
à peine soudes se séparent facilement l ’un* de l’autre j 3yï à sa
gousse plane, polysperme, dépouiràne fdei glandes: ' |
Ce genre, ainsi réduit, correspond»®?:, : au: tcara^êrè^ que?
Tournefort a assigné* au Genista-dans sa planche 4 1 r ? niais
en excluant toutes les autres espèces du (e4Cc^^V. au caijac-
tère que Linné donne à/son <Spar;tibtni fUMhj nMMiife.». mais
en excluant toutes les autre si^pëéefs fim aux genre«» Genista
d’Adanson okSpartianthuside. L ink.||sàùs»modifimfcions.
§: 9. Lhif g&nre ,GE1XJS®A-ï^
, Les« opinions- dés naturafistes-ont- beaucoup variésur les
vrais caraetères etdes limites^du''gs&nrè-i@^z‘#ftzt^q®tout en»
le comparant âu >genre- ^^^^^'tm®uèfort les i^o'nsPdiétent
surtout d’après le port, et mettant eu-première ligiüe le«car'ac-
tère des feuilles simples ou àtrois folioles | en .avait forméjSjfêE*
genres, dont quatre à feuilles simples,IsaŸoiï^éii^ésM^ Spar-
titan-J Genista-spartium, et Genistetta- unafeuillestérâe’ês^
savoir, Gpttsus^ e t Un à feùillesitàn0 t4fciplêij, tàntitetér^-
nées, qu’il nommoit pouvoit
être adn&se, soit pàicéë qu’elle ne .éêposoits suri^attfeun
caractère de la fructification, et qu’elle n’étoit même-que
foiblement d’accord avec le port-
Linné réduisit cès genres à trois : Gemstakp^partium- et
Çytisùs. Sous le nom de G&histcùj il comprit \e$-Spartiiim,
les G enistëlla de Tournefort et une partie à.os,Gerdstct et
Genista-Spartium du mente auteur 5- le reste I de ois« deux
genres, et une partie des' Gytüus de Tournefort'forma son «
genre Spàrtiùm* Il distingua celui-ci (caractère qui n’est
vrai que pour sqp*Sp. junf?m*m) du (^ p ista par son calice
membraneux , déjeté de côté, en un, limbe à cinq petites
d è # ^ e t par sa carène à deftx pétales distincts. Quant aux
^ t i s ç ï , il leur ^socîa'let?hjnnus, et établit, probablement
d’après ce tfi^ p è e e , qu’ilsiavoient tous les étamines diàdelpbéfeC6^
tT«! n’étoit vrai que pour i^e^sèule espèce.
MM.*dê Lamarck et de Jussieu réunirent les genres G e -
nisêd'et Smartizwi'âè Linné en un seul genre, qu’ils carac-
térisèrent par. sa carèue étroite et qui ne renferme pas complètement
les organes sexuels, et laissèrent intact le genre
? ^ â ^ f i i s t î n ^ .au Genêt par sa carène, assez large pour
renfermer les étamiues.
; > J’ai iÉopfé cette classification dans la Flore française, et
j ’ai ensuite retiré des Cytises M Tes Cajans, qui ont les étamines
diadelphes ; | | les Adenocarpes, qui ont les calices et
|es fruits glanduleux.
;4 #ès Jbrs les auteurs de là Flore de Wettéravie etM. Lmk.
ont cherché à diviser ces groupes eu plusieurs genres :
et-en e ffet, lorsqu’on n’examine que les- espèces européennes,
on est tenté de suivre en entier la marche pwn
posée p ar le s auteurs. J’avois été" séduit par son accord avec
l ’apparence générale des plantes les plus communes ; mais des
que j ’ai voulu l ’étendre à la totalité du genre, j ’ai vu qu’il
étoit impossible d e là suivre complètement: c’est ce dont on
se convaincra facilement,qe pense, en examinant les carac
tères des divers genres proposés pour séparer les espèces que
Lamarck réunit sous le nom de Genista.
1°. Le genre Spai'tium de Tournefort, de Moench et de
Lin k, caractérisé par une gousse à une ou deux graines r