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crj pies dans so,> cpaisscnr. <;o,nrac celle des Caméléons, clmieu^
encore de e c « a , „ c s i i a i e s , Ielle que la Sephen, par exemple el e
est couverte de grains solides excessivement fins, au milieu d
quels soni epars de petits tubercules coniques d ; nature c L n I e
ou squammeuse ce, tubercules, en grand nombre et de
moyenne grosseur sur le dos , sont plus rares et plus ¿ r t s sm
es membres et au contraire plus petits et plus L u ^ l 2
a reg,on abdommale. Ordinairement on en remarque s L " 1
DIMENSIONS. TEV.. Long. 4 - 3 ' " . Long, XO" Memir
anter. Long. 8" 8"'. Memhr. portér. Long. ,5" 5"t ' "
PATRIE. Le Pipa habite les marais , dans les bois 1 r
e t d „B. . s i l e. probableinenUans toJte 1 ^ ^ ¡ l î ^ î ^ S r
Observations. Le Pipa curururu de Spix n'esi n«« ,
vidu trop bottrré ou mal I p ^ ^
BATRACIENS ANOURES. m
SUB QUELQUES DÉBRIS FOSSILES DE KATRACIENS ANOURES
OU SQUELETTES DE GRENOUILLES PÉTRI F IÉS .
On ne connaît encore que trois exemples d'espèces
fossiles provenant de cet ordre de Batraciens, ou
plutôt de cette famille de Reptiles. Ils ont été observés
sur des plaques de schistes marneux qui avaient été
extraits de la carrière d'OEningen située sur la rive
droite du Rhin, un peu avant la ville de Stein, dans
le grand-duché de Bade.
C'est ce même gisement qui a procuré à l'Allemagne
un si grand nombre de Poissons fossiles, qui tous
paraissent avoir appartenu à des espèces qui vivaient
dans les eaux douces ou dans les lacs non salés, ainsi
que les restes de la Salamandre gigantesque décrits
d'abord par Scheuzer et que nous ferons connaître
par la suite en terminant l'histoire des Batraciens
Urodèles.
Le premier naturaliste qui a reconnu des débris de
Grenouille parmi les aLitres fossiles tirés de cette carrière
intéressante , est M.'d'ANDRÉ qui, en 1763, en fit
mention dans ses lettres sur la Suisse (1), en les considérant
comme provenant d'une sorte de Crapaud ;
mais ce même morceau fut mieux analysé par M. le
comte de RAZOUMOVS^SKI dans le troisième volume des
Mémoires de l'Académie de Lausanne en 1788. Puis
il fut de nouveau décrit et représenté dans le tome XV
des Nouveaux Actes des curieux de la nature , par
M. GOLDFUSS, avec les os d'un Têtard d'Anoure pl. XII,
/%. 1, 5 et 6. G. CuviER et M. T S CHU D I on fait encore
( i ) Br i e f e aus d e r S chwe i z na ch, Han n o v e r Ge s chr i eben t a b . i 5 ,
fig. 6 .