der größere Teil des Basidioniycetenkörpers gehört der 2 x-Generation an, ist also
nicht dein Ascoinycetenkörper homolog; so besteht der ganze Fruchtkörper aus
biniikleären Zellen. In der Basidie, dem Homologon des Ascus, bilden zwei x-Kerne
einen 2 x-Kern, der sofort als Gonotokontenkern fungiert nnd die vier, der x-Generation
gehörenden, Basidiosporen bildet. Diese keimen dann zur x-Generation, das „Mycel
primitif“, das dann später wieder die 2 x-Generation bildet.
Ascomyceten und Basidiomyceten sind demnach sexuelle Pflanzen, von denen
erstere bisweilen, letztere immer die Geschlechtsorgane, nicht aber die Sexualität
verloren haben.
Wenn auch noch vieles unklar ist, so scheint mir die Cytologie doch dieses
Resultat schon gewonnen zu haben.
Aber nicht nur auf das Studium der Kryptogamen beschränkt sich der Einfluß
der Cytologie. Das Gegenteil lehren uns M u r b e c k s und S t r a s b u r g e r s Arbeiten
über Alchemilla, R a u n k ia e r s nnd J u e l s Taraxacumarbeiten und die von O s t e n f e l d
über Hieracium; deren Bedeutung ist abei- so evident, daß die zu meiner Verfügung
stehende beschränkte Zeit mich wohl von einem Eingehen darauf enthebt.
Ich bin hiermit am Ende meiner Aufgabe angelangt, und möchte nur noch
einige Worte sagen, damit ich flicht den gänzlich unbeabsichtigten Eindruck eines
cytologischen Fanatikers auf Sie mache.
Ich will keineswegs behaupten, es sei die Zytologie ein Panazee sämtlicher
systematischer Übel, im Gegenteil nur eins ihrer Hilfsmittel.
Äußere Morphologie, Entwicklungsgeschichte, Cytologie, die Pflanzengeographie,
der Einfluß der Umgebung auf die Pflanzen, was ich mit dem Namen Biäometanior-
morphose belegt habe, das Studium von Saisondimorphismiis, von willkürlichen Entwick-
Inngsänderiingen, von fluktuierender Varietabilität, Erblichkeitslehre, Hybridisierung,
Mutation, Paläontologie usw. sind gleichberechtige Hilfsmittel der Systematik. Ich brauche
nur Namen wie L i n n a e u s , L am a r c k , H o f m e i s t e r , D a r w in , G o e b e l , E n g l e r , W e t t s
t e i n , K l e b s , Ga l t o n , P e a r s o n , B a t e s o n , d e V r i e s , M e n d e l , Co r r e n s und
T s c h e r m a c k , S o l m s , Z e i l l e r und S c o t t zu nennen, um Ihnen durch die Namen
einiger Führer die Vielseitigkeit systematischer Hilfstruppen ins Gedächtnis zu rufen,
lind wenn ich weitere Namen nicht nenne, so ist damit keinerlei Verkennung anderer
Disziplinen oder Forscher gemeint, ich nannte nur Beispiele.
Nur wenn sich die Systematik der Vielseitigkeit ihrer Aufgabe stets bewußt
bleibt, nur wenn sie sich ihrer sämtlicher Hilfstruppen fortwährend bedient, kann
die stolze Devise zur Wahrheit werden; Im System gipfelt die Wissenschaft.
Al
2. Un institut botanique sous les tropiques.
Par B. P. G. Hochreutiner, Dr. Pr., Délégué du Jardin botanique de Buitenzorg, Java.
Introduction.
MM.
Je viens de passer un an et demi à Buitenzorg dans la partie ouest de
Java, et j ’en ai tiré si grand profit au point de vue scientifique, que je voudrais engager
tous les botanistes à en faire autant. Sans être fonctionnaire hollandais, comme ce
fut le cas pour moi, ils recevront néanmoins une large hospitalité.
Pour vous convaincre, je crois qu’il me suffira de décrire cet institut modèle et de
montrer les facilités qu’il offre aux savants étrangers. J ’ajouterai cependant quelques
détails au sujet de cette merveilleuse île, le berceau du genre humain, sinon le paradis
du monde, comme l’ont baptisée les Indous') qui la colonisèrent et la civilisèrent
longtemps avant sa découverte par les Européens.
Partie I. Historique.
Quelques mots d’histoire feront comprendre le développement de l’institution.
Buitenzorg se trouve dans l’intérieur des terres à GO km. au sud de Batavia
au pied du volcan le Salak. C’est une petite ville, habitée par un grand nombre
d’indigènes et par environ 1200 Européens.
En 181C l’Angleterre venait de remettre Java entre les mains des Hollandais
et le gouvernement des Pays-Bas jugea bon d’y envoyer une commission, composée en
majeure partie de savants, pour y étudier les voies et moyens à employer pour développer
ragriciilture et ouvrir cette nature tropicale aux recherches scientifiques.
R e in w a r d t fut du nombre. Il présida même la dite commission et l’un de
ses premiers actes fut de proposer rétablissement d’un jardin botanique.
Ainsi fut fait, et en 1817 le Ho r tu s bog or i ens i s fut fondé à Buitenzorg
à côté du palais du gouverneur, vice-roi des Indes. Il fut donc à l’origine un établissement
scientifique et non un parc de plaisance comme on l’a dit à tort quelquefois.
Un mot d’explication au sujet de cette appellation de „bogoriensis“ qui est
une énigme pour les étrangers. Bogoriensis ne dérive pas de Buitenzorg qui est un
mot hollandais signifiant Sans Souci, mais bien de Bogor, nom malais, ou plutôt
soundanais, désignant la ville de Buitenzorg. On en a dérivé par latinisation le nom
de Bogoria et l’adjectif bogoriensis.
Je disais donc que le jardin de Buitenzorg fut fondé par R e in w a r d t ; mais,
au bout de peu de temps, cet homme qui avait à veiller à tout ce qui concerne
l’agriculture aux Indes ne put suivre les plantations d’assez près et un jeune botaniste
hollandais fut appelé pour s’en occuper spécialement. Ce fut B l u m e qui remplit
ce poste pendant 4 ans seulement et repartit ensuite pour la Hollande.
1) La partie centrale de Java, où se trouve la capitale, porte encore le nom de Kedou, le paradis.