
T A B L E,
396 t a b l e . , 97
C H A P I T R E III,
O ù l’o n e n fe ig n e les p rin cip es J |j les réglés d e l’H y d ra u liq u e , 116
S E Ç T I O N P R E MI E R E ,
D u n iv eau d es liqu eu rs & d e le u r é q u ilib re , Ibid.
Lorfqu’une liqueur efl renfermée dans un vafe3fa furface fe met toujours de niveau3
ib id ,
On peut fuppofer les liqueurs divifées par colonnes 3 & lorfque ces colonnes ont leurs
' farfaces de niveau elles font en équilibre entr*elles 3 ib id .
Une petite colonne de liqueur peut être en équilibre avec une plus groffe 3 pourvu
que leurs furfaces foient de niveau 3 n y
Une liqueur verfée dans un fiphon fe met de niveau & en équilibre dans les deux
branches 3 qu’elles foient de même groffeur ou non 3 1
Autre maniéré de démontrer qu’une liqueur verfée dans un fiphon, s’y met de niveau
& en équilibre 3 de quelques grojfeurs ou figures qu’en foient les branches 3 ib id .
Dans les tuyaux capillaires 3 l’eau s’élève au-dejfus de fon niveau 3 119
Raifon de la propriété des tuyaux capillairesp 130
Les liqueurs montent d*elles-memes le long d’une bande d’étoffe 3 & fortent du vafis
oà elles font renfermées 3 ib id .
Maniéré de mefurer exactement la pefanteur fpécifique des liqueurs y 131
Un vafe rempli d’une meme liqueur en contient plus en hiver qu’en é té , ib id .
T a b le des po id s de p lulleurs liq u eu rs d ’ufage p o u r u n p o uce cu b iq ue , 135
A u tre T a b le d e plufieurs liq u eu rs les plus u tiles p o u r u n p ie d cu b iq u e ,
tiré e ’d e la p ré c é d e n te , 1 3 4
E n France3 un certain volume d’airpefe en hiver le double de ce qu’ilpefeçn été3 ib id .
Expériences de divers Auteurs fur le poids de l’eau douce ^ ib id .
Le poids le plus ordinaire d’un pied tube d’eau douce efi de 7 0 livres 3 13 3
Poids des différentes mefures qui font en ufage pour le calcul des eaux > ib id .
Le pouce d’eau efi une mefure de 14 pintes 3 ou de 2,$ livres d’eau écoulée dans le
tems d’une minute 9 ib id ,
Le poids d’un pied cubç d’eau efi à celui d’un pied cube de mercure. à peu-prés
flans le rapport de £ à 2 7 9 1 3 6
S e c t i o n I L
D e l’a d io n verticale de l’eau c o n tre les parois d es vaiflèaux q u i la c o n tie n n e n t,
ibid.
Maniéré de calculer Veffort d’une puijfarïce appliquée à un pifion 3 ib id .
L ’eau poujfe de bas en haut 3 avec une force déterminée , les corps qui l*empêchent
de monter à fon niveau 3 1 3 7
Une petite colonne 3 ou un filet d’eau peut élever un corps fort pefant 3 138
L’effort d’une puijfance qui foutient un pifion efi toujours égal au poids de la co~
lo'nne d’eau qui auroit pour bafe le cercle du pifion y & pour hauteur celle du
wyMjf
’ttivcau de Peau au~dcjjus du même pifion , p a£ e 1 î 9
La force de l’edu qui agit félon une direction verticale ne dépend pas de Ja quan-
m e, mais feulement de fa hauteur & de l’étendue de la furface qu’elle pouffe, 1 so
Expérience fiir la pouffée de Peau, * - J r
Explication delà caufe qui fa it bomber les radiers des grandeséclufes , f f l
La baJe_ d’un tuy au cylindrique incliné efi autant chdrgée. par l’eau que ce tuyau
contient que s’il étoit droit 3 jfojj
E)e quelque figure que Jbit un vaijjcau rempli d’eau , & quelle que fo it la quantité
q u il en contient, le fond efi toujours chargé du poids d’une colonne à laquelle
Ialuj emrveimroe ifto dned b, afe & qui auroit pour hauteur celle du niveau de l’eau au-*d*'effus
L^e quelque figure que foient les parties d’un tuyau pofié fu r un plan vertical 3 ou
inc ine 3 fa bafe efi toujours chargée du poids d’une colonne de même bafe3& qui
auroit pour^ hauteur celle du niveau de l’eau au-deffus de la même bafe 3 1 44
onc ufion 3 d o u i on déduit une réglé générale pour l’effort que foutient une puif-
jance appliquée à un pifion fervant de fond à un tuyau 3 14 3
S e c t i o n I I I .
D e 1 a d io n d e l ’eau c o n tre les furfaces v erticales 6c re d a n g u la ire s , ibid.
Rayonnement pour prouver que l’eau qui agit fu r une furface verticale la pouffi
jeton des directions horizontales, ib id .
La poujfée de P eau contre une furface verticale & rectangulaire va en cro iffam ïl
P uj s fon niveau 3 félon l’ordre des termes d’une progrejfion arithmétique 3 1 4 6
orrejqsu dee ds ehuaxu ftupr.ufartc eds* ov&nti Slka même bafe, les pouffées font dans la raifon - des q•»u a9r*-
O n ib id . àp leautt aenxgpernimtee 3r les poujfee s de l’eau par les ordonnées d’une parabole 3 menées
On peut fuppofer que toutes les lames d’eau pouffent avec une force uniforme 3 ex-
primée par une ligne égale à la moitié de la hauteur de l’eau3 ib id .
Autre maniéré de déterminer la hauteur moyenne de l’eau 3 lorfqu’on prend la
pouffée au-de fous de fon niveau 3
L es pouffees de l eau contre des fu rfa ces différentes fo n t dans la raifon compofée
j e} etj n^ue de ces furfaces & des hauteurs moyennes qui leur répondent 3 ib id .
Application du fiphon à la maniéré de calculer la pouffée de l’eau3 1 48
La pouffée de l’eau contre une furface rectangulaire efi toujours égale au.poids
d’une colonne qui auroit pour bafe cette furface & pour hauteur la hauteur . moyenne 3 ^
On peut encore démontrer l’article précédent, quoique les branches du fiphon foient
d’inégale groffeur 3 JP J ^
our calculer' la pouffe de l’eau contre une furface verticale 3 il ne faut avoir nul
e8arfr, { etf l<due du plan qui fert de bafe à l’eau 3 mais feulement à la furface
poujjee & a la hauteur moyenne qui y répond3 1 50
Maniéré de calculer la force qu’il faut pour lever une vanne qui foutient de
t„UmUaarqun>e s Jru r ce qui. pe.ut a.rriv er quand, on levé ou bûijje les Vannes , iibb iidd ..
Maniéré de rendre fenfible la pouffée de l’eau contre une furface, i s i
Part. I. Tome I. E e e