
Protéacée, et qu’il estëdésigné dans son Prodrome “de la.Elore
du Cap, sous dé nom «de ^ÈéVê^&ÈetMr-én ^ lafedhns4$cëm<me
je m’en sîiis assuré par sénSfpropre
M. Delessert $ et il ne fallait rien yoins pour sé douter^’une
pareille erreur.
Si on compare les aveê4fëàé^^r^0/^p^'p]%'les
distingue’ rf^par les ' lobfes-de leur êklide&pèu souquant, prolongés
enépine à l’extrémité $ ^ ^ ip ^ d eu rlè é ^M ^ lllS fe e t
n in Velue ; d|S. par leurs -'étamines diadielphes e (^®i4>mona-
delph.es » . par leurs gôUSsfes rempli^^’uojimoiAdre «nombre
d e ’grmtfé's ^ peut..ajouter à téâsiÿ^ÿfé^i|hsf la Structure
des feuilles qiïi sont muntesià leur-base d’m ^ |^ u le îneryure
dans les PriesMëy&j de plusieurs dàps lM|S^r®^f^(Maer-
nier caractère £rësfe commun à tou.;§bs?;l'ejp ëspèe'es^é’îBj?^^-
T^zU^sans exception j maintenait- que ’l|||a ^ é^ ;d é ta illé d#i
espèces en a exclu to’ute^lês^espèee^a-nomales ; pour,; former
les genres Brïçè-tâ^kfiigt rWaM&M^
Le genre Prièstlëya se compose^ de- ‘deux ygetionsateUernent
âîitikcfes par le 'duureste^e^leur
sfi^^ÉtfëTie s’y^épposoit pas^on-pourroit eû'faire[jdeùx
genres. La préhiièresè caractérise parce*q>ué-la base duK^alice
est-répoussée^êrfdedans à peu près comme lç|fo^â d’une bouteille
; la deuxième parce que le^cal^cè'est aminci à«la;|>âse à *
la manière ordinaire. '
Je d.onne au premier groupe \ comme nom d§ion, le
nom d’jÉiséthed pour rappeler son caractèfeeû Elle com-
\vj Ultra ôta IritnuWT
preud'‘-tuo|S'>esplcess?déjà connues, savoir : le myMifolia, le
domLjie joins ici la figilgr», pl; l i P # Ie hirsteta,
d 'o n r td ^ ^ t e&I& figure à la pl. «8 d r f e S i w É ,-sous
Bain fvMÀ^iLvnuiWa hifiswt‘<æs f
La deuxièmesec^of|^lr<eçu', par opposition, le nom
jfeMsîS^lÉS^flettë' section ‘Comprend’, parmi leècfcspèces con-
et -(Éoôillaïfi's^ que Lamarck avoit con-
fonduslWeç l&Bo^è'<9^idÿilés B? tà lto sa , gràminifoUa et
fm ÊZtA. , que Linné1 àvoit placés dans sei* Mpc^üt anomalès ;
le îP^fà^i^^^’^ ^ q -u ’il aVoit mis parmi les MfàPbonMtj le
f q u i - esf’le* M pafim 'càpitata-de Thunberg , et
I deux espltps'i nouvellfe^sfdént^je'- donnerai ci-après les earac-
fl^es^e^crois ehfontre que WsvLipariti ïêeta ., g ram in ifo ïia ,
^éMë^t§mbmom e ilumb'eüifera de.Thunberg appartiehnent
^û-genré Pmiesti^dÿ-macLS l ’extrême brièveté de cet auteur
pfepermet Ipâsfde' démêler dans ses descrip tions ni les caractères
« du genre, ni éeîÉè? de la «section à laquelle ils doivent
gpmlassër. -îj^présume qu’il faut les placer dans lés A neiso-
t ^ r ^ mais jeJn-lém a i aucune preuve, sinon la probabilité
qu’un; caractère aussi marquant qué celui du calice intrus
n’aurait pas été passé sous silence.
, LesJ&’zSetfAm ressemblent davantage aux espèces du vrai
genre Lipcurid, et \es-Aneisothed aux Borbonid par la forme
de laÿbaéfe de lepicaliee.
Le genre P rie stîé jd , se trouve donc composé de dix espèces
certaines, et de cinq encore douteuses. Toutes sont
originaires du Cap de Bonne-Espérance; :: ce sont de petits
séus*arbrisseaux à rameaux grêles, cylindriques ou un peu
anguleuxleurs feuilles sont simples , parfaitement entières,
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