8d^ fiATKAClENS ANOUKES
™ yt s r r,'""" vers la po.nte du
a o n l ; le n>éme. La contract.
on aes muscîes extenseurs s'opérera Mnxultanément •
- u s verrons la large patte du Batraceu, d ût î ^
'lo'Sls sont le plus souvent réunis par une ™e n Z ne
„ e r une trés-grandc surfaee'.u, s'appu.ra
eau et y t^uvera une résistance telle, que l'excès de
J.' .o,ce produ.te sera reportée sur ics têtes des fémurs •
ma.s ceux-e. sont are-l.outés sur la >i,ue médiane J
t.iss n lequel est alors étendu ou porté en arrière
- . " e l e m e n t à l'éclnne.et. par conséquent . "o"
iellortprodu,t par ees membres se trouvera tr nsml
au sacrum et de là à tout le tronc.
On voit que le nager de la Grenouille se réduit à
une s . ae sauts hor.ontaux . le corps étant s out l !
P^r le,u, transport qui se trouve iaclité par la
orme generale du corps dont les pattes antérlur
sa rephent ou viennent s'appliquer contre le tronc
pour^ne po,nt ollHr trop de résistance au „qL":
3 ° DE L'ACTION DE MAECHEE.
La progression s'exécute diversement chez les différentes
espeees. Chez celles qui ont les pattes post -
neures beaucoup plus longues que les JténeJesZ
C est chez le plus grand nombre. la marche est lent e
pénible, parce que l'animal doit trainer après lui des
membres al ongés et pesants, qui lui sont d'ailleurs
utiles dans la double action de sauter et de nager. Chez
es autres, comme dans la plupart des Crapauds et chez
les Pipas, les membres de derrière gênent moins a
progression. Ces espèces, qui sont n général n i
a-
OUUAiNtS DU WOUVE.MKNT. OU MAUCUEIÎ. 89
turnes , marclient avec beaucoup plus de rapidité qu'on
ne pourrait le croire quand ou les voit dans le jour. Il
est vrai c|u ils font de petits sauts à l'aide desquels ils
peuvent courir avec assez de rapidité pour saisir leur
proie ou pour échapper aux dangers. D'ailleurs, la
nature a fourni à plusieurs des moyens de grimper , de
s'accrocher ou d'adhérer aux corps solides , de manière
à se soutenir momentanément contre leur propre poids
pour s'élever à des hauteurs assez considérables , même
sur des plans verticaux et sur des surfaces quelquefois
très-lisses, comme le verre ou le marbre poli. '
Nous avons déjci dit cjue la plupart des Anoures
n'ont généralement que quatre doigts aux pattes antérieures
: le plus souvent ces doigts sont informes,
trapus, inégaux en longueur et enveloppés d'une peau
plus ou moins lâche crui ne laisse de libre que leur
dernière extrémité. Cependant ces bouts des doigts se
terminent devant comme derrière, par des parties plus
ou moins élargies ou épatées, garnies en dessous de tubercules
et de papilles destinées à faciliter la progression
ou la station momentanée; quelques espèces ont
même cette portion qui devrait porter l'ongle, garnie
de tubercules cornés, comme onle voit dans le Crapaud
Calamité , ou de petits étuis , comme dans les Dactylèthres.
C'est surtout dans les Rainettes qu'on trouve développée
à un haut degré , cette faculté de marcher, de
grimper et de se suspendre en sens inverse ou le
ventre en haut, sous la face inférieure des feuilles
même les plus lisses, sans faire en apparence le moindre
effort. L'examen de la forme et de la structure de leurs
doigts explique cette particularité, qui est encore plus
remarquable que chez les Geckos. En général, ces
m
!