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 rousses  du  premier  âge  mêlées  parmi  celles  
 de  Page  faiti  et  le  plus  Souvent,  la  
 queue  est  terminée  de  blanc :  dans  cet  
 état  ou  reconnaît  facile  la prétendue 
 espèce  du  Tetfao  urogaîlus  parpüs  des  
 méthodistes.  Dans  la  première  année  les  
 sexes  n’offrent  que  peu  de  différences  dans  
 leur  livrée;  les  jeune?  mâles  ressemblent  
 alors  aux  femelles. 
 La  femelle  d’un  tiers  plus  petite  que  
 le  mâle  n’excède  jamais  deux  pieds  d.ans  
 sa  longueur  totale ;  la  membrane  stifciliaire  
 est  moins  grande,  et  sa  couleur  est  plus  
 livide ;  les  plumes  qui  forment  la  barbe 
 sont  aussi  moins  longues:  lâ  tête  est 
 rayée  de  roux  et  de  noir,  les'  plûmes  du  
 cou,  ont  des  taches  noires  arôfidiés‘  sur  un  
 fond  dyun roux-jaunâtre  ;  toutes  lés  plumes  
 de  ces  parties sont  terminées  de  cendré: 
   le  dos,  les  scapulaires,  les  Couvertures  
 des  ailes  et  cellétf  de  la  qüeué  ,  
 sont  d’un  brun  noirâtre  âvéC  desf  rayes  
 transversales  rousscS,  quî  sont  plu's  ou  
 moins  larges,  et  souvent  marquées  dé 
 noirâtre;  la  gorge  est  d'un  roux - jaunâtre ;  
 la  poitrine  est  d’un  roux  foncé  ou  rougeâtre, 
   et  quelquefois  variée  de  tâches  plus  
 rembrunies  ;  le  ventre  coloré  du  même  
 roux  que  la  poitrine,  a des  rayes  transversales  
 noires,  et  quelques  plumes  sont  
 terminées  de  blahc  ;  les.  couvertures  infé-  
 rièures  de  la  queue  ont  une  grande  tache  
 blanche  à  leur  extrémité ;  les  pennes  de 
 la  queue  sur  un  fond  roux-brun  ont  des  
 taches  et  des  rayes  intérompues  noires ;  
 il  y  a  vers  leur  extrémité  une  bande  
 transversale  noire  et  toutes  sont  terminées  
 de  blanc  :  les  rémiges  sont  d’un  brunnoirâtre  
 avec  des  tachés  sur  leurs  barbes  
 extérieures;  le  bec  est  noirâtre. 
 L’époque  des  amours  commence  pour  ces  
 oiseaux  dans  le  mois  de  mars ou  d’avril, 
 quelquefois  p lu s - tô t,  d’autrefois  plus  tard,  
 suivant,  que  la  neige  couvre  plus  ou  
 moins  longtems  les  montagnes  qu’ils  habitent; 
   ce  tenis  destiné  à  l’acte de  la  reproduction  
 dure  ordinairement  jusqu’à  ce  
 que  les  . bourgeons  des1  hêtres  commencent  
 k  s’épanouir  ;-  le  vieux  mâle  aime  à  re