
I
I 1ÌI )
50
ct do
fcs pvocicuses.
riclics liani.1
lis aussi toutes
raircineiit. Loi
mues il feu fi
.pport l'cligicii
i c i t tmn)
isagi: (los
Sous Ic I
rs habits de gala et ; leu
urs de fête et pour li
lie résidenec qu'ils oeei
p o r t a i t
iciit les joi
(luittout m
est g&iéi-al(
lélaiige (le
[lieu bon et à i
P E U P L E S 0Ü1UL0-ALTAÍQÜBS,
Les Kirgliiz
s iiou-seulen
les fois qu'ils
:ui- ai'uicuieiit
it défectncux; ma
It chaque joui- plus Oc progriis.
IX, les Kirghiz sont très-arriérés. Ils professent
;me et (VidohVtric ; plusieurs d'entre eux croient
Llien malfaisant. Ils adorent anssi d'autres esinsi
que les devins ont sur eux la plus grande
uduence. 1
Jeûnent poi
même les m
naître d'ailli
l.e Kirglm
La poljgi
I d u s , ui los
précepte du
ils n'oul ni
.uagii ut pourtant être de bons i
qui pr
uuétaus I
s exactei
fera jai
0 est trèi
c h a
professe q
qui r
tribm
t n
lis lili
iibeaii
ist da
des pi
IO par quelques
idissent priis de
IX. l.a ville de
est
la
ifossent
tes, se croyant ei
t la différence qu
i travailler un so
liandiie parmi les
ablutions, qui so
1 dit ses prières pi
lergo. L'islainisni
de Khiva
ihs établi
ilinans et
landisscnt
sans conux
11 antre culte. Ils i
x-mêmcs soiimiites
existe entre ces di
nuite comme esclave,
ichcs. Ils n'observent, an sur
it pourtant un sage et sévéri
ur soi et dans sa maison, ea
n'est, il proprement parler
Bonlihara et du Turkestan
sectes.
» lieux j
iaints et qu'on leu
auteurs du sacrifie
t dans les étoiles
Hres Khiva, d.
res qi
iole dl
ciel I
rs lie
et qu'ils desi
par de fervi
reuse tombe
est divisé ei
Les Kirgli
non-seul,
faire naît,
qui se prési
moyc]) de conjurations,
COU]) les chamaiies de 1
très-étonnantes.
Ignorants, fiere, pai
par le gouvenii
1 chefs de tribu les fonctions de
Turkestan, qui l'ut souvent la rc
nent russe e'
lecrétaires des
idence des anaints
onsidérée comme l'un des lieux les plus saints
•teppe ont également droit ii cette même V'
Dn récite des prièi-es, quoi
limaux dont la chair est m;
Ì. Les Kirghiz s'imaginent que les défu
de bons et de mauvais esprits, selon lei
,ir la terre cliaque fois qu'on célèbre le
Tes. Chaque jour une étoile heureuse
I terre, et, d'après cette ci-oyanc
et en jours néfastes,
étant très-superstitieux, sont souveut dupes
lent se vantent de pouvoir prédire l'avenir, ; certain:
its 1
! temps
le bonlieni
intent con
1 le malhemédecins
et di guérir les
préti
mt les baksy c
dent éloig-ner
•batchy, qui
ntm-iers
mais
encore de
maladies. Ceux
les maladies au
rappellent beau-
Sibé) et qui font ( rite parfois des dio
isseï
de la lature
emportés et passionnés, les Kaissaks, enfants
que d'un petit nombre de bonnes qualités,
lent ; ils aucune idée du juste et de
ne sont doué
fc est lenr élémi
'ont on vue que le
reposent sur les fc
de
ganda,
i, et n
Le bri
l'injusti
du ménage i
k la miiison
besoin contir
insignifiante
siveté, joint'
; fil'
moroses et c
les autres p
uplc
peser sur eux. T1
t n i i , c'est-ii-dire
mahoinétan. Leui
intérêts, et leurs
lii sa hibr
î jaser et i
Dand dans 1
spect unifo:
el. Comme tous les soins
a absolument rien îi faii'e
extrême gourmandise, le
sité. La nouvelle la plus
apidité de l'éclair. L'oii
end les hommes sombres,
sont moins méfiants que
entent aucun despotisme
exciter la méfiance d'au-
Is n'ont m
ir intérêt person
mrnes, ic mari i
ité effrénée, sor
le insatiable cur
steppe avec la
ne de la stoppe,
«sir bruyant. Il
parce qu'ils ne
oins très-enclins
r p:
is de t
. asiati
; sont
à violer leur parole et îi duper qniconiiue n'est pas
indolejice ne les empêche pas de songer leurs propres
exigences vont môme jusqu'à l'impudence, si Ton a la
:• îi leurs prétentions. Ils ne connaissent ni les égards
laiblesse :cde.
ni la pitié. Les deux seules boni
sont le respect pour les vieillard;
mais elles ne jettent qu'un faible
qui les ternissent; semblables en
i les 1
•bes qui les
i les Kirgh
sse les eutr
X aneune tri
entreprises
courage parmi
mobile qui puiss
trouve chez eux
semble dans les •
enir un combat
'acitc incroyable,
cho
lais ils
es qualités qui relèvent leur caractère
et le sentiment de la reconnaissance;
éclat, à cause des nomTjreux défauts
cela doux tendres plantes étouffées
entourent. On ne saurait même trouver
iz, car un gain sûr et sans péril c.st
ainer dans une entreprise belliqueuse,
ice d'ordre, d'obéissance, de discipline
: aussi les Kirghiz sont-ils incapables
?gulier. Ils attaquent par petites troupes, et avec
les caravanes et les Îltats limitrophes. Le prela
plupart des peuples asiatiques, est rude et
lent pas longtemps et fuient bientôt en désordre.
sont hardis que dans l'espoir du hntin, et parce qu'ils comptent
sur la rapidité dt
n'est pas basée s
Koran ; ils sont ii
de la vanité chez
rs chevaux. L'hospitalité qn'ils
'amour do l'hnmanité, mais si
inliospitaHcrs il. l'égard di
plus distingués d'entre eu;
ïxercent e
les prée iptes du
é t r i
pureté de 1
elient nu g:
nement rusi
r race et la i
id prix. Toute
rend le Kirg
nhlesse de loi
marqu.
iz tré
ehevau
r de pl
bestiaux et di
n et sont liciiri
ince est d'autant plus ter
nombre de
besoin de r
Lenr vengi
meute par la passii
1 dn pillage, qu'il
et celni dont les pi
ijets de vengeau
ports d'une vlolenti
fureur.
La Petite Hordi
est celle qni a
sciisions intestines,
qui causèrent nu
les pères et les n
u-es conduisirent
leurs enfants poi
• les
'endre. Le pi
de farine, celui d'i
ne fille de
ment profond à sa
steppe, d'
thonsiasme poétiqu
la nature qui s'oli'i
promettraient leur
niant des établisse
payent nu tribut i
pas d'enfermer les femmes dans un harei
femmes eoùtent ordinairement fort cher,
ordinairement qu'une sente. Quoique jou:
solne, les femmes sont char
traitées fort durement. Les fi
turel et valent beaucoup mien;
leurs enfants et compatissantei
Lo choix du mari est fait i
On
c; elle se fonde
line, à laquelle il
3n de la part du j
qui possèdent un
dent pas, car il
e distln
er. Ceii
ne les i
lir faire étalage de leurs ri
ible qne le désir de l'exerce
appellent baranta (eomper
e sont déjoués se livre au;
ihesscs.
• s'aiigiatioii);
traiistoujours
souffert le plus des distelle
misère qu'en 1S13 et ISlô
eux-mêmes anx frontières russes
ait do 3 il 4 sacs
porte un attaehei
a in cnd'un
garçon
2 à 3 sacs. Le Kirghi
:t l'aspect lui commnn
.piratici
! et lui fait chanter il'
c il ses regards. Les Kir
indépendance en s'occupi
nents fixes; nomades, il;
isignifiant Le genre de
ique 1
le pri
liiz s'imagine
it d'agriculti
sont tout il
e de ce peu
; d'ai
les K
lit d'un
les tri
ISSI
ios de tons
raies Kirghi
que les hor
ont Cl
nier objet de
t qn'ils coui-
•e et eu forfait
hbres et
le ne permet
enrs, commo plitsieun
•ghiz panvrcs n'eu oui
ne liberté presque abaux
domestiques el
général un bou uacs
sont tendres poiii
dn kaljm et lo tennc
benit le mariage, qni
c o i a r e que lorsqne ti
froqni
strieti
an pl
Si
tribus
dn paye
est smv
at le
er sa fiai
•éserve. Si
vito, lors
I jeun
de pr
irdinairenient par les parents ; le montant
ment sont déterminés d'avance. Lo mollah
dvi de festins et de fêtes. Toutefois il n'est
kalym est payé. Le promis a le droit de
ais il doit rester daus les boi'nes de la plus
ilheur la fiancée devient enceinte, on la marie
:iue le kalym ne serait pas entièrement acquitté,
par
femme n'a pas été innocente, il est d'usage, dans plusieurs
idre le meilleur cheval et le costume le plus riche de l'épouse
et de les attacher à la kibitka de la coupable ; l'époux
alors de tuer le cheval, de déchirer les habits, do détr
de redemander à son beau-père le kalym qu'il lui a payé
ui donne une autre di
i ses filh
mariage. Mai
'eproches, le jeune m
ari va, revêtu d(
ses phi
! beai
;ur son meilleur cheva
, rendre visite ii
DU beau
•pere,
iui ont plusieurs femn
los logent chacun
d'elles
dans
oifensé a le droit
lire la Idbitta et
on d'exiger qu'il
i femme est sans
habits et raouté
es Kirghiz riches
ne kibititi
il part.
; nous l'a
kirghizc.
Ils épousent volontiers des femmes kalmoukes, comui
plus liant, et dans lo cas ofi il.s choisissent une femmi
toujours soin de la prendre dans une autre tribu.
Lorsqu'il y a un décès, on procède il de grandes cérémonies de déses
poir pour lesquelles on loue des femmes qui ont souvent répété leu
rôle devant nn miinnequiii, pendant toute une année, ce qui a lien priii
cipalement dans la Horde Moyenne. Dans quelques tribus de la Grandi
et de la Moyenne Horde, on n'enterre pas tout de suite les morts, mai
on les suspend ¡i des arhres j
sont expédiés daus le Turkesti
tières produisent une imprcssioi
leurs ornements ; e'est la seule
l'étendue de la steppe et qni v
aussi quelques tombeaux isolés
squ printemps, époque il laquelle ils
m, où alors on les
entci Le
eiuieiiiforn
n toute spéciale pai
istrnctio
particularité qu'on
ieuue en rompre l'u
près dcsqncls on a
tracé
conduit ans
commodcnie
beaucoup di
la pierre.
Los prin<
vaux, Ces î
nombi
admir
eaux les plus
i t étancher sa
: tombeaux tchc
rapprochées, afin
soif. Sur les deux
ides, avec des figui
dans toufe
On trouve
chemin qui
e le mort puisse pbus
vcs de l'Irtych il y a
d'hommes taillée.s dans
délassements des K:
ncnts ont toujours li
l'ghi
i au
ise assemblée et foi
la beauté de leure
it en cou:
de fêtes,
s l'occasi
consiste
X jours
gens ai SI
: et l'opulence étalée po
ses de cheatti
rent mie
m de iairc
traiter les
P E U P L E S OURALO-ALTAÏQUES.
convives. Les fi
;s des ge
gnées de festins
portés à cheva
d'une yourte il
et boit largenu
ni désordres.
Le commerce de ce peuple pourrait prendre un
bien dirigé, car l'énorme quantité de bestiaux
chaque année i\ ses habitants un accroissement de
et fournit aux Russes l'occasion de faire ^
chandises diverses. Les habitudes de la vi(
steppe que depuis bien peu do temps, et h
de l'industi'ie n'y ont pu prendi-e encore
On ne saurait d'ailleurs nommer pauvre, er
tout son bien-être à l'élève du bétail, quoiqi
qu'on puisse se créer des moyens d'existi
sans troupeaux. Les familles kirgliizos les i
mêmes tout ce qui est indispensable î\ leur
chez les peuples voisins. Travailler pour le
vêtements, semble déshonorant aux yeux des Kirghiz
que les plus indigents qui s'occupent à confectionner de;
liers, des selles, etc., et encore ne le font-ils pas poi
gent un prix quelconque fixé d'avance pour leur tr
exister seulement; car ils n'acceptent, après d'autre r
certaine quantité de bétail, le plus souvent des nn
a besoin de quelque objet nécessaire à la vie, il
riches sont constami
dans cette occasion,
ns et de courses
I et présentés h la ronde. La
inie autre et dévore de la chai
mt du koumyss, A ces fêtes il
foule des
.m grai
! russe
it accompamets
sont
vités passe
louton et de cheval,
jamais ni querelles
.•apide essor, s'il était
le la stoppe procure
ressources matérielles
d commerce de marn'ont
pénétré dans la
:s relations du commerce et
beaucoup de développement,
général, nn peuple qui doit
['il ne veuille pas comprondi'c
ice par le
loins aisées
iutrc
pa et le prie de faire pour h i tel ou tel oiivrs
même l'étoffe, etc., et ne manqi
de l'objet demandé, dont le prix
penser le travailleur en lui doni:
domestiques, de la laine ou des peau:
pays des Kirghiz, que les industries le
pauvres qui seuls s'en occupent. La préparation
des selles, des vêtements, etc., sont dévolues au:
en argent sont i-aremont confectionnés par les î
chez eux par leurs voisins. C'est une chose vrain
Kirgliiz pauvres de l'un et de l'autre sexe, qui
riches des mois entiers, et quelquefois toute UÎ
jamais, aussitôt
'a pas même été
it des moutons oi
aux. On n'exerce
! les plus
travail et vivre
fabi'iquent ellesse
le procurent
:me coudre leurs
aussi n'y a-t-il
habits, des sou-
• toucher en arravail,
mais pour
rétribution, qu'une
itons. Si un riche
nvoie chercher un
II fournit luiaprès
ia livraison
itipulé, de récom-
>ns ou d'autres animaux
erce donc ainsi, dans le
iples, et ce sont les plus
des cuirs, la confection
. femmes. Les ornements
irghiz; ils sont importés
lent remarquable que les
vont travailler chez los
e année, ne s'informent
aucunement de ce qu'on 1
même à fixer le prix de le
vancc combien ils doivent don
tons par an, plus la noiu-ritu
quand ces mêmes Kirghiz tr
ou pour des Kozaks (Tchala-Kozaks), pour des Tachkentes (émigrés et
nomades venus do l'Asie centi'ale), pour dos marchands ou des paysans
r donnera pour salaire et ne pensent pas
• travail. Les riches savent eux-mêmes d'a-
: c'est ordinairement de 20 à 50 mouet
souvent aussi l'habillement. Mais
Lvaillent pour des Russes dans les districts,
is et les villes limitrophes de la steppe, ils fixent toucn
argent, mais sans exiger la nourriture ni les vêtements,
•ntière on rencontre beaucoup de ces Ivirghiz paun-es qui
: bergers, surtout comme faucheurs, et vont pour cela
dos gou^^ernements limitrophes.
dans les distric
jours leur prix
Sur la ligne fr
se louent commo
jusque dans l'intér
:sc aux quiidrupôdes et aux oiseaux, et la pêche dans les lacs
lont poissonneux des parties septentrionales et orientales de la
contiennent les espèces les plus recherchées, se trouvent enun
état d'enfance. Le lac Zaïssan lui seul fournit annuellede
10,000 pouds de poisson. Aussi l'exportation annuelle pour
de la Russie de toute espèce de poissons est-elle très-considét
plus que les Kirghiz de l'Altaï n'en mangent que fort
itrées où il y a des Kozaks, la pêche se fait avec
-utai
dans les i
0 un plus grand revenu,
marchandises est on générai très-cher: pour une
;tes on paye de 30 il 40 copecs par pond. Le comii'S
d'une manière fort singulière ; car tout échange
nitons ou d'autres anima
le iirix est sunnuté d'anrès cfliù des inoutor
•endent tout
La c
excessiv
steppe, qu
core dans
ment plus
l'intériei
rable, d'à
peu
plus d'ordre et donn
Le transport des
distance do 000 vers
merce se fait d'aillei
outre des nu
2St supputé d'après ce
les aonls, les Kozaks
I lie
les villes situi ! sur la ligne. Le commerce
X et contre des objets dont
Dans les villes de district
ifiniment plus clier que dans
le plus étendu est presque
tatars et tachkentes, bien
ur la ligne frontière de ia
lusivoment entre les mains dos marchand;
les habitants de toute condition établis
!sie fassent aussi le commerce. Les marchands tatars vendent d.
chaque district, toute
de marchandises, et h
la somme due est di
débiteur y gagne encore
effectuer son payement
de chaque aunée, s'il e
choux accidents. Un Ki
née, des marchandises ];
ne paye pas comptant, sa .dette
l'année d'après il 80, et ainsi de
production los victimes de la nu
ipensatiou faite, pour plus d
ident volontiers i\ crédit ; dn
iblée h la fin de chaque année ;
2 100,000 rou
lis ce dci-nior
;t malgré cola
parce que les troupeaux
ugmentont do plus du i
a bien soin et s'il ne Ici
hiz peu aisé achète, dai
r la valeur d'environ 20
e monte l'année smite.
Si l'on dédu
•talité, on trouve.
:ours
i fomentation
des troupeai
dette, et de l'auti'e, qvenant
est pourtant encore supe
le débiteur retire outi'c c
des agneaux morts et d^
On nomme lûhes ceux des K
1,000 chevaux et bêtes h corm
chameaux. Il y a do
daus chaque volost) q
Qt qui s'entourent d'un
c'est-iVdire qui ne sor
dent encore jusqu'à 20 i
100 dièvrcs et moutons,
personnes, dépense par
300 moutons, ce qui éqi
dont il se sert poui
louble dans le
r survient pas
s le courant d^
noutons, et cou
livanto !\ 40 me
t du chiiïro de la red'un
côté, que l'aiigrieure
il celle de U
nia un gain réel prolUtOI
I tonte
hiz qui
annuelle,
possède)
is 1,000 1
t depuis 100 jusqu'il
i
tons et quelques
ÜICS Kirgliiz (on en peut compter jusqu'à cent
dépensent par an do 1,000 à 3,000 moutons
xe asiatique. Les Kirgliiz qu'on nomme pauvres,
par tout il fait réduits ¡1 la mendicité, possèchevaux,
30 pièces de gros bétail et environ
Une famille composée, par exemple, de huit
an, tout compris, même les impôts, environ
it en argent ¡\ 300 i-oubles; dans les environs
des frontières on paye même un mouton 2
fois davantage, 150 moutons servent de provisions
dépensés pour des tissus de fabrique russe et pour
80 pour du thé, des tissus d'Asie, etc. Cette sorai
oublos et quelque
le bouche, 70 sor
payer l'yassak, c
le représente, pr(
portionnellement au commerce de ce pays, un capital de 5,000 mo
tons. Une famille kirghize tout il fait pauvre gagne par an, sui'
frontière, y compris son entretien, envii'on 200 moutons. Le gain cons
dérablo que fout les marchands tatars, et qu'il est facile de s'expliqm
Kirghi:
de l'As
Les
lant pour base le calcul que
d'un avenir florissant pou;
•ce seront établies d'une mj
pourront devenii- progrossiv
jous avous présenté ci-dessus, donne
la steppe, quand les relations de
lière régulière. C'est alors que les
ment l'un des peuples les plus riches
seuls Kir^
iz sibériens exportent
quatre mois d'été, envii
de moutons, pour une v
encore 1,000 chameau:
russe, pendant k
boeufs et 3 milHo
il faut y ajoute:
vendus en Cliine et dans h
près 2 millions de roubles.
annuellement par la frontière
•on 150,000 chevaux, 100,000
alcur do 8 millions de roubles;
! khanats du
Ces chiffres
des peaux, etc., qui sont
Turkestan, et valent à peu
deviendront à l'avenir bien
plus considérables; car los marchands russes n'ont pas encore établi
de relations de commerce avec la steppe, et ce sont en grande partie
dos étrangers venus des khanats du Turkestan qui s'enrichissent chez
les Kirghiz et qui, comme tous les marchands mahométans, ne dépensent
pas le centième de leur profit. Le fait suivant fournit la preuve
d'une de ces singularités qii'on remarque fréquemment dans los spéculations
commerciales qui ont lieu chez ces peuples : un marchand tatar
de Sémipalatinsk conserva c
et d'autre espèce, pour une
déj;\ payé pour los di-oits d
ulise, il refusait de v
; cependant son cou
rdinaire. Mais il la fii
'cndu avec un grand
marcha
de priî
cours c
ayant
perte des intérêts. Le comm
possession de grands capitau;
pour réaliser de grands bén(
gcreux d'avoir dos commis o
dépôt pondant ciiui ans du thé comprinié
alcur de 200,000 roubles, et quoiqu'il eût
douane un million de roubles pour cette
iKlre ses thés au comptant, sans une liausse
le mardi
chandisci
;t que dû
néral la professi
lo transport des
fort pénible. Ce
voi'isés par la fortune, et
lo voisinage des frontières
dises et les revendre cnsu
Comme le commerce d'
n'est pas hors de propos
imerco dans la steppe su
I les prix haussèrent, et 1
avantage, resta oncoj'c ei
erce dans la steppe est i
V, car i! faut faire des cr(
•fices, et il est dispendiei
II des aides. Los Kirghiz
'ils
;vait toujours son
D marchand tatar,
1 gain, malgré la
mpossiblo sans la
idits considérables
IX et même danméprisent
en géparce
qu'ils ont assez pour vivre et que
:u égard il leur genre de vie nomade, est
les dernier.s temps que des gens peu faaus.
si des Kozaks, ont commencé à fréquenter
et les districts, pour y acheter des marchanite
dans la steppe,
•change avec los fttats voisins est énorme, il
de dire ici quelques mots des caravanes qui
Í il 'I
! !•