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duoli
p i
PEÜPLES INDO-EUaOPÉENS.
le les Juifä savent si
diez les Russù.cs, ini
cu Ics
; r«i)i
. L'íig
utUistri
culture est plus dé'
leur manque absolu
elop- Le genre d'existence et hi niaJiière d'Ctr*
oiitraste fVannant avcc ceux lies Russes, il
lies Russiiics présentent i
s Petlts-Russicns, etc.
K 0 1 A K S.
Les Kozalcs entourent comme d'un r
(le 10,000 vcrstes, et itrosquc sans i
asiatique de rcmi)ii'c ]'usse, de|niis la
et au Don. Ils représentent une fractioi
litó russe. Le concours de circonslauces
et entière ment opposées au régime prii
tion qui s'est développée par 1
L'élément kozalc acquit de 1'
pauiés séparées ii rempii' c de Moscoi
inpart ' :nt, liai
n i p t l o n , l'iminc,
d'OlihotsIf jusqi
te particulière d
te
Iilutùt
iltif, a
ntêrleures
une étendue
se frontière
'au Caucase
c la natiouau'cxléiicures,
;ettc igrégalutte
iiporti
ï a t a i
s la r 1 des prl
alors que les paysans inn
troublé par des agitations
trins (Dmitri) avait plongi
tricable. Le régime kozai;
la commune (obclitclnna)
Russie en différentes print
sisti
i p aut e s
gole ; et ce
ses individu
é t a i t animé.
Sur le Di
de la domin
persécutions
ciilièrcs ne
ftt
ICC depii
ais snrtout i
ix-septièmi
nd l'empii
des faux
os un chai
cliiis ¡1 la glebe,
ises ct que Ic ri;gue
ilstration du pays dai
ne nouvelle forme de
irganisa
t k I'epoqui
la division
rant et pendant la
natio
origine, par les actions d'cclat de
ilités remaj'quables, de quoi était capable l'esprit dont il
l i e p r , l'élément kozaI
ation tataro pai- les f
politiques; mais sol
se manifestèrent d'ui
sn[irématie litluianienno et polona
et devint pour le peuple russe oui
L'élément kozak sur le Don [
la domination tatare ct résulta pi
rienrOB entièrement hostiles aux
guerrières des Kozaks leur vouait
Dans ce pays aussi bien que s
ne fut pas le résultat absolu de
]ilutôt celui de l'opposition pernia
nmença fi se forme
•ances physiques
•actère réel et s
anière permanei
remplaça à l'one
liltis intolérable
naissance penda
dès le début
autant que par les
¡s tendances partiite
que lorsque la
s t celle des Tatars
et plus oppressive,
lit la décadence de
systèn
droits
le, des différentes conimu
incipalement de causes politiques intéanciennes
traditions, f.cs habitudes
:it des contrées du Dniepr,
ir les rives du Don, rélcnient kozak
diverses causes déjà énoncées, mais
icntc de l'ancicn principe au nouveau
(obchtchiiias) s'apiiujant sur d'ancicns
n t r c le joug des classes privilégiées, contre
les propriétaiics.
C'est ainsi que le régime kozak parut simultauénii
parties principales de la Russie, le grand-duché lithua
duché moscovite ; ii se montra toutefois dans ce premier
façon plus caractéristique, après la destruetioii radici
institutions ct la chute des princes et des grands aussi
tations et des places fortes. Lorsque, dai
e t
les
, la fameuse association des Zapo
•al et se fut 1
idne com
r toute l'Oukr
lent kozak qn
foi
e ses enfants
icounit pi
ur le Do
vers ces regions. C
[In Volga, dn Terek
> jni n'en Sibéi
nt dans les di
icn et le gra
plus tôt et d'i
le de toutes
bien qu'après la
s le sud-ouest de
'gues sortit du régime kozak
;iété organisée et une ligue
issamment au dévelo|i]icinent
, et fit mémo émigrer nue
;st de là que rélémcut se
ct de l'Yaîk (fleuve Oural),
•chant sur le sol ennemi les
ruine de
la Russi
en gcnéi
solide SI
de l'elén
p a r t i e d
répandit sur les rive;
et qu'il pénétra niêm
combats et le butin.
Par ces luttes coût
nnclles coi
rrici-s qui
>t des me
urs de gui
par leurs exploits gui
de la considération
istei
aussi par l'utile cone
étrai
pides, devinrent des espèces
l'élément belliqueux du peuple
tient. De continuels combats entre les pi
précédemineut fait surgir parmi les Russes beancou;
et guerriers ; et ce furent précisément ces hommes
souples que la grande masse du peuple russe, ne
discorde intérieure, à laquelle ils échappèrent en se mélangi
politiqn
dn butin
, les Ko
e t d'avi
de Vikii che
d'aillci rs paisibli
féodaux
religie
la gloi
soutci
Ills et pa-
•mgues
l'homines ai
itrépîdes qn
lédèrent poi
restes de quelques hordes i
aucun frein.
Lorsqu'on demande à ni
jmades, libres, heUiquou
Kozak s'il est Busse
îcs et 1
P e t i t - R u s s i c n , il
répond simplement qi
nette et caractéristiqu
'il est Kozak; et il d
; sa position partieulii:
principal qui l'unit au
i n g kozak et le sang
bouillonne plus vivace
rses et l'iinn
:tat d'agitatio
istances d
u dans ui
circnlatioi
calme de son origine
ne représentent pas préi
réc, un ensemble prove
que c'est comme une m
L e nom de Kozak i
presque aussi générale
e r r a n t , libre et
p a t r i e subjugué!
(Kirgli
Russe : l'unité
•tisse sortent de
;t plus fort clici
ixtion d'élémenti
plus fébrile; ti
le manière
nps que le
de langue.
; mais ce
ir des cirétrangei
ndis que
l'o 'Utri
•égulière cou:
et ,es Koi
•ment
it d'un
formé!
Khassaks
Srale que i
dépendant,
il est déri
Kaissaks).
i k s , tribu
m peuple
ouche
frand
par un f
litivcmcnt
de nomi
oppositiol
irobablem.
i r t .
les derniers,
t le caractère paisible
re de la nation russe,
me nationalité sépadirait
plutôt d'eux
brc de lleuves.
lie une signification
Ru!
e et désignait nu guerrier
aux habitants soumis de la
it dn peuple des Kozalcs ou
L e régi 11
ut de guc
issociatioas formées dans un
1 subsistance ; en sorte que
se manifestait par
•e et de pillage nécessaire;
lices elles-mêmes lui avaiei
•ritoire russe, loin de I.
nis plus faibles, atin qi
rmc dans les pays voisii
ir patrie. L'élément ko;
Mit assigné sa place sur les fronp
a t r l e opprimée et dans le voisi-
1 ses guerriers pussent portier le
, aiirès y avoir échappé eux-uiô-
.k se fortifiait, pour cette raison,
dividiis de toutes les nations et même des ennemis
re. Cependant la nécessité de s'appuyer sur le coukozak
irgiq
lies d'u
int cha
coiifédé
à tel pi
combats est dcveni
elles de cette aggi
e t vigoureux dimii
itances. On peut méini
ition semblable pour c
nt que l'affluence d'étr
inopportune depuis le
mération ont été profi
ua bea
dire
ntreter
égard
ciatioi
besoin
foyer
stha
ucoup par suite du
que les conditions
ir l'élément kozak
robustes et avides
it oil les bases naît
modifiées. A cet
: L a véritable assot
se proposai!
défense est
de
dit avec beaucoup de justesse
neiens Kozaks, pour se maintenir et pour pj^ospérer
.IX mobiles ; le danger et le butin. Défendre et enrichir le
force des armes, attaquer et détruire les habitations des
us, c'étaient là évidemment les deux buts principaux que
t les Kozaks. Aussi, sur les frontières de l'empire, oii cette
écessaire et où ces attaques peuvent être utiles, les assodes
Kozaks maintiennent leur earactére primitif. Un offrant plus
itie au gouvernement, elles s'agrandissent, se innîtiprient môme
e t se régénèrent toiiji
cueille volontiovs des
langue parle et de
coeur d'airain qui di
le butin des Kozalis
pays kozak plus di
agrandit leur territoire et augmente
f a i t e les diminue; c'est là q
r i u s il y a de travailleurs, |ilus li
là qu'éclate cette vérité que c'ei
l'homme a oiicore quelque valeur,
vie pleine de dangers et de conibal
t i a l c s , ces véritables Kozaks dont
les privilèges accordés par l'Ktat à
ont perdu leur caractère primitif
par des forces iioi
étrangers couragciix, cl
quelle mère est né l'hi
sire partager les daiigei
Là, le glaive, la capti
combattants qu'il n'e
¡lies. C'est alors qu'on acou
ne demande pas quelle
me au bras de fer ct au
les fatigues, le travail et
:é et la mort dévorent au
produit. Chaque victoire
•s biens, tandis que chaque détrouve
l'application de cette règle :
e salaire est grand et assuré ; c'est
;st principalement à la guerre que
Mais c'est aussi au milieu de cette
ts que grandissent ces natures maries
services compensent snliisammciit
, leurs a.ssoeiatiuns. Plus ces relations
plus les associations des Kozaks
ivent se passer de m
î frontières ennemies i
j r é d'importance, eon'
ligne dn Caucase ; et
n t c , plus le nom de
iivcanx renforts. Kl
s t dangereux, les K.
me cela arrive aiijo
au contraire, ]ilus 11
e f f e t , quand le vi
zaks prennent nu pli
ird'hui pour les Km
sécurité du tcrritoii
isiiiage
s haut
iks de
0 aug-
Kozak perd sa valeur caractéristique dai
PEÜPLES INIIO-EUROPÉENS,
uigage liistorique. C;
fendre leurs foyers eu
viléges partiel
l'Etat. Dans
dès que les Kozaks
; les attaques conti
lie ces associations pouvt
, le gouvernement chei
ne sont plus forcés de
isformer ci
ibi Ics Ko;
de l'Onkraìni
occidentale, on
i des Kozaks d
e le résultat d
viléges ponr tri
sort qn'ont déjà i
gou'ief et en parti
Dans l'hlurope !
Sion des priviicgcs
trcs Kozaki
ffozaks en
iks slobodes.
idles I
eut devenir
;he à rédui
i u j e t s ordii;
les priicle
polir
n à pou ces
Tel est le
de Tchou-
Kozi
Tata
dai
rs, et qn'ili
ipréniatie q
Icni^s briga
rouipire
DSt plu à considérela à tort 1
l'Oiikraîne ct la rcstrictioi
10 politique arbitraire. Pan
t rendu jadis d'importants services eoutr
it d'aiipui essentie
suppresdes
auq
u
servirent de
'elle exerça i
dag'cs et lem
nr la Pologn,
licence eil'réi
isatioii et la
1 oublie qn
lut souvent
•éticntc au;
les
les Turcs et les
c pour
infidéla
Pogrands
Russi
leur
!xposé
plus
S'il résnltc de Cl
mciits hétérogènes,
vais Eusses. Tout a
d'éléments tatai-s, tui
qui pr
1 no fai
contrai
; s , p o l m
'Cède qne les Jiozaks se eomposent d'éléit
lias induire de h'i qu'ils soient de maur
e , le caractère de ces associati
a i s , serbes, etc., atteste éminenii
onalité russe. Les Kozaks sont
ticité ct l'énergie de la iiatioi
Russes dans tonte la forco du
bien que le plus grand noinbi
sous le rapport des opinions
lis mêlées
;nt l'élasijourd'liul
terme et appartiennent à l'Eglise
0 d'entre eux fassent partie du i
politiques ct de l'esprit qui les
ils sont exeellents patriotes ct sujets très-fidèles. Les Zaporogues eu;
mêmes (plus tard appelés Teheniomores ct a
lurd'hui Kozaks du Ki
ban), en quittant leurs habitations près dei
i t a r a c t e s du Dniepr, i
])crdu l'esprit d'indiscipline et l'inconstance qu
utrefois loi
propres comme à tons les Kozaks. Los armées
turques ont fait cause commune avcc les Kozaks
Les Kozaks fui
à la conronno
et organisée à
soumis.
ent de tout temps les soutiens em|
loscovite, et ce n'est peut-être qn
reuropéeniic que la Russie est n
soi
étaient
aises, tatares et
eontrc la Russie,
s des prétendants
armée régulière
able de les avoir
de circoi
pn for
prit kozak,
ronches Ko;
pendante,
partie la
ipiête de la
istani
laut.
, disi
joui
table
E t a t
indéper
Stéplia
u Bator
izaks fin
issent u
Il est
incontc
insolidation de sa
Sibérie. Elle e
résultats aux ICozaks petits-
(ataman) Bogdan Klimelnitsl
doit à Yermak, qui, pareouri
des Kozaks du Don
tsai-. N'y a-t-il pa
la Providence qui •
pays qui aujourd'hu
part dos eriminels i
à un souverain auq
Terrible ?
les particulières
L e prince qui
lit ; < Il est très-possibli
l'élément
miprit le
ces
par se constituer en puissance Indéque
la Russie leur doit en grande
sanee en Europe et eu Asie, et la condii
; redevable
à la Russ
t en vainqn
en fit la conquête
quelque chose d
luliit qu'un briga
encore sert prée
l'empire russe,
il sou inflexible i
premier de ecs importants
la soumission de leur hetman
:e; quant à la Sibérie, elle la
cur cette immense contrée avec
: t vint la mettre aux pieds du
dans ce décret de
ak, s'emparât d'un
d'exil pour la plubien
singu
d fugitif, Y
lément de li
t q
igne
ce brigand eu fit hc
avait mérité le .suri
image
ini de
Depuis le siècle passé, surtout à la suite des révoltes de Mazeppa ct
lie Poiigatchev, les Kozaks petits-russiens, les Kozaks du Don, ceux dn
Volga et de l'Oural, ont perdu leurs aneienncs ¡iistitiitioiis ct leurs privilèges
touchant l'élection do l'atanian et de leurs ofliciers. Aujourd'hui
les atamans, nommés par l'empereur, a]ipnrtiennent rarement à la nationalité
kozake; et l'ataman général de tous les Kozaks est de droit
(ipso jure) l'héritier du trône de Russie.
Dans l'existence des Kozaks, il faut considérer doux éléments qui subsistent
simnitanément l'un à coté do l'antre, et dont riulluencc réciproque
agit tantôt favorablonient, tantôt défavorablement. Le Kozalt est tout à
11 fois soldat ct colon. C'est spccialement, ainsi que nous l'avons dit
Iil"s liant, sur les principes de l'organisation d'Etat et du régime mili-
'•"re des Kozaks que l'élément russe a ou le plus d'ascendant. C'est
l i , ainsi que dans l'absence de l'élément nomade des Tatars et de
l'sprit anstocraliquo et fédéraliste des Germains, ainsi que dans le goilt
lirouoneé des Russes pour l'association, qu'il faut principalement chercher
le germe des institution
stabilité de leurs réside
ont réglé les destinées des Kozaks. La
la colonisation et une bonne organisation
aks la richesse et la
nomades ennemies; nu
icadencc de l'associatio
é c u r i t é ; car du moment
foyer domestique, l'esp
entreprenant dut natiirollemeut s'affaiblir.
Mêlés aux flots écumeux qu'avaient laissés dans Ii
Russie méridionale le flux ct le reflux de tant de
Kozaks russes empruntèrent les bases de leur régi
sieurs des formes de leurs associations largement dé
de ces peuples, dont re.iisteiice antérieure n'est
que par les koiirganes (monticules) dont est presq
verte l'immense contrée qui s'étend du Baikal au D
it bclliqiieu
les stcpiies d
peuples divers
ne militaire
eloppées aux
lignalée anjoui
e entièrement
nube.
It plu
L e dangereux voisinage des tribus nomades du sud ct de l'est, ainsi
que de fréquentes expéditions intérieures de guerre et de pillage, forcèrent
les anciens Russes à construire dans les contrées .cnltivées par
enx des places fortes (gorods, gorodoks, mot qui signifie place avec enceinte
on clôture) ; c'est là qu'ils venaient chercher nn abri lorsque le
danger menaçait leurs métairies (khoutors) disséminées et oii ils avaient
aussi l'habitude de se renfermer pendant l'hiver. Les gorods, gorodoks,
devinrent insensiblement des villes qn
spécialement à l'époque de l'invasioi
valent pas toujours offrir un sur refu
mander asile et protection, en sorte qobligés
de cherclicr un asile plus loin
qui, avec leur nouvelle existence, avi
de Kozaks, s'augmenta insensible
menccmcnt de la domination tatai
de sa décadence, comme nous l'avo
acquirent beaucoup d'imjic
des Tatars; mais elles u
•tani
aux débris de quelques penpl
tôt une puissance imposante,
biles dans l'art de la guerre.
A l'époque de l'invasion tatare, de
sociation kozake ; celle du bourgeoi
nine) et celle du h
aux invasions euni
ïo à tons ceux qui ve;
le beaucoup de fugitifs
Le nombre de ces fu
avaient adopte aussi le n
lent snr le Dniepr, surti
en Russie, et sur le Don
i dit plus haut. C'est alor.
it y deroyaient
•itifs 1
nomades ct gncrri
'US la conduite de
lers, iî;
chefs
au moment
que, mêlés
acquirent bieuitrépides
et hacti
lo systèn
la dem
sur l'ai
les bon
classes se constituèrent dans l'as
n citadin (grajdanine, mcchtchak
ou paysan armé dans les centrées plus exposé«
:s. Dans les parties septentrionales de la Russie,
en vigni ir ne ftit gi
1 tatare, la classe bourgc
; constitution de l'Etat;
diassés presque tous ou
modifie
i la
dans
lyant i
présence même de
suprématie, fondée
le midi, les princes et
mbé sous les coups dos
vainqueurs, et les villes étant saccagées et ruinées, les hordes des Tatars
se fixèrent dans le pays, et c'est là principalement que le régime
kozaI; prit naissance. Afin de rester indépendants des Tatars qui avaient
subjugué toute la Russie méridionale, des fuyards armés se retirèrent
dans des contrées plus éloignées et plus abritées, près du Dniepr. ÎSIais,
expulsés de ces parages par les f.ithuaniens, ils se dirigèrent plus tard
vers la partie inférieure dn fleuve, au delà des cataractes (za poroghi),
et vers les contrées plus isolées du Don, que les Tatars avaient eommencé
à abaiidouncr. Là les fugitifs trouvèrent déjà, du moins sur le
Dniepr, des colonies issues d'anciens Iiabitants. C'étai
dauts des hordes mercenaires turques qui ravageaient, d
les plus reculés, les frontières de l'ancienne Russie. On
hordes celle des Capes noires ou Tcliornyïe-KIobouki,
blablenient était commun à tous et qui se retrouve chez
paks d'aujourd'hui, dans le voisinage des Kirghiz-Kaïssaks,
s'est conservée par tradition l'opinion que leurs aicux ont a
bité la Russie d'Europe. Après avoir vécu précédemment dai
s hostilités avcc les Russes, les Tchornyie-Klobouki
imployés comme une espèce de garde frontière ou color
les
nuell
ê t r e
ils prire
apparten
attaques
plus taril
t même part à l'élcction du pr-ince
iont, espèce de principauté féodale qu
des diverses tribi
la Pologne contre
de Kozak dans s
choz los Russes
Le nom
mière fois
droit.s et p
5 nomades, c
les Tatars,
i véritable sij
Il delà de la
deseonepuis
les temps
cite parmi ces
om qui vraisemlez
les Karakalchez
lesquels
autrefois hade
contifinirent
par
lie militaire ;
ays auquel ils
pa
ils protégeaient contre les
; les Kozaks protégèrent
nificatiou parait pou
rivière Ross, aux m
; dans le même sens que celui qu'il avait autrefoi
prel'I
î !
í!