresses et sur la nuque des fli
des pardessus gris
ceinture ronge qui
iout dissimulés sur
rme de redingotes;
et sur le dos, à
issure ordinaire ;
les jours-la,
otoniiade blai
de simples n
irte
les
luche
¡lies attachent sur leur boi
j laissent retomber en ar
rière,
Dans les contrées méridio
males
use. Les jeunes ñlles tressent
Í à l'extrémité desquelles sont
s'en enloureut la
ronges :
de:
fra
cielles en hiver, f.es femmes
couleur et ensuite d'un léger
bouts enloure complètement
eu arrière. Les femmes et
békèches recouverts de drap
petits agneaux de Crimée; e
et de petites monnaies q
nieiits sont suspendues di
en miniature.
nt noués
ipingles une
mies arrangent aussi
.iches en été et artiliir
télc d'un bonnet de
tissu liil dont nn des
iiitre, très-Ioiig, pend
couvrent d'abord lei
mouchoir blanc d'ui
t ê t e , tandis que l':
les filles riches portent des kojoukhs ou
, avec des passe-poils faits de la laine de
illes se chargent le cou d'autant de coraux
d'en placer, et à ces ornes
images de saints peintes
il leur est possible
petites croix et di
L a nourriture ordinaire des Ruthènes est le borchtch et le gruau avec
du lard, dn lait ou de l'huile. An second déjeuner, ils mangent du paiii
avec du lard ou des oignons et des concombres salés; an sou|ier, le
plus souvent des pommes de terre, et quelquefois, poui> les jours de fête,
dn macaroni.
L'affection n'entre pour rien dans le choix des fiancés pour les unions
projetées ; les mariages sont arrangés par les |>arents ou les connaissances.
f.es cérémonies nu])tiales sont les mêmes que chez les Petits-
PLiissiens, sauf les chants, qui sont en moins grand nombre et auxquels
manque la variété. Tout ¡jorte, dans la célébration des mariages, un caractère
moins gai et moins solemiel ; mais, eu revanche, on y boit beaucoup
d'cau-de-vio.
Lorsqu'il est constaté que la jeune épouse est restée chaste jusqu'à
son mariage, ou lui attache le lendeuiain autour de la létc
mouclK
blanc maintenu jiar nu ruban rouge. On la conduit alors avec (
ment chez les convives qui se sont rasscmlilés et que la mu
l ' e a u - d e - v i e ont mis eu gaieté, puis l'on coupe le joban rougi
i pe
tifs morceaux, et chaque assistant en |irend nu bout qu'il attache av
une épingle â sa casquette ou â sou iiiouchuir de tête. I.cs deiinindeu
en mariage et les garçons de noce attachent sur leurs épaules d
écharpcs rouges, et le père et la mère de la jeune femme reçoive
des gâteaux saupoudrés avec de la graine de pavot.
Les jours de fête, on se rassemble poni' s'amuser,
danser, dans les cabarets et les auberges, dont la f!i
complètement dé|ionrvue. l^â on est obligé de se réunir
dans des kaiiaks (boutiques
irtont pi
-Russie
leur malpropreté, un dégoiit
nd l'eaii-d
lelâ de tout ce qi
• en pie
ni iiispii
: peut i
lilt, ¡lar
lagincr;
P E U P L E S INDO-EUROPÉENS.
ces iiabaks ne sont d'aiilei
peuple la possibilité do ho:
•s ouverts et organisés que pour faciliter au
e tout à son aise. Les auberges de la Petitcllussio,
surtout dans les gouvernements habités par des Eiilhènes, ont
un aspect et nn caractère plus européen, plus occidental : elles contiennent
une grande chambre de réunion, des chambres plus petites servant
de pied â terre, un buffet, etc. C'est aussi â l'auberge que se tiennent
toutes les assemblées relatives aux affaires de la commune.
fl n'y a pas d'antres instruments de
bouriiis. Ces derniers sont touchés av
frappe sur des cordes en fil de fer.
nsiquc que le violon et les ta:
de petites baguettes dont
L a piété, l'homiêteté et l'hospitalité
des Ruthènes.
ces manières
lièreme
et pici
partici
bonnes
De m
fectioniu
sont, co:
se proci:
vaux dn
Il est vrai qu'ils
ngageantes et aim
It le Russe; mais
les d'honnêteté.
me qu.
-mêm
n'ont p
ibles poi
leurs i
Petits-Russie
is tous les r
ime eux, économes et un
:-er de l'eau-dc-vie. Ils n
labourage.
lit les qualités c;
is plus que les r
r les étrangers q
itentions n'en soi
propr
ensiles
8 1
ractéristiqnes
:'tits-Rnssieiis
d distinguent
t pas moins
i Ruthènes coures,
excepté (|ua
:nt les boeufs (iiu pour les tri
l i r S S E S DE L,i lUÎSSIE-BLiNCHB.
Après les Petits-Russiens, les Russ
la Russie d'Europe la tribu soeur la
ment dits ; ils résident dans les goi
de Smolensk, de Tchernigov, d'Oi'cl
Si l'on considère seulement l'origiu
plus de 3,000,000 individus ; mais s
comme signes distinctifs de la natio:
de 2,850,000 âmes. On désigne spé
la Russie-BImiche les 1,650,000 âme
Vitebsk, de Smolensk, de Tchernig
ilTieiel et usuel, les Bi
ncnts de Minsk, de Groi
laugag
gonver
— qu'i
fl
lit pent-eti
lent la population
et n'ont pas de dénon
parfaitement uuo sitiif
résulte que la position
celle des Petits-Ru.ssie
correspondent les Rus:
1 plu:
is de la Russie-Blanche forment dans
plus rapprochée des Russes proprererneiucnts
de Mohilev, de Vitebsk,
de Minsk, de Grodno et de Vilua.
l e , on pont évaluer leur nombre â
si l'on prend la religion et la langue
iialité, on ne trouvera que le chiffre
icialenient sous le nom de Russes de
;s des gouvernements de Mohilev, de
;ov et d'Orel, qui forment, dans le
•eusses ; tandis que leurs frères des
et de Vilua, i
exact de nommer cor
principale des gonvcrneme
lination particulière. Cette
tien complexe sur laquelle
des Biélorousses offre la pli
ns. C'est ainsi qu'aux Rutliè
iiues de la Russie-Blanche.
1 nombre de 1,300,000
munément Rnssines, —
:ts appelés lithuaniens
irconstanco caractérise
reviendroi
Ilde analogie
e la l'etile-R
II 1
Les Biélorousses previe
cations des Slaves orienta
furent étendus vers les r
vitches et les Drégovitchc
la suite des trois partagi
siècle dernier, après u
de l'est et une longn
et le royaume de Poh
meut nationale qu'à pi
leur ancienne Eglise p
susnommés, ainsi que
grecs qui appartenaiei
d'Imi la confession rc
ualité, et que, sons
Russes de la R
nent essentiellement de deux
: (ultérieurement les Russes),
¡ions de l'est et du nord. C
;i>ande: nifil'i
Is
qui ne furent
de la Poiogne
très-ancieune sépai
incorjioration dans
le. jNfais cette réunion
ir de l'année 1839, qi
¡que tous les habitants
les antres grecs
intrefois â l'Eglise n
iense est l'indice le
•apport de la religion
che de religion grccq
:t les Ru.ssines, oll'ri
ssie-Bla
lut dits
lus et les Pol
rousses ]iropr
avec les Litl
cependant compter actiielleni
de Biélorousses ([ui, dans le
licisme et, saut l'origine, m
C'est ainsi que le chilfre de
réduit a 2,850,000 répartis i
Inicv, 870,000; dans celui d(
de ïchcruigov, 100,000 ; d'Or
460,000; de Vilua, 190,000
l'odolie, Klierson et Kovuo.
•éunis à la i
dans la sei
itioii politiqu
e grand-duc
on politique
après qii
itaient les ICrière
patrie qu'à
mde moitié du
de leurs frères
é de Lithuanie
le devint vrailans
le sein de
lisses des
tous unis, c'ost-à-diri
nie. Il s'ensuit
plus certain de
lents
: les
l'aiijonr
a natio
ilité, le;
et de la nat
e , c'est-a-dire les Biél
it nn contraste frappa
•s romains. Nous devo
is un
très-grand nomb
ont
embrassé le cath
.ncnnemcut des l'olona
alholiqnes roi
it comme l'olonais ours des siècles, se distinguent anciinc
plus de 3,000,000 Bii
nmc suit : dans le go
iloronsses se trou
nvcrncuient de M
Vilebsk, .130,000; de Smolensk, 300,000;
'1, 60,000; de Minsk, C60,000 ; de (Irodiio,
et quelques milles dans ceux de Ponza,
'UCC catholique roniai^
g r a n d nombre de gen
ipart de
u iioiuli
douiesti
e r r e s dims les co
e n c o r e plus con,^
i pi.lonaises; enfi
l o i g u é , ont iinpr
et surtout celle d(
de la
Itu.sslr
lietite
•able dl
infineuc
aux liiibit.
s jésuites; l'immigraqiii
acquirent pour la
Blanelie; la présence
iiiblesse (ehlaklita) et
des juifs,
nts pri litifs
•enioute à i
dos gouvo
forter
compi
par f
I,a
liromi
des u
ts de la Russie-Blanche un cachet particulier qui les
lent des autres Russes. Cela devient plus évident eue
raison qu'on peut faire entre eux et un graud nombre
liués dans ces contrées, oii leurs aienx, persécutés comme v
its ou sectaires, se réfugièrent pendant la brillante périodi
ire polonaise ; car leurs descendants sont restés de véritables Russes
îxtériour, les moeurs et même par le langage,
difi'érence que nous venons de signaler entre les Biélorousses pront
distingue
re liar la
le Russes
me vieux
do
dits et les Russines nous oblige il une analyse iilus spéciale
is et des antres. Nous ferons donc, pour plus d'exactitude, une
intion spéciale des habitants dn gouvernement de Mohilev et de ceux
gonvernenient de Vitebsk, comme les représentants les plus purs du
des Biélorousses. La description des Russines du gouvernement de
a sufiira ensuite pour faire ressortir les principales différences qui
tyr
Vilua
subsist,
de Grodi
ressemble
Les B
gorie a [
et en pa
liens com
jusqu'à k
t entre ( : et les Biéloi issos.
0 et de la pai
ut coniiilétenien
élorousses du ;
a r t , appartienn
•tic aux Russin
nicncerons par
ur incorporatioi
ie occidentale du
mvernement de
nt eu partie aux
s. Afin donc d'éi
m rapide aperçu
il la Russie, leur
que ceux des
gouvernement de Minsk
icments
Minsk, sans form
Í Biélorousses pro
iviter des répétiti
er une caté-
•prement dits
historique des Biélorousses,
véritable patrie.
incieus habitants slaves des
5ses furent les Krivitches, i
districts occupés anjoui
u nord de la Duna, dai
m pai
: gouetnei
dl Vitebsk,
lin Dniepr
et les Drégovitchcs, au midi de la môme
et au uord du Pripiet. Ces Drêgovitehes
touchaient à l'ouest aux Yatviaghes (tri
lité, aujourd'hui éteinte et habitant nag
dn gouvernement de Grodno), aux Lift
Le christianisme, inauguré il Kiev par
sans violence jusque dans ces contrées q
ensemble politique, composaient cepeudai
dynastie de Rurik sous Yaroslav et ses
Dniepr avaient notamment été, depuis le
sées aux passages et aux invasions des Ni
l'appel fait aux Russo-Varoegaes dans la
en 802, les districts nouiinés postérieurei
m sarmate, selon toute probabière
quelques parties occidentales
laniens et aux Lettons.
• Vladimir le Saint, se répandit
[ui, bien que ne formant pas nn
nt plusieurs duchés soumis à la
descendants. Les contrées dn
tem|is les plus reculés, expo-
•niands (Varoegnes); mais après
personne de Rurik leur elief,
ont Russie-Blanche durent nécessairement
ressentir l'influence des Varoegnes, de même que, bientôt
après, ils éprouvèrent, quoique sous d'autres rapports, celle des Litlinaniens.
Le graud-duc Yaroslav ne tarda pas à réunir en un em]iire les
différentes contrées appelées depuis ce temps Russie; il y parvint par des
institutions et des lois générales, par la pacifique propagation de la religion
cli.^étieunc, I'
grand nombre d'ég
rousses furent jadi
gecs sur Constantii
aussi plus
uastic lie
les Lithua
de ces pr
tard
irganisation de plusic
lises. Si les contrées
i en partie le théâtre
opie, et de l'apparitii
laitres des pays slave
rène îles querelles s«
ainsi epie i
cnntrécs fui
inbèrent eux
rik entre co
IS. Oes uiôm
IS lorsqu'ils
1rs écoles et la construction d'un
actuellerocut peuplées de Biéledes
expéditions normandes dirilU
première des Russo-Varoeguos
i septentrionanx, elles devinrent
nglantes des princes de la dye
leurs luttes séculaires contre
int enfin te théâtre de la chute
•mêmes sous la domiiiation des
i l
I