
1 11
ca
il — cc qii
iiaraOcs ou
(railleurs ii'aiTiv
chassé (le l'artel.
igulicr,
P E U P L E S INDO-EDROPEENS.
presque jamais — est battu par se
(les (litter
;ontrc
dans
Cc t|ui est tris-singulier,c'est l'existence simultanée
et des contrastes cpie nous avons iléji mentionnes et (jne l'on
dans le centre de la Gr-aude-Russie propi-ement dite, c'est-;V
les eontrées di
ilistr-icts purem
ment agricetes
siil're, nn essoi
1 Volga moyen et sur l'Oka moyen et inférieur. Des
ont industriels se trouvent à côté de villages exclnsive-
, une fabrication développée à coté d'une culture gros-
• déjH remarqiiaWe et des institutions avancées en ma-
:! (le fabriques il coté des notions les plai
agricole et la juridiction. Dans le gouvi
contient plusieurs districts couverts de forêt
qi
t o n a i n s défrichés une
bés-arriérée offrent li
tants des districts foi
rives (In Volga, on trouve
le type le plus vigoureux d'
I.cs métiers et les brandi
classés selon les gouvenienn
conditions et des influencer
et politique que formaient antéric
ministratives fixées postéricui-cmc
ciennes frontières, et la répartit]
vernenrents ou plus exactement ei
leurs centres respectifs, qui pou
temps anciens.
n dont les travo
i-ités iuliérentes
, génél
.pulatio
singula!
¡stiers
obscures sur
aomcnt de K(
on l'cmai-qne i
X et l'économie
a caractère dei
me activité manufacturii
me population industriel
is d'industrie les phis di
:nts et districts actuels
locales appuyées sur 1'
Les habitants d'
nemeut d'Yaroslav
presque oxehisiven
concombres ; ceux
ou les restau:
même gouvei-]
l'écono-
)stroma,
r des
•m-alc
habi-
:t tout près de là, sur les
t r i s - é t e n d u e et
¡rses ne sont point
mais d'après des
iscmblc communal
, Les limites adicnt
remeut les localité;
; concordent rarer
:i des groupes d'h
ore par districts.
avec les anidustries
par gonî'applique
plutôt à
la plupart existaient déji dans les
district de Eos
rv, pauvre eu teri
emcat de jardinage
X du district de Di
its des villes, Dar
nent, la fabrication
par exenipli
propres ii la
principalement
lov vont servir
le bourg
c la toile
, dans le
nilture, s'c
de la cuit
dans les a
cnpeut
re des
iberges
(solo) de Vélikoi
de lin se pratiqu
mais l'importance de cette industrie a beaucoup dieuse
iste écliell.
lepuis l'immi
mé de;
,nov-Boi-issoglebsk
r la l'ive opposée
ment de Vologda,
isi que dans tous
essor qu'ont pris les filatures de coton. A Revoit
presque que des forgerons, et vis-ii-vis,
dn Volga, rien que des tanneurs. Dans le gouverles
charpentiers (plotniks) sont en grand nombre,
les gouvorncnients forestiers dn nord-est. Ces charpentiers,
qui travaillent le bois de toutes les manières imaginables, conrectionncnt
avec leur seule hache , et sans même se servir de la scic,
es objets les plus délicats aussi facilement que les plus grossiers, et
issèdent réellement une adresse toute particulière et une admirable
diileté. Ils se rendent, pendant l'été, sur tous les points de la Russie
mr y faire toutes sortes de constructions en bois. Il y a des contrées
itières, dans le gouvernement de Vologda, oii les paysans s'occupent
uniquement des travau:
iiikovsk, qui confection
construction des canots
répandue dans le gonvi
verucment de Kostroni
teaax plats). Les gouv(
conf(
tricts do
les goiive
de cordoi
ment des
fabricatio
Vladimir,
;rre, A
des nattes et des- sacs d'écoi
;es mêmes gouvernements, i\ I;
la peil
lent fo
ï o r j o k
de la terre ; d'autres, dans le district de Kad-
;nt d'excellentes bottes en feutre (valiki). La
it des petites embarcations maritimes est trèsnement
d'Arkhangel ; quelques contrées du gousont
réputées pour colle des barques (ou bancmonts
forestiers se livrent de préférence il la
e de tilleul, et (pieiqucs dispréparation
du goudron. Dans
its de Nijiii-Novgorod et de Vladimir, oii les associations
sont très-répandues, on confectioiiue aussi très-liabiieeu
bois d'une seule pièce. Kazan est célèbre pour la
cuir. Dans les environs de Sousdal, gouv.
r c des images saintes occupe iilnsieurs
lit en outre beaucoup de nia(;(nis et de
it de
gouveruei
iroqniné est
itre bea
lent de
me indi
Tver, la brodo
4 r i e ]>resque e
10 en
villages; ce
tailleurs de
!t eu argent
•alo; le
meut de Tver fournit d'ailleurs aussi la plupart des rasuochtchiks (colporteurs
do fruits et de toutes sortes de marchandises), ainsi que les rameurs
des bateaux pour les grandes villes situées an bord dos fleuves,
telles, par exemple, que St-Pétersbourg.
Mais ce ne sont pas seulement les occupations spéciales des habitants
des divers districts qui les distinguent les uns des autres; les rapports
des pay entre et
celles du voisinage et les
aussi très-fortement dans h
et les habitudes priniitiv
contrastent (l'une i
chc et peu sûi
e l , par exemple
•opr
Euss
farom
d'Or<
tiens —
¡taires, les infinouces locales,
îpoqne passée, se fout sentir
vec les pi
uvenii-s d'
araetère des habitants. La pn
lent patriarcales de l'cxtrêi
nière remarquable avec le ci
labitants des gonveriienients
nt de
;t qui
liki (bi
étcni
t riche et
ociété russe
rasbo:
de ce mot).
L'étude éminemm
verses classes de la so
qui seront très-procha
vitalité de leur existen
sans aucun doute, l'objet d(
d(
d(
avec lesquels — sauf po;
•nére ii avoir de relation;
igands ou plutôt fripons, dans le
i-eté des moeurs
le nord de la
ractère brutal,
de Riazan et
grandes excepsont
envisagés
sens le moins
itéressaute de la physiologie des disurtout
celle des classes inférieures,
lent soumises ii une épreuve décisive de la
lationale; — cette étude, disons-nons, sera,
•echerches plu=; spéciales et plus approfondies
de la part de savants dignes de l'entreprendre. Forcé de nous
restreiudre beaucoup, noas ne pouvons fournir qu'une esquisse rapide
et nécessairement incomplète, qui n'a guère d'autre mérite que celui
d'avoir été entreprise avec amour (écntée avec aut ant d'impartialité
que possible. A cet égard, la
la lumière, si nécessaires pour de
sans doute beaucoup à désirer et n
il son défaut de vigueur que dans
qui contribuent à l'ensemble.
juste répartition des ombres et de
ner du relief ii un tableau, laisse
iffre peut-être quelque compensation
i diversité des nombreuses nuances
PiL'SSES DE L.i SIBÉRIE.
Les habitants russes de la Siiïérie ne sont pas, comme ceux de la
Grande-Russie, les Petits-Russiens et les Russes de la Russie-Blanche,
des descendants de l'une ou de quelques-iines des tribus slaves de l'est
habitaient la Russie actuelle il l'époque de l'appel fait aux Russo-
¡•¡egucs. Leur origine ne remonte pas au delà des immigrations vos
ou forcées et plus ou moins interrompues vers cette contrée
près de trois siècles, et auxquelles tous les sujets de l'emc
, principalement les Russes de la Grande-Russie, ont fourni leur
itingent. Une séparation morale presque absolue de la patrie, caupar
une si grande distance, des raisons dépendantes du climat et
de la topographie, les occupations et le genre de
le contact des indigènes et une fusion inévitable a
encore pour la plupart ii l'état primitif, ont dor
ie nn type particulier qu'on pourrait appeler
ipproehe beaucoup du russe, mais portant assez
qu
V;
lenta
depui
pire,
sée
Sib
vie qui en résultent,
ec ces peuples vivant
l é aux Russes de la
sibérico-russe et qui
fortement, dans les
itrées septentrionales et orientales plus éloignées, l'empreinte du type
atique qui distingue plus S]iéeialcment les indigènes. A part les dilféites
inBuences de localité et de voisinage, la grande masse de la population
russe de la Sibérie
ions offre un type vraiment caractéristique, ,
des éléments importés de la mère patrie
Sibérie elle-même. La Russie d'Kurope et
résultat évident du contact
avec ceux que fournissait la
surtout la Grande-Russie ont
de trois catégories de colons
classes poussés par le désir di
mtribuó il ce résultat par l'émigration
savoir : les individus de foules les
gain ou seulement par la nécessité de
se procurer des moyens de subsistance ; les exilés de toutes conditions;
enfin les émigrés des classes les jilus infimes de la population;
ces derniers obéissant pour la plupart à des motifs religieux.
L a Sibérie, dont le nom seul sufB.sait naguère pour répandre la lerreur
et l'effroi, car il n'offrait h la pensée qae l'image des déserts glacés,
d'éternels frimas et d'une horrible désolation, est dcvonuc l'objet
d'une plus intelligente appréciation depuis les récentes de
voy,
appris il c
particularit
La Sibér
de l'Europi
et les reclierelics des savants. Nous avons, p;
i i t r
des côtés plus attrayants de ce
sur ceux qui l'habitent,
it d'union colos.sal entre l'Asie ce
! et la Rii-ssie. Présentant dans .s;
aussi
itéressantci
entre la Obi
cripti ions des
r ce moyen.
pays et (les
itrale et l'est
topi igrapliie
des points extrêmes analogues ii
il-vis de la plaine de l'jinropo
partie orientale plutôt au plateau
complètement ,1 la plaine de la
P E U P L E S INDO-EÜROPÉEN'S.
rers l'est, la chaleii
:eux du plateau de l'Asie centrale visirientalc,
la Sibérie appartient par sa
de l'Asie, et ¡lar sa partie occidentale
Russie d'hiurope. Depuis que l'Asie a
j r i e u r , et surtout dans les contrées de
lis son intéi
liions de peuples qui
j semble tourner de lill
)US inviter il aller la
diversité des trésors q
cessé de provoquer d
l'Altaï, ces tr.msniigi
vers l'Unroiie, la Sibéi
sa face splendide et
réserve à nos regards
qi
il
jadis représentant d'un inonde antédiluvien
état de choses moins vague et pressent l'aui
c dirigeaient en masse
en plus vers l'Occident
s i t e r , eu exposant sans
y abondent. C'est ain,si
'lie passe insensiblement
i-e d'un avenir européen.
Casp
Dans
le pa
sili:
embrasse cet in
I entre la mer
nord et nord-i
ia, le lac d'Ai
untagneiiso du
le des Kirghiz
ritables Kii^ghiz
t e n
Gh
uest
il et la m
même noi
e'est-ii-di
et des Ki
dn pla-
La Sibérie, dans le sens le pins étend
toire de 270,000 milles carrés qui s'étend
grand Océan, l'Oussouri, l'Amour, le versant
tcau do l'Asie centrale, le Tchoui, le Syr-Dai
le fleuve Oural et la chaîne m.
imites se trouve comprise la stepji
lays au sud de ITrtych ou pays des
i-Ivaïssaks de la Grande, de la Sfoycuno et de la Petite Horde, Cette
dernière fait partie de l'administration d'Orenbourg,
Dans la circonscription de ces limites, la Sibérie s'étend depuis le point
le plus septentrional du pays de Taîmonr, sous le 78' degré de latitude,
vers le sud, jusqu'aux 50' et 45"; et au grand Océan, h l'Issyk-Koul
(Issy-Koul) et au lac d'Aral, jusqu'au 43' et même au 42' degré, Ecn-
•variés, la .Sibérie
qui s'étend
et seulement
; d'An
fermant des climats et des spécimens de végétation tri
méridionale est comprise dans la zone des blés européens
dans les contrées de l'ouest jusqu'au 63' degré de latitude,
,|usqu'
69'
sitUi
po
sol aride
pied des
du côté d
id Océan, Dans ces espai
ir la plupart dans la Sibi
des steppes, tantôt nn hu
immenses chaînes de l'Altai
occidentale, on
lus excellent (¡n
qu'on peut con;
point central géognostique, hydrographiqu
national de la Sibi occidentale. Dans le
(liaragraphc Kirgh
Kirghiz, qui offre un caractère
nuation méridionale de la partii
steppe devait être jadis le bass
claie il la mer Caspienne et au
A cette steppe succède jusqu'
contenant d'immenses forêts di
le nord n'est couvert que de
éternelles et de neiges qui, dii
ne fondent jamais. Plus on av;
nèrent on broussailles et er
tière d'Europe jusqu'au 6G'
sur la côte du grand Océai
La zone des herbes et des mousses s'éti
le grand Océan, jusqu'au 00' degré de
munications pour les hommes et les a
(inc parce que la terre reste gelée à pl
fondeur, et ne dégèle guère de plus i
dant la saison des grandes chalonrs. C
a cuuliime d'ajipeler les toundras, iniiu
rompues sciilemeut par quelques oasis
i immenses,
ve tantôt le
it formé au
r comme le
politique et
uples tatars
steppe des
! une couti-
lutrefois mêi
ihapitrc des
iscription de
;r et qui forme
u verra la de
tout particulie
la plus occidi
n d'un grand
lac d'Aral.
taie de la Sibi
c réunissant is
Cette
• Glabois
degri
, josqn'
. mer Glaciale une .
SOS parties inéridi
lusses et le plus ;
les contrées Ics pli
? vers le nord, più
abougris qui s'éten
leinture d(
males, m
ouvent dl
is septent
5 Ies foiêts dégélient
dont
glaces
maies,
sur la froni
s le Léna et l'Yana au 69',
degré de latitude septentrioua
id il l'ouest jusqu'au 70', et vi
atitude septentrionale. Les co
iuiaux n'y sont possibles en i
sieurs centaines do pieds de pi
un pied d'épaisseur, même p(
st k'i que s'étendent ce que 1'
uses iilaines marécngenses inti
c terrain sòlide.
Exposée comiilétonieiit et sans abri aux ouragans du nord et do l'est;
"leeeiìe au sud d'une chaîne non interrompue de montagnes qui de
Allai s'étend vers l'est jusqu'au grand Océan, et forme au nord et au
ord-ouest la barrière qni la sépare du plateau de l'Asie centrale, la
Siili
l'ie n'est accessible (pic dans sa panie occidentale anx vents chauds
soiiineiit (le la ste|ipe des Kirghiz.
a sécheresse absolue de l'almosplière nu sud-ouest, dans la ste|ipc des
,1"«, les vastes et fertiles plaines du nord avec leurs oanx aboiidaiila
position géograpliiqne et topographique de la Sibérie, prodnides
degrés exirênies de température tels qu'on n'en trouve iirobaleiit
lias de pareils dans aucun autre climat dn globe. Il n'existe
léiiic sons les latitudes semblables, de climat temextiêmes
est. Ige de la
lue sensiblei
ir exerce sn
fluence modérât
Pétrozavodsk,
presque sous k
orientale,
ature moyo
eut; mais dans l'extrôm
l'élat de l'atmosphère
nêmc
Sibér
tempi
est I
les (
d'été
r a t n r e d'hi
en Livonio:
de Tobolsk
mémo latiti
de la tenip
riées. La c
- f 4° 3 R.
+ 13
— 12'
i pei
lions
moyoi
chalei
de l'I
lac Onéga, dai
degré de latiti
it cependant la pri
10 de + 1° E,, t;
s la Russie d'Enrope, se trouve
(le (le li2-) qu'Yakoutsk dans la
mière do ces villes jouit d'une
iidis que celle de l'antre ville
températures extrêmes sons le
lière plus frapiiaiite encore dans
i en moyenne une teuipératiire
ibituellement de — R, Les
paralièle se présentent d'une ma
empics suivants : Pétrozavodsk a c
de -f- 10°B 11, Yakontsk do + 11=6 R., tandis qnc
d'hiver descend relativement à — S° II. et — 31
•onie,Yékatérlncbourg dans l'Onral, Tara dans le go
et A'imi sur la mer d'Okhotsk, se trouvent presque sons h
de (le 67' degré), et malgré cette simililude, les condition;
atiire sont, dans
leur moyenne de;
+ 0°6 R , -f
ces différentes villes, extrêmement va
1 lieux susdésignés est respectivement di
0 ' 2 R,, — 3'> R, , les chaleurs d'été
, + S'û R, ; les fr
rnigov, Ouralsk et Ni
septentri
nations s
a tcmpé-
R. Riga
ernenient
5 , -)- 1
, — 16°:
près sou
° 6 , + ie°5
— 15°. Telle
le 5f degré de latitude
ipératurc présentent les va
le de l'année compte relativ
• moyenne de l'été, -j- 17°,
ver, — 4°0, — 11°, — 21"
On trouve, en Sibérie, u
de poissons, d'animaux et de
trésors prodigués par la natur
chesse et la pénurie se trouvent
savant Henri Mnller nomme la
toute la terre. Les fleuves imni
claie sont, pendant plus de la n
leur cours inférieur, près des c
leurs eaux supérieures subissent
ment dans la mer éprouvant d(
les rivages, entraînant avec eux
:ment H
4- 17°3.
ritable
-
+ 13
lids d'hiver — 3°
irtchinsk se trouvei
onaîe, et les eond
livantes : la clmlei
f 3°3, - - 3°5;
' ; les froids inoyei
surabondance de rivières,
ninéraux de toute espèce. Ces vastes
sont répartis de telle sorte que la riisées
par un juste équilibre. Le
Sibérie le plus vaste réseai
lenscs qui se jettent dans la
loitié de l'année, couverts de
ôtes de la mer Polaire. Au pr
une crue considérable, et leur
I grands obstacles, leurs flots
d'immenses alluvions. Avec ces
fluvial de
mer Glaglacc
sur
irintemps.
de terres déchirées et emportées par les flots, ces fleuv
gloutissent les bas-fonds des marais et des plateaux roch
les plaines, transportant ainsi constammeut des t'
au nord; d'où il résulte naturellement que les c
deviennent de jour en jour plus accessibles ii la
rents ont une puissance indomptable qai agit pl
que celle dn Nil, dont la fongne impétuense nous
rodote. Le système fluvial le plus important est
biné avec l'Obi. Il se troi
1 contact ;
gues tout à fait distinctes
de Faut
source, et l'Oural, vers l'est, d'où il se d
les afilncnts qui lui viennent de l'ouest. De
réunissent d'abord l'est de la Sibérie avec le
avec l'Europe orientale. Muller non
chevé de la nature pour produire ci
blables aux fleuves jumeaux ou parallèles chinois, i
dont rc.xisteiice eut une si grande influence sur
populations qui habitaient les terrains placés entre
c doux
: l'Altai
ige du
cette sorti
nord de
système Iii
ux des fle;
londent
masses
débordés en-
X situés dans
rcs végétales du sud
trées septentrionales
ulonisation. Ces torviolcrament
encore
été décrite par Hé-
;lui de l'Irtych com-
X chaînes de moiita-
, dont il tire sa
ud au nord, avec
, l'Ii-tych et l'Obi
lette contrée, puis
vial un essai inaves
jumeaux som-
:Iiens et aramieiques,
I développement des
Le territoire colossal de h
ndices d'une population antr
;olIii inlaircs, d
Sibérie signale dai
ifois beaucoup plus
IS inscriptions sur I
iitiqncs et de forteresses couvrent 1
1 majeure partie de ces vestiges d'une e
outc son étendue les
isidérablo ; d'innomrochers
brabl
Léna, des ruines de villes
dans toutes les directions, La r
vilisatiou antérieure doit sans doute so
iste
tifs dont l'histoire no fait pas mention, mai
certain développcniont ; car dans toute la Sibi
niencé récemniont i\ exjilorer les montagnes, on retri
culture antérieure depuis longtemps disparno.
Ce qui conconie les habitants de la Sibérie de i
se trouve aux divers chapitres où l'on traite des
moièdes, tatars, mongols, tonngouses, et ceux de la
des rives du
1 pays
ice à des peuples prim
qui étaient arrivés il u
ie, partout oii on a con
ï les traces d'i
il