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lili.
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• i í í
I
1 0 2 P E U P L E S INDO-EUROPÉENS.
aíjii'cnt ainsi dans le but de se faire pardonner lonrs attaques contre les
P e r s a n s , qui avaient portó plainte auprès du tsar. Ils avaient aussi
p a r t i e i p ó íi i'cx|)cdition des Kozaks du Don contre Azov. En 1683, ils
f u r e n t cnvoyós contre les Baclikirs révoltés; mais c'est surtout depuis
l ' i c r r e le Gi'and qu'ils ont pris une part glorieuse à toutes les guerres
nnp • r t a n t e s soute
a v a i e n t été
c o l u u i s a t i o u ,
ion an tsar.
mes par la Russie. Cependant les Kozalcs de l'Yaïk,
ni peuple conipiéten\cnt indépendant dès roriginc de
le lurent encore effectiveincnt même après leur sou-
' é l é m e n t kozalc, après avoir expulsé les Tatars,
p a r t un si vaste cbnnip pour son activité et un
11- l'Yaïk, et mille part aussi son ancien esprit de
:tte
Sauf en Sibér
n ' a v a i t trouvé n
b u t i n si facile que sur
l i b e r t é ne s'ét<iit couse:
l . a révolte d.
d e l'Oural pour
de nombreux pi
r é f o r m e s introdi
a g i s s a i t essentie
rnl étaient piissionnément d'
c h e v ; et le liardi conspiratei
l é g i t i m e , haranguait comme
p r o m e t t a n t le rétablissi
f a i s a n t ainsi entrevoir
voeux les plu;
r e n c o n t r a pa
oc tant d'énergie.
Pougatcbev, qui avait choisi de préférence les contrées
t b é a t r e de ses entreprises audacieuses, devait y ti'ouver
u - t i s a n s ; cc
;iites ])ar P
llement soi
rébellion étant en effet dirigée contre les
; le Grand et conduite par un hoinine qui
: nom do Pierre 111. Les Kozaks de l'Ouonés
au principe que proclamait Pougatf
a i s a i t passer pour le souverain
)zaks qu'il attirait h lui en leur
anciens di'oits et privilèges, leur
une récompense conforme leurs
que Pougatcbev cbercba et qu'il
qui s
î tel les E
it de leurs
voir en perspective
ents, La sympathie
les Kozaks de l'Oural trouva de
nombreuse colonie des strélitses rebelles, q
ibles politiques et religieux de Moscou sous
le Grand. L'important transfer cm e u t des strélitses avait
t r i b u é puissamment à affermi)' chez les Kozaks de l'Onra
qui s'est maintenu parmi enx jusqu'à nos joui's. A|)rés
1775, de ce dangereux soulèvement qui avait de vas
dans les gouvernements orientaux de la Pxussie d'Europi
Kozaks de l'Oural une organisation toute nouvelle
nom qu'elle porte actuellement, on sorte que Vi
])rovenant de l'Yai'k disparut complètement.
e t iï le
iicienne
L a frontière de la Russie longeant le fleuve Oural,
dans le premier quart de ce siècle, souvent menacée
de la Petite Horde, est maintenant presque ti
les postes de Kozaks qui ont été placés foi't i
.lits jusqu'au lac d'Ara
des Kirghiz, qui avo
d e tous les Kirghi
l e u r pacifique, elle se bo:
I ont le pillage pour but,
;aux aliments
i e n t participé
i n c de Pierre
g é n é r a l conilément
russe,
r é p r e s s i o n , en
ramifie
:atic
on do
u r capit.T
laie le
p a r de petits forts constn
Quoique la Petite Horde
Kozaks, ne soit pas celle
le plus par son hiiii
t a q u e s partielles qn
it il fait
' a n t dai
même <
g a r a n t i e par
s t e p p e , et
S y r - I ) a r i a .
m é d i a t e m e n t les
qui se distingue
t à quelques ate
•Kaîssaks
le pourtai
t toute hostilité déclarée
a cessé depuis longtemps,
k e s , en faisant paître le
p a r les Kirghiz au moy
cou des chevaux sauvage:
j o u r d ' h u i dans ces co
des )'elat!ons amicales
p o u r s'engager commi
en résulte que to
celui de Gouric
Tandis que naguère encore
b é t a i l aux bords de l'Oiir
:n de lacets pareils h ceu:
, le caime et la sécurité i
itri
e t môme
les Kirghi: :vent
les femmes kozal,
étaient enlevées
q u ' i l s passent au
j g n e n t partout au-
!aks dans
tic iiilitai
p o u r ainsi dire
des frontières e
ses propres foye
l
!s, et \
mue ouvi-iers ou faire le
les petits forts (avant-poste?
même, n'
élément k
condition
le soin d'
Quoique
5 expéditions d;
l a protègent n
• des Kozaks
frèi-es du Doi
Í le nerf et i
'ut presque plus
.zak lui-même a
d e son existence
i c t i v i t é , le
dans les forts q
e t l'esprit guerr
comme chez lem
t i è r e leur a enli
ment kozak.
V e r s la moitié du siècle de:
q u ' O i t r a l s k (nommé alors Yaïtsk
•QC les K(
"iennent chez leurs voisins
commerce des be.stiaux. li
i) établis le long de l'Oural,
d ' i m p o i ' t a n c e comme posip
e r d u le but principal et
, qui était la surveillance
: c a r t e r le péril
un assez vaste (
l a steppe
ii'ont plus qu^
de l'Olirai fi:
, parce que I
impulsion qui
ni menaçait incessamment
ïamp soit encore ouvert à
des Kirghiz et le service
ne importance secondaire,
r a par disparaître aussi,
g n e m c n t de ia front
l'essence de l'élé-
• éloi
procliés de cette ville. J
en toute propriété la p
g a u c l i e était habitée pai-
Kalmouks. Sur l'une des
l i e r , les Kozaks d^
•Gorodok) et les envi
r O u i-al n'habitaient
c e t t e époque, ils ne posséd;
r t i e inférieure du fleuve Oi
des Kirghiz nomades et la r
imboucliures du fleuve se trc
s les plus l'apit
point encore
, dont la rive
d r o i t e par des
l i t le bourg de '
G o u r i e v , bâti depuis longtemps, et h une verste au-dessus du fort act
u e l , un outchoug (barrage) avait été placé par le gouvernement russe
en travers du fleuve, pour empêcher les gros poissons de remonter jusq
u ' a u territoire des Kozaks.
L e nombre do ces Kozaks n'excédait pas alors 3,000 hommes en état
de porter les armes, et ils ne surveillaient que la partie de la ligne
a v o i s i n a n t leurs demeures. Dans la ci'ainte que de nouveaux venus, envoyés
pour la garde de toute la ligne de l'Oural, ne portassent encore
p r é j u d i c e aux profits de leur pêche, les Kozaks construisirent de leur
p r o p r e monvement quelques nou'
d u fleuve jusqu' à son embouchu
t i o n , il être affranchis de tout
p e r c e r l'outchoug construit au t
E n conséquence, l'occupation c
p a r l'impératrice Elisabeth,
ment de leurs possessions q;
l a vérité volontairement, m;
dai
g r a n d , celui de voir le cours iuf<
à leur subsistance, tomber eu d'à
d é r è r e n t - i l s pendant longtemps les
i n f é r i e u r de l'Oural comme des coh
loux, afin que leurs habitants
t r o p o l e d'Ouralsk, leur vra
q u ' i l s le purent à l'estens
fleuve, et particulièrement :
aux Kozaks en 1753 par I
pour être exploité par eux ;
:ciTÍtoi
: for• ts, eu s e c h a r g e i int d e
ils demandèrent,
ut autre service et réclamèi
j travers de l'Oural, près du
I de l'Oural inférieur, confii'i
f u t pour les KozaIvS moins
' n u e nouvelle charge qu'ils
is le but de détourne
i-ieur de l'Oural, qui
t r e s mains. Aussi les
; avant-postes et les
p o u r v o y a i t seul
KozaliS consi-
. forts du cours
3nt d'un oeil jaenclavées
q u ' i l s surveillai
; la garde
iompensaiiit
le droit de
1 fort Gouriev.
mée en 1743
; agrandissec
e p t è r e n t , à
Lin mal plus
p o r t a s s e n t point de préjudice à la mée
patrie. Ils s'opposèrent de même autant
on de la pêche sur le cours inférieur du
u r la mer. L'outchoug de Gouriev fut cédé
i couronne, moyennant une somme minime,
mais les côtes et la mer elle-même
dans h
r a l e m e n t sur des
p r é l e v é s autrefoii
sur le produit d(
nement russe.
Dans l'intérêt mêr
payée à la couronne
s u r chaque pond de
l ' e x p t
r a j i p o
r o u b l
donné
f r a i s ou salé que l'on dirige si
n 1803, lorsqu'on les
bases toutes différentes. Les impôts d{
dans le pays furent alors remplacés
l a pèche, qui se paye aujourd'hui en
i s t i t r
: furent
i généle
des Kozaks de l'Oural, l'anciei
a été remplacée par une taxe pré
poisson salé et de caviar non frs
i contribution
•ce à Onralsk
p r é p a r é pour
•tation. Cet impôt est affermé par l'autorité à des Kozaks et a
t é il l'Etat, depuis l'application des nouveaux règlements, 46,800
s par année. Pour garantir le chiffre de ce revenu, il a été ord
e faire passer par Ouralsk tous les poissons et tout le caviar
ilque partie que ce soit de l 'empire russe.
L e s conditions du service des Kozaks de l'Oural sont réglées d'une
façon fort singulière; elles sont, en effet, étroitement liées au droit de
p è c h e , à l'usufruit du sol, etc., et datent encore des anciens temps. Dès
q u ' i l a atteint sa dix-huitième année, chaque Kozak est nominalement
e t doit y rester pendant vingt-cinq ans (cette conditio
q u e l q u e s modifications); mais,
long et ne dure qu'autant qa
vice effectif, les Kozaks
d ' o r d r e comme chez les autre;
t a i r e . Lorsque, par exemple,
s e r v i c e effectif est appelé aux
f o u r n i r un quatrième, à un pi'
d ' a p r è s la durée et le:
s la localité •
d e fait,
r e ç u
ivéneu
s e r v i c e
äuts l'ex
•nt -ègle
e s t loin d'êtn
igeut. Quant i
l ' O u r a l ne sont pas
choisis par n
is Kozaks; ils s'engagent par bail
le quart de tous ceux qui composent h
c a rmes, trois Kozaks se cotisent pour ei
qui n'est pas fixé d'avance
difììcultés du service h rempli
doit s'effectuer. De cette façon, une
lement des Kozaks fait personnellement le service et reçoit
s a t i o n une indemnité de ceux qui sont restés dans leurs foyc
p a r contre, jouissent de l'avantage de pouvoir en toute tranquillité s'occ
u p e r de leur pêche et de leurs autres intérêts matériels. Ces sortes de
c o n t r a t s ne concernent d'ailleurs que les simples Kozaks et les sousofiiciers
(ourajdiiiks); les officiers en sont exclus et ont le di'oit de part
i c i p e r à toute la pêche lorsqu'ils sont dans leurs foyers et qu'ils n'en
sont pas empêchés par le service effectif. Tous les Kozaks qui ont servi
v i n g t - c i n q ans reçoivent le nom de démissionnaires, que leur service ait
é t é actif ou non ; ils prennent part à la pêche moy
q u ' i l a été dit ci-dessu:
'olon-
, mais qu on
r , ainsi que
i partie seilen
compenr
s , lesquels,
Ainsi
les E
c ' e s t
veme
ozaks de l'Oural et s'a
g r â c e h ce système qu
it si élevé, c'est-à-dire
une taxe.
3, ce remplacement ne se pratique que chez
:coi-de avec l'état particulier du pays, car
ils fournissent un chiflVe de troupes relatià
peu près 2,000 hommes pour le service
P E U P L E S INDO-BÜROPÉENS, 103
extérieur et environ 800 dans les forte de la steppe et à l'intériei
sans que cc soit nnc diarge trop lourde ponr le pays. Un remplaçant
fourni dans ces conditions pour la ligne de l'Oural coûte environ 100
roubles; pour la garde intérieure, 60 rouWes; et en dcliors du terri
toirc des Kozaks, de 150 à 200 roubles, selon les circonstances. Pou
ceux qui sont destinés à l'escadron de la garde à St-Pétersbourg, li
prix s'élève jusqu'il 300 roubles. Ces prix sont débattus d'après les
olfics faites, mais ne sont néanmoins fixés déflnitivenient que par
conimandant des ti-oupes à Ouralsk. Dans l'espace de trente jours,
r é g ime n t s qui d o i v e n t ó t r e four r n i s p e u v e n t ê t r e f o rmé s , pu
e q u i p e
a Ouralsk et prêts ii partir
r a l sont e
:ucs auxq
l e u r s trai
e t pbjsiq
Ils vivent dans des st;
es villages sont séparé:
e r s t e s .
Les IConaks de l'Ou
•ivations et les fatif
usi que la variété de
nt leur force morale
nr bon sens naturel,
uix cents maisons ; c
stance de 15 à 20 \
:i généra
lelles ils
i-anx, leu
ibustei
nt soumi;
onnent d(
:t di L e s
;t contribuent ai
iisas 01
lesse,
les 1
belle ra
d i s lour ji
I ' a d r e s s e , augmendeveloppement
de
v i l l a g e s de cent it
des antres par une
Leur costume est celui de tons les Kozaks
larges pantalons, une casaque et nu bonnet cir
c'est une coiffure ronde en di'aji de couleur, ;
en fine laine de mouton noir. Ils sont armés
forme circassienne (cliachka), propre a trair
d'une courte carabine qu'ils placent i
pique. Lorsque le liozak n'est pas ;
robes longues les nues sui
• doí
disse de mouton,
sage général,
costume des feni
ui grand nombre
s a r a f a n e dont
• les autre!
usi que le
é n é r a l , c'est-iVdirc de
: n récemment adopté :
: d'une largo bordure
s a b r e sans garde, de
p l u t ô t qu'à frapper;
d ' u
s e r v i c e actif,
comme les liir
muet cylindriq
])istoiet et d'une
.1 porte plusieurs
liiz ; et en hiver,
1, qui était jadis
nés se rapproche beaucoup du
d ' a c c e s s o i r e s tatars. 11 consiste
étoife varie selon les moyens (
p o r t e ; cctti
double galo:
d'i ne range!
é t o f f e , souvent très-précieuse, est garnie sur
d ' o r ou d'argent qui descend jusqu'au bas di
: de boutons. Cette garniture se prolonge su
peu sur
celui des
é t r o i t pai
s an-dessi
costume ruE
principalem:
0 celle qui
le devant d'
•étement
e devant
coupe du
illé en bia
•afai
t r i
es côtés. ¡Niais 1,
E u s s e s ; il est taillé e
le haut que, pour le
bras an-dessus de la tête. Une larg
la taille, et les nombreux petits plis ar
sement arranges sur le dos. Ce que
sont les amples manches il la manier:
mencent a l'encolure
ouvertures faites an
donnent aux épaules
r , c'est la coitliire : elle consiste dans la soroka, qni en-
1 se rattachant aux deux oreilles et est brodée de die
u en un petit bonnet rond posé snr le haut de la
.Te les tresses de cheveux; on l'attache avec un petit
its pendent snr la inique.
1 fleuve Oural, notamment vers le sud, les femmes
r extérieur et dans leur manière d'être vis-à-vis
femmes kirghizes, dont elles sont issues
: en général encore distincte
de plus singuhe
toiire la tête ei
verses couleurs,
tète et qui COU'
monclioir dont les boi
Dans les contrées d
kozakes ont, dans Ici
des hommes, le cachet il,
l'oiir la plupart. On retroi
est tonte diffère
mple par le bas
r e v ê t i r , on est obligé de lever
e ceinture dessine avantageusen
ixquels elle donne lieu sont soignen-
: ce vêtement a de particulier, ce
c tatarc, en étoffe légère, qui come
l l e s se mettent séparément et masquent les larges
s a r a f a n e pour laisser passer les bras ; mais elles
me .apparence excessivement étroite. Ce qu'il y a
Ou
a l s k , dans la vie domestique des
les tiennent isolées et tout à fait
u-ieur. On prononce raiiatliènie su
aux moeurs et aux coutumes im
ucien temps.
démarche des femmes est fort v
e si elles ne pouvaient avancer
tiennent toujours un monclioir i
idées
de l'i
L a
comm
elles
conici
femmes,
é t r a n g è r .
r tout c
les habitudes
:s aux affaires
: qui ne répoi
; t seul
même à
e n t a l e s ,
! du monde
nd pas aux
' s - o r i g i i i a l e s
; elles foi
p a r le n
itcnt d'une légère i
le très-petits p.as,
rement des bras;
s a l u e r , elles se
lation de tête.
• exi s t enc e des Kozaks, leurs moeurs et leun
: beancoiip d'analogie .avec ceux des anciens
f n p p o r t s sociaux et la variété des circonstai
•iièront nécessairoment bien des cli
c a r a c t è r t
i usages nous offrent en-
R u s s e s ; mais l'extension
ices qui peuvent surgir
:gements a cet état de dioses.
löte •esscus le Kozak do l'Oural
est très-hospitalier ; dan
p e n s e , mais il exige qu:
les réunions, il ne recule
le bon goiit et l'abondance
choses. Les Kozaks de l'Oural aiment la splendeur, h
l t é ; ils di
é g o ï s t e et qi
amis. Il n'y
d u voyageur
dont on nou
pense. La n
t o u c h a n t e coutunic
rien pour l'entretien des personnes qui
son, et c'est tout au phis s'il consent
v o l o n t a i r e m e n t offerte. Actuellem
p a n d r e les lumières par la lecture
on encourage la formation de bibi
I c c t i i r c , les théâtres, les réunion
e t leurs familles, et c'est une chose
quel élan et quel intérêt sont accu
pent aisément cc qu'ils ont acquis, non
i ne profite qu'a eux seuls, mais pour lu
a pas longtemps encore, il n'acceptait
q u ' i l hébergeait, pas même dos ronliers qu
r i s s a i t également les chevaux sans rien eici"-c
u l t i p l i c i t é des relations a fait abolir inscnsi
t o u t e f o i s , jusqu'à cc jour encore
loyau reste intact
10 germer et porte
d e v a n t auci me dér
é g n e n t en t o u t e s
; luxe, la so n i i i t u c -
p a s d'une n
l o r e r et fête r leurs
a u c u n e rétr ihutinii
p a s s a i e n t et
pour la déleincnt
cette
Kozak n'exige
i g e n t , en passant,
a c c e p t e r une légère
IS sa mai
indemniti
pour ré
Kozaks
pi-cles d,
nt on fait beaucoup d'efforts
:t l'écriture parmi les simple:
: t h è q u e s , l'établissement de (
ICI
Olli lers
nobles efforts. L
que la plante pi
e t les promenades p:
digne de remarque que de voir avec
u c i l l i s , compris et récompensés ces
It l'on n'agit que sur l'écorce, afin
d e bons fruits.
Il y a chez les Kozaks de l'Oural, con
s u r t o u t ceux du Don, non-seulement beau
a - d i r e des dissidents aux reformes religieuses
mais aussi beaucoup de r.askolniks. Ces demi
p a i e m e n t d,ans les districts d'iletsk et de Sak
f a i s a i e n t pas partie du territoire koz.ak et de
Ko;
uip d: ' e s t -
é m i g r è r i
e t mêmi
on peut
valiiatio:
l ' K g l i s e
kohiik:
bienfai
tont en mén
l ' a c t i on et k
néral Stalypine, a
la permission pour
c u l i è r e s et de choisi
d ' é l o g e s que judicie
pas immense a la c
d o c t r i u e s opposées,
l'on rencontre parm
mes pleins d:
b a s é presque
:t diroctement de
i m p o s s i b l e de doi
lepcndant fixer approxim:
n des membres affiliés au
r u s s e , 2,000 Smes ; yédin.
( s e c t e s hérétiques), 18,000.
l û t e s qui ont donné une noi
m é n a g e a n t le plus possible :
e t le progrès dans toutes loi
G r a n d e - R u s s i e . Biei
:r à cet égard des
dilféronl
' o r t s e s
O u t r e le
nvelle vi
le sentin
IS directi.
nu tout récemment du gouvernement
d e se construire des églises partirs
lollicité et obtcr
e s yédinovertses
• eux-mêmes l
;z les antre
î vieux croyants,
i n t r o d u i t e s iiar Nikon,
2rs se trouvent princin
a r s k , qui autiefois ne
nt les Iiabitants actuels
,tiv: a i t d
q u ' i l soit fort difficile
•enseignements exacts,
m a n i è r e suivante l'éis
confessions : adhérents a
eux croyants), 50,000; ra.sg
r a n d nombre d'institutions
à l'élément kozak et qui,
ont national, ont provoqué
n s , l'ataman actucl, le gé-
:se et gra
v i l i s a t i o n
e t arriva
les offici
z è l e et d'instru
•xchisivement st
chez les simples Ko;
p o u r indiqn:
•e dans ses conséquencos, a fait faire un
elle concilie par une sage tolérance les
i ainsi â les effacer insensiblement. Déjà
r s des Kozaks de l'Oural beaucoup d'homition.
r l'extérieur, elles sont surtout saillantes
»ks : c'est
l e u r c Dyance. Ut
Quant aux particularités du schisme
iiisi que la barbe leur sert de signe
fois déjii le raskol sembla vouloir die
i n i n u c r ; mais le choléra de I84S ;
les missionnaires ; car les Kozaks cm
c h â t i m e n t envoyé par un mauvais gén
A cet égard, c'est le sexe féminin qposition
sociale est moins émancipée c
prêtres. Cette décision, aussi digne
s i c , et, malgré leurs dispositions n
l a force de l'habitude, dans l'isolei
s o u r c e dans un siècle de barbarie et rc
novation. Elles tiennent beaucoup aussi
e t gracieux, à l'exception de la coiffure
p e n c h a n t pour les anciennes coutumes,
s i d è r e n t les vêtements des femmes
t a c h é de péché, comme une iiiventi
Les Kozaks raskohiiks sont en généi
p o r t e pas de b.irbe et ne fait pas le
d o i g t s prc.scrits est détesté comme un
sion de se servir, pour boire ou pour :
marades. Quoique vivant depuis
des Kirghiz et entretenant des r
dent néanmoins comme au-dessot
âme ; ils tiennent môme pour un
ils disent de lui comme d'un
n a i s s e n t une âme aux Kirghiz qi
f f o r t s tentés par
maladie comme u
• de leur apostasi:
plus opiniâtre : s
le reste de la Rni
limila tous les
i s a g è r e n t cette
e pour les pun
i se montre le
encore que dans
t u r e l l e s , les femmes persistent,
lent et l'ignorance qui ont pris
issent avec méfiance tout:
l e u r costumo national, :
•e, non-seulement par goût ou
mais surtout parce qu'elles
•opéennes comme un costume
d u diable,
r a l très-fanatiq
les I quiconque lie
r o i x avec les trois
n ' a pas la permisitensiles
igne de la i
n e un réprouvé et
p o u r manger, des ui
longtemps dans le i
p p o r t s intimes avec
i des chiens, comme
péché de dire qu'un
n i m a l , qu'il
e lorsque ce
de ses cao
i s i n a g e rapproché
eux, ils les regardes
créatures sans
K i r g h i z soit mort:
ist crevé, fis
i'-ci peuvent loi
reconê
t r e de
M I
i V
J ]