
P E Ü P L E S INDO-EUROPÉENS.
l'Europe, cliâtiôi
iiitloii du Volga ji
11 lies Av:
icst et ail
jete:
lorn-
Iii iloinbiat
givrent íi l'i
tribus cil
ouest av
Vistiile
les tliv
Lcldis,
lit les Biilgars
iqii'ii l'Elbe. Ui
les autres repassi
rtl, où se trouvaii
ct ICS Slaves, et etwidiveiit
1 parti e cles Slaves vesta sous
leur raee. Les tribus slaves qi
septième siècle occupèrent to
soutinrent jusqu'il
tious nationales i
•es non interrompues contre
i-niers (les Allemaïuls), aprè;
des Avars, subjuguèrent en
it au cliristianisme sous le
temp
du p
et l'Elbe, ct
H-ses ilénomii
etc., des guc
et de l'ouest. Ces d
magne, secoué le jou
convertirent violemnn
du grand empereur d'Allemagne, et furent loi
développement de l'existence paisible et stabl
la prospérité de sou commerce dans les ville
it les Karpatlies et se diririent
déjii depuis longtemps des
i s'étaient dirigées vers le nordt
le territoire compris entre la
la iin du liuitième siècle, sous
e Tclièldis, iSoraves, Sorabes,
leurs voisins du sud
avoir, sous Cliarlcpartie
les Slaves, les
•ègne des successeurs
i un obstacle an libre
mple slave, ainsi qu'il
et dans les villages
de la civili!
mano-germai
ennemis les
1 s'entendre
A cette époque mémorable pour l'iiist Europe
lation en
liques, la
avaient i
et de s'ui
:mcnt pai
:s confidi
par l'union de presque toutes les-nations roi
et les calamités de tontes sortes dont leurs
firent sentir aux peuples slaves le besoin de
l'intérêt de leur défense commune. L'ancie:
démembre
disparut soudainement et fut remplacé par
de grandi
d'Etats. Les Leldis et les JMoraves commencèrent l'établissement de ce
système, et bientôt les Serbes et les Ivliorvates suivirent leur exemple.
Dès cette époque, et par suite de l'important événement de l'appi
iccablés
lir dans
• tribus
irations
ux Rnsso-Variegui
ribus des Slaves i
(Normands de
i nord-est — ci
la Su ïde septeiitri
donna naissi
>el fait
îlqnes
atio
lale) par qn
ce il la fon
séparèrent définitivement
de l'empire russe, — les Slaves de l'ouest se
de lenrs compatriotes de l'est et du sud.
Au iicuvii-me siècle, nous trouvons les tribi
l'est, séparées par les contrées orientales de I
façon suivante sur le vaste espace qui s'étend
contrées de la mer Baltique et les Karpatlies
Les Slaves occidentaux babitaie
la Moravie, sous celui de Moravi
(entre l'Elbe et la Saalc); sous f
l'Elbe et l'Oder inférieurs ; comm
de la mer iîaltique ; comme Leklis ou Leldiioncs
le nom de jMazoviaucs, la rive droite du coui
Les trois dernières de ces tribus se r
la dénomination générale de Polialdis
Les Slaves de l'est liabitaieut coniu
des Karpathes ; comme Polancs, sur
actuel de Kiev ; comme Sévériancs, s
Drevlanes, sur le Pripiet; comme Bi
govitclies et Polotclianes, entre le Niémen et la D
mitches, sur le Soja et le Dniepr ; comme Viatitclies,
s slaves de l'ouest et de
Yistnle, réparties de la
entre l'Elbe et l'Olia, les
t la liobémo sous le nom de Tclièldis;
i ; la Tluiringe, sous celui de Sorabes
nom d'Obotrites ct de Viltses, entre
! Pomoranes (Poméraniens), les bords
la rive gaucbe, ct sous
cours central de la Yistnle.
font, au dixième siècle, sous
ou Polalis (Polonais),
ne Kkorvates le versant nord-est
le Dniepr dans le gouvernement
air la Desna et la Sonia ; comme
ijanes, sur le Bong; comme Dréconime
Radi-
Krivitches, aux sources de la Duna, du Du
Slavianes (plus lard Novgorodicns, du nom de
le lac Ilmèn.
r l'Oka ; con
Volga ; con
Novgorod),
Après avo!
semble, nons
aujourd'liui 1'
• ainsi fait
allons nous i
nnpiro de Ri
dans leur en-
; qui liabitcnt
laitrc les Slaves considérés
per particulièrement de cci
i: Eusses, Serbes, Buigars et Pol.
EUSSES.
De tous les peuples slaves, c'est chez les Eusses que se développa le
pins complètement le caractère patriarcal des institutions nationales qui
distingue les Slaves d'une manière si frappante des peuples de l'Europe
occidentale. Réuni h. l'influence orientale qui se faisait sentir plus tard
d'une manière si efficace, ce caractère patriarcal créa le type russe,
qui apparaît, de nos jours encore, si saillant et si remarquable. Nulle
autre part la famille — société créée par la natu
î — et la commune —
ensemble institué par les hommes, — la première commi
; corporation iliri-
gée par son chef naturel, la seconde comme associatio
1 administrée iiaignification;
un chef élu, n'ont une telle importance, une si large s
mille
autre part elles ne forment un tout si homogène et si
indépendant. Le
chef de toutes les familles, de toutes les communes, de
toutes les tribus
russes, c'est Je tsar. L'idée qui se rattache à ce mot est toute différente
de celle qu'exprime en Occident le mot kaiser (empereur), bien
que l'un et l'autre soient dérivés de Coesar. (La transformation du mot
Coesar en tsar se retrouve aussi dans Tsaragotsa (Saragossa), )iom que
les Espagnols ont formé de Cicsar Augusta). Le tsar est le père natur
e l , légitime et absolu de toute la nation russe, et en même temps le
chef suprême de l'Eglise i-usse. Aussi illimité est son pouvoir sur le
peuple russe, aussi absolue est l'obéissance de ce peuple aux volontés
du tsar, aussi décisive est suj-'ses sujets l'influence de la grâce ou de
la défaveur de l'empereur.
La nation russe, telle qu'elle est formée d'éléments slaves soumis à
des influences non slaves — et peut-être justement pour cette l'aison devenue
le peuple le plus eminent de la race slave, — no peut être ni comprise
ni définie sans l'unité religieuse, politique et nationale. Le principe
russe ou moscovite est concentré tout entier dans l'idée que représente
le mot tsar, ct n'en est à vrai dire que le développement, Et de môme
que ce principe et cette idée, parfaitement compris aussi du reste du
monde slave, sont tout il fait étrangers k l'occident de l'Europe, de
même aussi l'Eglise russe — très-rapprochée de l'Eglise grecque par des
liens d'intime parenté — n'a aucune afiinité avec les Eglises d'Occident,
auxquelles elle est même opposée. La dénomination de grecque donnée
h l'Eglise russe n'est plus admissible aujourd'hui pour les adeptes de ce
culte, car depuis longtemps les Grecs ont cessé de représenter le point
central et dirigeant de l'Eglise d'Orient. La période grecque ou byzantine
de l'Eglise russe prit fln avec le commencement de la domination
on doit remarquer les efi'orts successifs
inchir du joug de la suprématie
t se diviser en deux métropolei
e des Russes en Russes moscov
mongole ; depuis cette époque
que fit l'Eglise russe pour s'affi
C'est alors, en effet, qu'on la \
mément h la séparation politiqi
Russes litliuaniens ; h
jusqu'à ce que, par V
grecque,
i, confortes
et en
nétropole de Moscou ct celle de Kiev (1415),
;titution du patriarcat à Moscou en 1589, elle
devait complètement indépendante, et qu'enfin, après l'abolition du pat
r i a r c a t et la création du saint synode en 1721, cette Eglise s'identifiât
complètement avec l'Etat.
Plus de 57 millions de Slaves professent le culte oriental, comme
nous l'avons dit plus haut. Les adeptes de l'Eglise grecque proprement
dite sont, comparativement à ceux de l'Eglise russe (qui sont tous
Russes), de peu de poids sous le rapport numérique et de luille impoi
tance sous le rapport politique. L'ancienne Eglise grecque, avec
ses interminables discussions tliéologiques et ses innombrables sectes, a
dispai-u depuis longtemps en Russie, ct k côté de sa jeune soeui', l'I'lglise
grecque d'aujourd'hui se voit dépouillée de pi'cstige ct d'influence.
Les Slaves de l'est professent encore, par ti'adition autant que pnr
l)iété, un grand resjiect pour le patriarclie de Coustautinoiile, pai'co ([ue
c'est de \h qu'ils reçurent le bienfait du christianisme : les sièges des
quatre patriarcats grecs sont Constantinople, Antioche, Jérusalem et
Alexandrie.
P E U P L E S INliO-E.UROPÉENS.
L'immense domination de la Russie, qui s'étci
• le; latic diverses, doit
, russe de la G
dités les pl
ot sa vitalité uniquement l'élén
la vérité — surtout à St-Pétersbourg et par l'intc
taie, — se trouve depuis presque deux siècles, et
la dernière guerre (1856), en l'apport continuel a
industriels et agronomiques du reste de l'Europe
l'empire, même dans les régions les ])lus éloignée
ment et plus vite encore que partout
tudcs russes pénètrent dans les nombre
dans trois parties du
son soutien, sa force
l'ande-Russie, qui, à
inédiaire de cette capiurtout
depuis la fin de
îc les progrès sociaux,
Sur tous les points de
éloignées — ct là plus visibleillcurs,
— la vie ot les liabi-
•es nationalités souvent encore
|)aïennes, ct cela arrive dans les contrées même où, comme ;
case, les Russes sont en minorité.
Deux provinces cependant occupent une position à part : ce
Pologne et la Finlande, En Pologne, l'élément polonais, en Finland
ment suédois, supérieurs, jusqu'à un certain point, à l'élément russe sou
le rapport de la civilisation et des moeurs, maintiennent les droits d
1 Cau
)nt la
l'éléleiir
indépendance nationale et administrative. Ei
majorité de la population est polonaise. En Einland
tièrcmcnt finnoise et aussi en partie suédoise, si
mais tous les monuments de l'iutelligcncc et de la
souvenirs historiques, tonte l'administration , le
testantisme) sont suédois; l'él
progressif, se retrempe consti
par lui. On doit cependant re
nées les Finnois reviennent
qui
Pologne, la grande
, elle est presque cn-
•tout sui' les côtes ;
¡ivilisatio
culte mén
lent finnois, dont l'essor est d
ment dans l'élément suédois e
n-quer que depuis quelques di;
cc passion h leurs traditions
tous les
(le promu
trèse
fortifie
les d'aulationales,
int dans l'esprit et les oeuvres de leur littérature contempo-
Dans les provinces Baltiques, la grande majorité de la population est
esthonieiine (finnoise) et lettone (litliuanienue) ; la noblesse des campagnes
et la bourgeoisie des villes sont allemandes. Tous les usages, l'administration,
les mcenrs et la civilisation ai)partiennent aussi à l'Allemagne,
Toutes les autres parties de l'empire sont devenues véritablement
russes ou se trouvent — comme les provinces du Caucase ct une
partie de la steppe kii'ghizc — en voie de le devenir, par suite de la prépondérance
do la nationalité russe.
La Russie forme un point central entre l'Europe et l'Asie, dominant
ainsi l'orient de l'Europe et le nord de l'Asie. La tâche que la nature lui
a imposée est d'introduii'C en Asie la civilisation. C'est pour accomplir
cette mission providentielle que la Russie a commencé à entrer dans
une voie de progrès, d'humanité, de sociabilité, de commerce et d'industrie.
Le centre de gravité de l'empire penche chaque jour de plus en
plus vers l'est et le sud-est. Le pays d'Orenbourg, les gouvernement«
de Saratov, de Samara et le Caucase, prennent
vers ces régions que se dirige la colonisation vc
ce -mouvement a pris plus d'importance encore
question sociale du moment a reçu sa solution,
taches qui incombent à la Russie — son progrès c
tion de l'Asie — sont encore éloignées de leur
pour l'une et l'autre on emploie depuis quelque
plus énergiques et les plus eflicaces, ct c'est le
de ces tâches qui facilitera l'heureux résultat de la sei
peuple ne possède une intelligence aussi souple,
Russes, l'orsqu'il s'agit de propager leur nat
non européens et de se les assimiler par la c
Dans son livre intitulé «l'Amérique, l'Ev
litiques du moment présent, » Froebel s'exprini
«une teinte orientale et sa pO])u!ation levaiitiiu
.«américain en général, et spécialement du u
Lin puissant essor; c'est
dontaire ct obligée, et
depuis que la grande
Les deux principales
n Europe et la civilisaaccomplissement
; mais
s années les leviers les
snccès de la première
de. Aucun
pratique que les
lonalitc p irmi des peuples
ivilisation,
irope et les questions poe
ainsi : < L a Russie, avec
forme l'opposé du mondi
londe nord et sud amériicain,
considéré comme extrêmes géographiques et politiques. Mais de
< même qu'en ce moment le monde américain n'est activement représenté
«que par les Etats-Unis, de même aussi le groupe oriental n'a aujourd'hui
«d'antre représentant actif que la Russie. La Russie, relativement au Le-
<vant, doit conséqucmment être mise en parallèle avec les Etats-Unis re-
< lativemeut aux Etats latino-américains.
<Ce n'est que par la guerre d'Oi'ient que la situation de la Russie
«vis-à-vis de l'Europe occidentale a été mise à jour. Sa participation aci
t i v c aux affaires do l'Occident ne correspond qu'à une phase passagère
a lu dévcloppem îst q.i
t résultats de la
nt de la puissance
dernière guerre qu'
Ce
•atcur illustre a p
ésence des
I faire eu-
< tendre, à propos du i)ri.
assurément nn)ins grandi
<l)ositioii tout exccptioinu
<parlicut pas à l'Asie.
• partie du monde, q
«sation occidentale
- nationale à sa base
v'En effet, la Russ
•op
:ipe sia- ; paroles dont la portée i
t cette giien-e :
nelle ; elle .l'appartient p
La Russie forme paise
de
La Rus;
ts à i'Ki
l0JI|)C à f
iccupe
allien
ist dar
í , elle
lilant ia (
.1. parfaite
¡xtérieu:
position
ent o(, intérieur
lalogue à celle
nt,
<dc l'Europe occidentale,
;upci
i Etats-Unis d'Amérique. J^a diflerencc consiste
1U|U( qu(
<jusqu'à présent, les Ktats-Unis ont posé eu système le principe; de
•mou-intervention dans la politique cui opéenne, tandis que la Russie
i professe au contraii'c le pi-iucipc d'immixtion. L'existence natio
lalo d'il
ipcnpie ne se manifeste point ))ar la conccntiation en soi-niêm
"par l'habileté à profiter des événements et des intéi-éts qui !
'iigitent
c autour de lui dans l'univers; et cela ne peut avoir lieu quo
«comprend bien ces intérêts et qu'on saclic y prendi'o à propos i
I part
' a c t i v e. Si la Russie a cédé dans une lutte inégale, la giu-rre d'Orient
«l'a éclairée sur certahies imperfections de son administration intéi'ieurc,
"pas trop difliciles à réparer, et a j)rovoquó en même tomp.s chez elle
' «des améliorations progressives qui, sans cet événement, se seraient pput-
« être fait attendre encore longtemps. Cette guerre lui a inspiré la coimaisîsance
exacte et la juste appréciation de soi-même, et a mis ainsi à jour
î l e s points sur lesquels elle diffère avec l'Occident. Et c'est là, sans
«doute, un résultat contiaire, sous plusieurs rapports, à celui que TOcci-
«dent s'était proposé et qu'il croyait avoir atteint.
«Malgré les contrastes de tout genre et l'immense espace qui les sé-
«pare, la Russie se trouve vis-à-vis de l'Ainéi-ique — son antipode géoî
graphique ct politique — dans des rapports naturels qu'on ne saurait
«contester. Si ces deux pays étaient mis en contact immédiat, ils se
«repousseraient évidemment l'un l'autre; mais ce contact n'existe pas,
< C'est ainsi qu'il règne enti-e ces deux cxti'êmes politiques ujie cej'taiue
«sympathie basée sur des particularités communes de situation, d'inté-
«réts, de tendances et de direction de leurs forces respectives, J.va jeu-
<ucssc pareille des deux peuples, quoique prise d'un point de vue diffé-
«rent; l'identité des phénomènes de la nature se développant sur un
«territoire d'une grande étendue ct en partie encore inculte, dont on
«prit possession par une série analogue de découvertes successives, par
<la colonisation et l'assei-visscment de peuplades sauvages; le môme
• voisinage d'Etats plus faibles et tomliés en décadence; les mêmes rapq)
orts de nationalité .avec l'Europe occidentale : toutes ces circonstances
« l'éunies ont produit dans les deux nations un fond de réalité semblable,
••une même tendauce à l'accroissement politique, la même prescience
' " d ' u n avenir glorieux et brillant. »
La Russie est un Etat jeune, comme les Russes une jeune nation; ct
de même que l'on est porté à user de plus d'indulgence envers un adolescent
et que beaucoup de choses chez lui passent sans conséquence et
à- l'égard des Russes et de la Russie. En
me foule de choses réussissent en Russie
le Russe rencontre partout moins de dif-
•e l'art de s'en créer lui-même. Dans les
décisifs aussi bien que dans les incidents
inaperçues, ainsi doit-il en être
grand aussi bien qu'en petit,
qui échoueraient ailleurs ; et s
ficultés, c'est parce qu'il igno
événements historiques les phi
de la vie journalière et privée, tout se fait plus que partout ailleurs
avec une tranquillité calme et d'une manière moins ostensible. Les Russes
ont subi la domination des Normands, l'introduction du christianisme, la
ide du partage en principautés, la domination mongole, l'absorption
pei
des provinces de
duché de Lithua
l'Eglise latine, h
la concentration
l'est dans l'empire moscovite, de l'ouest dans le grand^
nie et le royaume de Pologne, l'union religieuse avec
is réformes politiques et religieuses de Pierre le Grand,
de la Russie en un seul empire, les gu(
quêtes en Occident et en Orient, l'influence européenne et
et ils ont survécu à tout et ne se sont point altéi'és. Toi
ents ont laissé des traces de lei
>nt toujours restés Russes.
passage ct néan
res et consiatique,
—
ces évcneles
Russes
Toutefois, sous
lement et presqu'
aussi bien que ¡,
plus vrai de leur
originelle et pi-ii
le i-apport ethnog
exclusivement de
u- la nationalité,
race, type qui s'éi
litive dans les ch
aphique, on s'occup
ceux des Russes qui, par k
•epréscutent le type le plus
acte déjà plus ou moins de
sses élevées, oii il tend .'i
esscntiele
nombre
5 pur, le
sa forme
rap