
alors, les plumes de la huppe et celles la tête
sont comme dans cet oiseau primitif; le cou
la poitrine et une partie du dos sont d'un
beau noir; la queue l’ est en tout ou en
partie et tout le plumage des parties supérieures,
est plus ou moins fonce' ou
noirâtre ; un pareil oiseau est figuré dans
la planche 12.5. de Buffon. Les rayes et
les taches varient encore à l’infine suivant
l’age des individus.
Plusieurs individus différamment variés, font
partie du cabinet de M. Raye et du mien.
J’ai fait parvenir au muséum de Paris un
coxolitli de race pure, conservant encore
du jeun âge , les bandes transversales svir
la queue,; et un autre , le produit du
mituporanga et du coxilitli.
, . ' *"Mr 1 ~~ .
HQCCO MITUPORANGA.
CraX alector. Latfo.
L E Hocco le plus s o u v e n t apporte' vi-
vaut en Europe, dont les dépouilles nous
parviennent en plus grand nombre, que de
celles des autres espèces décrites, semble
avoir paru aux yeux de ceux, qui n’ont
vonlu reconnoître qu’une seule espèce de
ces oiseaux, comme le type de ces variétés
énumérées par les naturalistes. Quelques
auteurs (a) , ont même cru voir dans
ces variétés, celles du mâle et celles de
la femelle; comme tel, le Pauxi mitu a
figuré jusqu'ici dans la liste de variétés
du mâle, et le Hocco coxolitli a été
considéré comme une variété, dans la femelle
de nôtre mituporanga.
Le Hocco de cet article est une troisième
espèce constante, plusieurs individus
jOO hittham et les auteurs PEucyclepédie*