
neuf lignes; sa queue quatre pouces; son
tarse un pouce six lignes, et le milieu des
trois doigts antérieurs, conjointement avec
l'ongle, un pouce emq lignes. La tête, e
cou, le dos, le croupion, les couvertures du
dessus de la queue, les petites du-dessus
des ailes, la poitrine, le ventre et les
côtés sont rayés transversalement de roux
et de noirâtre; la gorge est presque
entièrement rousse; les jambes et les
couvertures du-dessous de Ta queue sont
rayés transversalement de brun, de gris
et de roussâtre ; les rémiges . et les
grandes couvertures des ailes sont brunes;
les moyennes sont de la même couleur et
variées de rousSâtre du côté extérieur et
à leur bout; la queue est composée de
seize pennes (a), les huit du milieu sont
de la mime couleur que le dos, et les
CÓ J’ aî déjà remarqué, que suivant Retsz, li
queue »eroit composée de quatorze pennes; y
aurait-il erreur dans cette énumération de la part
à» Brisson, et ce dernier aurait-il compris les
graades couvertures au noiabre des penne»?
D E S T E T R A S , . asf
quatre extérieures de. chaque côté sont
noires; le bec est noirâtre; les pieds
sont garnis jusqu’à /orogine des doigts,
dans la partie antérieure seulement, de
plumes d’un gris blanc; les doigts couverts
d’écailles sont d’un gris-brun, de même
que les orgies.
La description que je viens de tracer,
à été prise par Brisson d'après un
individu, portant sa. livrée complette d’é té ,
tel qu’il se trouvoît dépose dans le
cabinet de Réaumur. La livrée d’hiver
est blanche, et les quatre plumes latérales
de chaque côté de la queue, sont
noires.
Voici ce que me marque Mr. Meyer
d’Offenbach. Le bec est noir, courbé,
un peu comprimé et conique ; la mandibule
supérieure obtus; les pieds couverts de
plumes jnsqu’à l’origine des doigts ceux - ci
nuds, couverts d’écailles grises; les ongles
assez droits point taillés en pioches,
mais de forme triangulaire, obtus vers la
pointe; les narines couvertes de plumes
rentes ; les yeux placés assez hauts, l'iris
P S