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I ' t
I'!
H 2 P E Ü P L E S INDO-EÜROPÉENS.
l . c s lialiiti
1)1 lis grami 1
II kilt on c:
rciicoiitr
l,iibHii,
royniiiiic
q u a r t s ,1.
i t s (l'extraction polonaise (le l'empi
iniliro et cil masses compactes Oaiis
oxco|iter la partie nord ilii gonvcriicm(
2 2 0 , 0 0 0 Litlinaiiieiis, et h partie sncl-.
il il y a 215,000 Kntliimes (Pctitii-Iliis
de Pologne, au nombre ili
! sa population totale, qni
aussi 000,000 juifs et 300,000 Alli
goiivernenieiits de l'ouest de la Ko
la manière snivnnte : dans le gun\
dolic, 206,000; dans le eouvernen
•e rnsse se tronv
le royaume do Pi
lit d'AngnstOïO, (
s t dn gouvcrnem
;icns). Les Pnlon
r m e n t presque le
3 , 4 2 0 , 0 0 0 , formel
' o l è ï c à 4,7C4,000 âme;
nands. Les Polonais q
on y (
l i a b i t i
s s i c proprement dite sont répi
ernement de Grodiio, 225,000;
eut de Vilna, 185,000; dans (
;nt en
dogue,
il l'on
a i t de
ais du
i trois
omplc
nt les
t i s de
ui Pou
x de
M i n s k , 185,000; de Volliynic,
7 0 , 0 0 0 ; de Moliilev, 40,000;
1 8 , 0 0 0 îi S t -Pé t e r sbonr g ; e
eu l.ivonie, 3,000; dans le
r a b i o , 1,000. En totalité, 1
sont également représentés
femmes sont en plus grani
c o n t r e 2,298,000 hommes i
1 6 5 , 0 0 0 ;
d e Koïno
Ilde,
de Kiev
3 0 , 0 0 0 .
5 , 0 0 0 ; de Vitebsk
On
mpto aussi
Il Conr iande,13,000; îi YokatérinosI;
goiivorucmcnl de Kliersou, 1,000;
2 2 0 , 0 0 0 taies, parmi lesq
l a u d i s que dans le roya
1 nombre : on en coinptc
le la population entière.
•, 4,000;
a Bossa-
Iles les deux sexes
ne de Pologne les
en effet 2,466,000
Quelques tribus slaves du nord-oaest, résidant
s ' é t e n d e n t depuis la Vistnic jusqu' à l'Oder, se reiui
s i è c l e , avec les Liaklis (Lcklis) et prirent dos loi
( P o l a k s ) ou Polonais, dont il faut peut-être
c o n t r é e s qn
s le neuviènK
ti de Poliakbi
le mot polo, eliamp. Les Liaklis formait
t r i b n s , qui n'avaient sans dente apparti
m é r i d i o n a u x à l'empire de la (¡raude-Jl,
moins tontes les tribns septentrionales di
j u s q u ' a u delii, des Kar|iatlies.
l'e
Snr la lin du neuvième s
Hongrie actuelle sépara de l't
dionaux composant cet Etat, :
en pinsienrs groupes dont les
raves) avec les Slovaks; cell
Polonais (Liaklis) et des Slav
divisions assez distinctes. La i
a b s o r b é e par l'élément alleman
s e fondant de pins en pins d
tons cotés, ne forment pins q
Daus les premiers siècles d
(de même que les Varaignes
iliorcbcr l'élymolo, dans
i t précisément le centre de ces
nu que par leurs compatriotes
•mbrasi
i de l'i lest et s'éteinlaiit
•atic
p i r e biilgar et i
I Slaves du nord
•ineipanx sont et
des Serbes de
de la llaltiqne
t i o n a l i t é des Slae
t les Serbes di
•t
; (et Jfo-
Mlni des
: snba
été
ndes),
r e de
inflneuce caractéristique et décisive sn
V i s t n l e et l'Oder. Occupées d'agricult
dans des villes, ces tril
l e u r s moeurs à leurs voisi
g r a n d e partie, au neuviè
d i x i è m e , sous ftliécyslas,
c o n s t i t u a i t l'empire polon
nue tribu guerri
é t a b l i e s en
lus étaient supérieures par leur
lus les Allemands. Elles avaient
m e siècle, par Zémovit, fils d.
, et formaient une grande agglou
mais (poliakb). Les Sarmates appari
i s t o c r a t i q o e , nomade et conquérante
les paisibles agriculteurs slaves des contrées de la Vistiik
seniblaWe aux Pulgars et aux Variegues, s'abso
la tribu domi
e l l e exerça su
lables de nos jours,
noblesse prop
nique ont à son toni
l e s Jladgyars
•s peuples Slav,
luest, qui se d
Il des Tcbekli
i Lnzacc et cel
avec quantité d
s de la Baltique
l a Lnzacc (les Vi
c e même élément qui les cutoi
f a i b l e reste d'environ 135,000 âmes,
t r e ère, les Sarmates avaient exercé
les Slaves de l'est, les Russes) une
e sur les tribns slaves fixées entre la
i r a n d nombre
c i v i l i s a t i o n et
lté réunies en
P i a s t , et au
u n é r a t i o n qui
r u r e i i t comme
î u i soumit
ais tju
les tribns qu'elle !
son nom an peuple v
c f l c t s sont encore rc
élevées de la société
l a q u e l l e la féodalité g.
ducnce la plus cfiicace.
l i t eonqn
iiarqui
e t dai
Les Sarmates étaient un peuple d'un caractèi
l ier. Du jour oii il ]irit place dans l'iiistoire dos
dans des guerres sans cesse renouvelées penda
q u ' à ce qu'enfin l'excès de la lutte eût amené
h a b i t a i e n t , du temps d'Hérodote, au delil du Doi
une existence toute diiïércnte de celle dos femm
a la fainéantise. Comme peuple d'origine arique,
il presque aussitôt dans
nie ne donna pas mémo
lui une action dont les
i r t o u t parmi les classes
• t a i r e et militaire, sur
p e t a r d , l'i
essenti
i t i o u s ,
t plusien
p a r t i e
s e tre
Gernn
r i t é s do Ici
dent appar
, les Grecs
- c i , seulem
l l e m e n t gueril
se précipita
î siècles, jusi
ruine. Les Sarmates
l e u r s femmes niellaient
des Scylkes, adonnées
! qu'indiquent quelques
ingue (pent-étrc
i avec les Siavi
lussi leu
de min
p a n i a
IS Iliiidons, les
Ì, mais, comme
,s), ils
le quo 1
les peuples de race latine
nt dans l'acception la plu;
e t les Celle!
éloignée de
lot. Cavainades,
Hors
tout
d i s t i n g u a i e n t sous pinsier
e t combattaient il cheval
;cs fixes, emmenant de contrées en contrées
i r des chariots traînés par des boeufs, ils se
r a p p o r t s des autres nomades : ils chassaient
it leurs femmes maniaient les armes avec aut
sans demeui
q u ' i l s possédaient si
a n t d'adresse et d'intrépidité que les hommes.
jMiécyslas (905-992), l'arricre-petit-fils de Piast,
t i e n n e et réunit en un seul empire la Mazovie (snr 1
la basse Silésie, la Cnjavic (sur la rive gauche de
ouest de Varsovie) et la Grande-Pologne (entre Varsi
à la h a n t e S i l é s i e , ii la p l u s g r a n d e f de la IL
il la Petite-Pologne (contrée formant les eiivii
a p p a r t o n a i e i i t h l'empire de la Orandc-JIoravic
ouest se tiouvant séparés de la liiilgarie et de
g y a r s , et en partie des Russes par les Lithnani
put lutter avec succès chez eux contre les effort
allemand ; et en même temps que le eatliolicisnu
le système latino-gennailiqne religieux, politique
iV sa suite. Les Tchekhs, les Polonais et les Lu
a d o p t a la foi
j Vistnl e inféri
!a Vistole, au
vie et Posen).
J l l g r i e supériei
s de Cracovie),
Les Slaves dn
i Grèce par les
chréenre),
nordi
n a n t
ire et
elles
nord-
Madi
s , l'Eglise grecque ne
de Rome et dn clergé
p é n é t r a chez eux, tout
;t social, s'y introduisit
aciens se laissèrent inr
s de
ils et
d u e n c e r moralement et en partie politiquement par les envaliiss
l'ouest. Les Slaves de la Baltique s'étant montrés plus récalciti
a y a n t persévéré longtemps dans leur pagauisme, furent poursuivis, morcelés
et presque anéantis par les Allemands da nord. La faiblesse comp
a r a t i v e des Polonais, des Tchekhs et des Luzaciens, vis-iVvis dn imissant
e m p i r e romano-germauique, alors dans toute sa force, ne leur permit
pas de conserver dans la vie intime, mémo parmi les classes inférieures
d u peuple, les bases nationales de leur existence slave. Les principes
d u monde latino-germanique, appuyés sur le catholicismc, surgissaient
p a r t o u t avec plus on moins de force, se propageaient et enlaçaient toute
la nation, toutes ses idées, son existence entière. La réaction patriotique
e t religieuse des Tehekhs contre le calbolicismc et contre le principe allem
a n d , counne sous le nom de guerre des Hussites, dont rinfinence fut
décisive sur l'occident de l'Europe, n'amena ancun résultat pour les
T c h e k h s eux-mêmes, ne servit qu'à les affaiblir et favorisa même en définitive
la prépondérance de réiément allemand. La réaction qui s'opéra
u n moment chez les Tchekhs n'eut pas môme lien chez les Polonais, et
l o r s q u e , par suite de la réforme religieuse,
idépc
danco parurent vouloir se développer, ils fu
étouffés par les jésuites, ainsi que nous l'av
Boleslas Khrobry v a i l l a n t ) , premier
ction qui
les Pob
quelques germes d'
cnt bientôt et complètement
nis vu plus haut,
de Pologne (de 992 h 1025)
p a r li
ê t r e 1
étcndi
j u s q u '
Bong
p r o t e c t i o n de l'emperei
n v i s a g é sinon comme ii
le créateur de sa pni
e ultérieure. C'est lui,
lux ICarpathes,
e t à la Volhy
• d'Allemag
f o n d a t e u r
lance, de
n effet, qu:
dont 11 d e
l ' E t a t polonais, au
d é v e l o p p e m e n t et
I recula les limites
it l'allié, pont
l o r d jusqu'à la mer Baltique, à 1'
à l'ouest jusqu'à l'Elbe et la Si
it j
e t qui
iidit sa doi
iellem
lusses
nir l'(
L i l l i n r
mpereu
i n t r e p r i t
» n s t r u i
,dfia pa
u r des conti
t slaves. 11
r e n d i t tributaire;
i c n s ) ; il exerça
d ' A l l e m a g n e ; fit
e x c l u s i v e m e n t poloni
des hostilités contre
r t i c des anciens Prusscs
:>n efficace sur la Bohême
des villes, des châteaux
des lois sages et de fortes
empire, et assura sa prosile
f o r t s , des églises et des couvents; v
i n s t i t u t i o n s toutes les parties de son
p é r i t é sons le raïqiort administratif
gieux. C'est à juste titi
qn
tour de la Pologne, de
c o n t e m p o r a i n , et Y;
la grandeur ult.
de l'ouest les limites de la p
plus tard dans cette direction, car dans la suite l'élément
n é t r a vers l'est, par nu progrès lent mais intense et tonji
r a n t , et finit par éloigner de la Baltique et de la Visli
l ' é l é m e n t iiolonais, refoulé d'abord par l'ordre ïcutoniquc
é d é r i c le Grand. Le midi conquis se vit bientôt enic
des
I l'o
i r o s l a v
1res de l a Russie.
inissant
issi bien I
ut nommi
i consider
f o u d a l c n
Boleslas
luce polor
,r dans la
. F,.
n e sous le rapport relir
Boleslas le vrai créa-
V l a d i m i r le Saint, son
s de la puissance
•tendit surtout dn côté
qui ne se propagea pas
.llemand péurs
persévéc
inférieure
e t plus tard
-or les villes
; s t - à - d i r e la Galicie occidentale et la Volhynie
issie-Roi i g e , qui restèrent, jusqu' à la ini
ixécs au territoire russe. La domuiatioi
c e Cracovie pour capitale, la pa
partie
t a r d la Petile-l'c
p u i s s a n t s , tandis
pour laqu,
possession de h
j i t i c du
Il poloni
n terril
n'y av
Moravi
q u a t o r
lise coi
liècle, antoutefols,
l i e
t pas île prétciulants
, lie la Silésie, (le la