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> |H mnfbndu&MPec lu i. I
1« Le; genre Pterocarpws> a primitivement été indiqué sans
pom par Loeflingf-pms adopté par- Lindé^et-Jacquin d’après;
le seul Dr&co. Linné fris y joignit deux- antres espèces-
dans le supplément. Dès lors le nombre des inspectes de.Æé
genre , dues aux-recherches actives desf voyagenrsl modernes,'
s’est élevé à .sept espèces dans' l ’ouvrage de Willdenow.yà
unie dans, celui de Persoon , et m trouveiaujourd’hui porté à
trente-quatre^, si d’on .y réunit traites les espèces qui appar-
tiendroient.au genre tel que Linné l’avait étaibli. Une- aussi
grande augmentation n’â pu avoir lieüïsansxnodidëï les! idées
qu’on sétoit faites du caractère générique.
Le nom même donné à ce genre aussi bien que le caractère!
explicite supposoit que les espèces qui le composent dut -le*
fruit ailé, et Linné y avoit réunissons le nom de; P. luhatus3
une espèce à fruit entièrement dépourvu d’aile marginale.
M. de Jussieu avoit depuis long-temps eétte plante dans, son
berbier sous le nom d’0 rMmrzÆ que Clusius^ qui en a parlé
le premier, lui avoit donné : M. Richard l ’avoit désignée dans
le sien sous le nom A.ë JSephrosù. Mais ces deux noms étant
inédits, M. Meyer, qui l ’a séparé comme genre et bien décrit
sous le nom de Drepanoearpus, doit être suivi. M.Kunth
l’a adopté en décrivant une seconde espèce encore un peu douteuse
, le D . duMuSi
Je trouve, parmi les dessins de la Flore du Mexique, une
plante désignée sous le nom de Pterocqrpus pyathiformis- y
qui diffère rdjiS vrai Ptev.ocp,vpuêparce qu’elle a aus,sif le fruitj
dfé^odrvu da ifei.Maiselene peut igu€^|ê1>r.e,réunie au çpBfiir,
âéMfeyd&par sW‘ étamiîîesïtriadelph^^Qq. monadelphes
et'par son fruit orbieuiafr^tip^éjlJ e n ^ J i j t o A ^ 11-
cave-tietfqeiîte, la rp^s2ir®ment £oasi|e nom d%
3rëp:ûinooarp,us |p
Déjà'depuis long-temps- ont avoit
de-Lîàdé-:*1 H j| '•tf-1 *'<vvî1 ^ m fP P r 1 *
x°. L e g é n r é ^ f c t è ^ ^ i^ ^ r em a r q u a b le par. &éà,;%iit|
orbiculairës’, -|âr*s^>êtémines^feriadelpt-esîâ,i p^r^cta .calice ai
’eVquant aup©tt;>par,ses feuilles’MoliolesItantat
• M i t à t f f e u bouL'duî-péllolè, tantàé4 t o n fS # }
LégerW ^y^erin ïh u rA i dontdesféfâmftnes sont monat
delphèsyle fruit bivalve, et-les<.feuilles simplé^ouiplutôt à
***#*•{, i-llètgèdFétP/y« , qui par sOn'fruit à deux articlWâp-.
,Mfeë^ïodt4 -fait dès Hédysar:des:èH;
>^Si l ’on addpte4oûtës;!©y divisions qui me paroissëntftrès^
naturelles et forïdfe%s/sur dêâéêa®ætèr-es impartant, le g en ê t1
Pterocarpus re^éfrèduit aüâsrtîspèées dont le fruit est perdant
bleniént bordé d’une aile plus ou moins complète: L e c a lk e y l
esta cinq dents; la coroMepapiliôUacée;ylefruità;uné%deu^
ou trois graines, indéhiscent*, plus ou rpoins#B®guli^'^esî
arbres Sontsads épinesx<,4 sfeuilles^aile‘es avec, impaire.-4
i (*ê genre, airisi tirconsêrit1, comprend cinq gioupès si pro*>
noucés que j,e n’ai aucun* doute qu’on doit les considérer»;
comme cinq genres distincts. Mais la plupart dès espèces sopt,.
encore si imparfaitement connues-, surtout quant à la con -
cordancé deséaraotères- du fruit et de la fleur , que je è»i&