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C s a p . II. du F r o t t e m e n t . iic
du levier donne environ j liv. pour le frottement réduit à une des
extrémités A , ou B, (149) qui étant ajoutés avec 1 1 7 , donnent n z l .
pour la force de la puiflance appliquée à chacune des mêmes extrémités.
Comme ce poids eft moindre que celui d’un homme,
on voit qu’il n’en faudrait qu’un appliqué à chaque extrémité,
pour mettre la machine en mouvement.
32.1. La fixieme figure repréfente une maniéré de fe fervir du Defcription
meme mouvement pour élever un poids. A F eft un levier dont le * quelques
point d’appui eft en B accompagné des deux crochets AD , C E , Z^^ûtdTL
qui accrochent encore alternativement la roue dentée, par l’aétion prLdeme.
de la puiflance appliquée au point F , qui décrit en montant & en
defeendant l’arc FG pour faire tourner la roue, par conféquent le
treuil autour duquel file la corde qui répond au poids.
313. La première figure, dont l’objet eft le même que celui de
la précédente, comprend une différence dans la maniéré de faire
tourner la roue, parce qu’à l’extrémité F du levier FH , dont le
point d’appui eft en G , on a fufpendu un crochet F D , & un rayon
folide FE. Quand la puiflance qui eft à l’extrémité H agit de haut
en bas, le crochet D tire de bas en haut, pour faire tourner la roue ;
au contraire, lorfque la puiflance agit de bas en haut, le rayon folide
pouflç de haut en bas contre les dents, pour faire aufli tourner
la roue, par conféquent il n ’y a point de tems perdu.
314. Enfin la figure feptieme comprend une roue dentée félon
la direction des rayons, qui s’engraine avec un pignon R , dont
l ’effieu répond à une manivelle Y qu’une puiflance appliquée à la
poignée S fait tourner pour élever le poids. Je ne m’arrête point
a calculer ces trois dernieres machines, les exemples précédens
devant fuffire pour juger de la maniéré dont il faudra s’y prendre.
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Part. I. Tome I, R