
398 T A B L E . Une petite quantité d* eau peut être capable d'une force prodigieaje 3 îfc>i<JLa
pouffée de Veau contre une furface verticale ne dépend pas de la quantité qu’eit
contient le vaijfeau qui la renferme 3 mais feulement de Vétendue de la furface
pouffée & de la hauteur moyenne qui lui répond 3 15*
S e c t i o n I V *
D e l’a& ion d e l’eau c o n tre les furfaces in clin ées , ibid.
La pouffée de Veau contre les furfaces inclinées fe mefure de la même maniéré que
f i ces furfaces étoient verticales 3 15 J
Maniéré de calculer la pouffée de Veau contre la furface d’un cône , 1 5-4
Examen de ta pouffée de V eau contre des furfaces oppofées 3 pour faire voir les
forces qui fe détruifent 3 ibid.
Maniéré de calculer une puiffance qui foutient 3 à Vaide d’un plan incliné3 un
vaiffeau oit il y a de Veau 3 15 J
On ne fent point le poids de Veau qui efi renfermée dans un vaijfeau cubique 3 mu
fu r un plan horizontale lorfque ce vaijfeau n’a point de fond3 ibid.
Quand un vaijfeau fans fond efi pofié fu r un plan incliné 3 la puiffance ne foutient
que la différence des pouffées oppofées 3 i $6
Recherches de Vangle fous lequel un plan doit être incliné pour y faire monter le
plus d’eau qu’il efi pojjible dans le tems le plus court 3 ibid*
Tour le.plus grand effet 3 il faut que ta hauteur du plan incliné foie tes deux cinquièmes
de fa longueur 3 ou que ce plan forme 3 avec l’horizon 3 un angle de 23
degrés & z i minutes3 i^ S
S e c t i o n V*
D e Paéfcion d e l’e au c o n tre les furfaces circ u la ire s, v erticales & inclinées , 1 5 9
La folidité de l’onglet efi égale aux deux tiers du parallelepipede compris fous le
quarre du rayon & fous la hauteur de Vonglet y. \6Qc
La furface de Vonglet efi égale au rectangle compris fous le diamètre de l’onglet
& fous fa hauteur y ibid*
La folidité de l’onglet efi à celle de fon complément 3 comme \ \ efi à \ q 3 1
Maniéré de mefurer la pouffée de l’eau contre les furfaces circulaires, eu égard
à leur pofition y ' 1gç
Dans quelquefituation que fo it une furface circulaire, la pouffée quelle foutient
efi toujours égale au poids d’une colonne d’eau qui auroit cette furface pour bafe
& pour hauteur celle du niveau de Veau au-deffiis du centre du cercle 3 1
S e c t i o n V 1«
D e s cen tres d ’im p re d io n s , ibid».
S E C T I Cf N V I I .
D e la m e fu re d e s eaux q u i co u le n t p a r le fo n d des tu y a u x , o u ré fe rv o irs, itfy,
Les parties de Veau renfermée dans un vaijfeau s’emprefftnt de toute part à couler
du coté te ptus foible > ibid*
n . T A B L E . m
Quand un refervoir 3 percé par le fond3 efi toujours entretenu à la même hauteur 3
ce n efi pas la colonne d’eau qui répond à l’orifice fans ceffe renouvellée 3 qui
fournit à la dépenfe 3 mais généralement toute Veau du vaiffeau y concourt 3 169
L effort que fa it l’eau pour occuper la place de la colonne efi a Vaction de cette co-
_lonne^ pour defcendre 3 comme fa hauteur efi au rayon de fa bafe, ib id .
L eau d’un vaiffeau 3 entretenue au même niveau 3 coule toujours avec une vîteffe
uniforme 3 étant chaffée par une force confiante 3 1 70
Quand un tuyau vertical dont Vouverture efi égale à la bafe vient à fe vuider3
la furface de Veau acquiert 3 en defccndant 3 une vîteffe qui croît comme celle
des corps graves qui tombent librement, ib id .
Les viteffes de Veau font dans la raifon des racines quarrées des hauteurs de la
même eau y ^ ib id .
La demonfiration du principe généfal du mouvement des eaux a été trouvée par
M .V arig n o n ^ ‘ I y I
Les viteffes de Veau peuvent être exprimées par les racines quarrées des hauteurs
des-réfervoirs '3 # " . ib id .
Que^ es tuyaux foient droits 3 ou inclinés 3 les vîteffes de Veau doivent toujours
s exprimer par Us racines quarrées de la hauteur de fon niveau au-deflus de
wa BvitBejje& deË l e au Wa laÊ foÊrÊd eÈ dÊ’unÈ o rifice 3 efi la même que celle qu’un corpisb iadu.roit
acquis en tombant de la hauteur du réfervoir 3 171
Quand un vaiffeau efi toujours entretenu plein 3 il fe dépenfe par le fond une colonne
d’eau double de celle qui auroit pour bafe l’orifice & pour hauteur celle
de l eau, dans le tems qu’il faudroit à un corps pour parcourir cette hauteur
en tombant librement 3 ib id .
Un vaiffeau toujours entretenu plein dépenfe deux fois autant d’eau qu’il en contient.
3 dans un tems égal à celui qu’il mettroit à fe vuider 3 175
n vaiffeau t°ujours entretenu plein dépenfe autant d’eau qu’il en contient 3 dans
la moitié du tems qu’il mettroit à fe vuider 3 ib id .
Maniéré de trouver le tems qu’un vaiffeau employer a à fe vuider par le moyen de
celui qu un corps mettra à tomber de la hauteur du vaiffeau, ib id .
Quand deux vaiffeaux fe communiquent 3 il faut le double du tems au premier pour
remplir le fécond, que f i celui-ci étoit au-deffous de l’autre 3 1 74
Conclufion pour faire voir la conformité des réglés du mouvement des eaux avec
la doctrine de G allilée fur la chute des corps 3 ib id .
Formule générale 3 d’où. Von peut tirer toutes Us réglés pour la mefure des eaux 3
Réglés generales tirées de la formule précédente pour la mefure des eaux 3 ib id .
Analogies particulier es félon les differentes hypothefes qui peuvent fe rencontrer
dans la mefure des eaux 3 ibid.
Maniéré de déterminer la valeur des grandeurs confiantes de la formule 3 i -j -j
Application de la première analogie à un exemple y ib id .
Maniéré de faire ufage de la formule pour trouver la grandeur de Vorifice 3 con-
noiffant fa dépenfe dans un tems déterrriine & la hauteur du réfervoir3 178
Autre application, de la formule pour trouver la hauteur du réfervoir3 connoiffant
l’orifice y le tems & la dépenfe 3
Autre application de la formule pour trouver le tems 3 connoiffant la dépenfe , la
grandeur de l’orifice & la hauteur de l’eau ^ 175
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