
tains rapports, et par ce caractère assez
particulier de la huppe frontale propre aux
mâles; les indications de Barrère et de l’abbé
Rozier appartiennent à l’espèce suivante;
je présume aussi que Brisson les a confondus
dans sa description de la caille huppée du
Mexique ,* mais la figure qu’il en donne f
de même que celle des planches enluminées
de Buffon ont rapport à cette espe'ce.
Le Zonécolin habite au Mexique et probablement
aussi dans quelques parties de l’Amé-
rique méridionale. Il est' de mon cabinet.
C O L I N S O N N I N I.
Perdix ‘Sonnini. MïhU
J e conserve à ce Colin, qui n’a été désigné
dans aucune méthode, et seulement d’une
manière peu satisfaisante par les voyageurs,
le nom du naturaliste, qui le premier nous
a donné sur l’histoire de cet oiseau des
renseignemens plus positifs. M. Virey le
décrit dans la nouvelle édition des oeuvres
de BufFon (ù); avant lui l’abbé Rozier l’avait
indiqué, dans le Journal de physique de
l’année 1772, Tom. 2, part, ire > page
et fignré planche 2 ; Barrère et Laborde
en font aussi mention; mais ces indications
ont été confondues avec les descriptions,
également très succinctes, de l'espèce précédente.
Ce colin qui habite des climats, où la
température ne se refroidit jamais à tel
point, que les substances végétales languis-
0 0 Buffon, édit, de Sorm, y. 7. p. 133.