
mordiales » probablement fermée par la-souilurë des deux stipules
desdeux feuilles}- #w-enfin, que tes feuilles suivante^
sont alternes et ailées à trois folioles ^(Voy. 6g; |||||Hj
iii% J)olichps Itgtm&Ms: et d’autres- espèces du meme gétite
dont j ’ai observe la gerntination, \g XJ&rtèMàliu ôbtù^èMÉ^
et le Mumma Mre«^ressemb]ent absolument, â ëéîtë-époque
de leur vie, aux vrais Haricots , e tn ’ëRidifïerent quë pâr des
nuances spécifiques. Dans le JD. li’gKêsu's | lès -é'dtylédons ,
quoique hors de terre , restent long-temps enfei’més dans le
spermoderme (fig. |«|h H
Les Cajans ont des cotylédons épais, charnus, blantdiatres jj
eqjjnme les Haricots, situés à fleur jÉe\ terre’OU ite'jpfeto àu5 des-'
spu^-aq collet- de la plante., enfermés dans te spertoodéfmë,
éehancrés à leur base et munis d’un.teèSvcOurt pétiole, La* tige
s’élèye droite et porté deux feuilles p-imordiàtes opposéés,
qvajéf; *fu, lancéolées,, portées sur de très-courts pétiolesf^î;
nullement éoha-nërés à leur base.iLes feuilles snivanté^gftt
alternes^ à deux ou- trois folioles, quelquefois luème simples
(pl. 18, fig. 91, ijpii J ’ai lobsérvé deux ëspèc&s'â'ÆgyikHna;
savoir-, l ’ TJJ .XJforaüodertdrong tune autrequ-e jes'oupconne être
le Cris^a.galli. Elles dut la tige; allongée, cylindrique, sanà
poilsni'épines au-dessous des-cotylédons, qui sont aittsi élèves;
eomipe dans lés Haricots
sont ovales , obtus , ttjès-épais et sans-^matëS. La tige se
prolonge .au - ctessas deux et porte d’abord dès aiguillons
épars. Les .feuilles primordiales siMt OppoSééSy pétibîéeS ,
échancrées en coeur, un peu pointues au sommét ÿëéjà mutties
de quelques - ai;gnj|lons sur le pétiole ou lés éérvtirês. On
observe deux stipules étroites à la base du pétiolep et dfeàix
tubercules glanduleux remplacent les stipules à la base. Les f
feuilles suivantes son t encore quelquefois opposées et simples,
quelquefois alterneSh'éfVà, teèis foliote#'X^pl- ;;i8yfig. 9.L).
hitpiàÇ' soq| trés-s®éconnoissabte& a^^uus^’de leurs èoty-
lédll'ï^îlqui, quoique verts ^Kfolî'âcés^P^p^épâis, presque
charrié, iÜi lpéb^^lti(al^^s®^^t''Lég^teriïent riu^bij naé-‘
'gdnx'f’leurss'feuilïës'primordialu^^Ê^dM^Mbsées à peu d$H.
distancé 'dëMfo^lçddn^^T^K^dépB comfd^l^^pMHes ’ ordinaires
Un lêîfg' pétiole im ni aFs|r €)b§e dp deuxütîpums adhérentes
et‘teriuîné par'cinq fb'liolllh^Ctes^ CQip.-
munsfp 11 //\f/frJlms /dont j^ppùneva figurêTpl. j8.
fig^hj^i^e'f aux /$. ‘faniu sT-ffyVr sûluf/La' seule vqe de la.ger-
* minâtion dît qu’il n appar uent
pa-y aWè^eiîre. Les.bw 'iÿk peuvènUietilgf placés -auprès, des
dans lè^PMbëplées : lehy germination les rap-
procbef'd^vanW^ê tlë'ee®iâernîèrfesV ^
La^pliyëMu glferé'^b f^ soÊM’^lelques difficultés và résoudre
•®Sj^cbnsidêfC ^MnnliïFês àfièé^lans "impaire^ son
pétiole terminé en soie, je suis disposé à le placer parmi les/
YiBiées} mçus .sa' figé ^gupilgé et grimpante l^es'kousSeSi et'ses
graines Semblables jï eèl’lés des Glytÿh’tSL et enfin sa germina-
'tipn,le rapprpéfieS|fdayajdtage»dësPbàs|bléM^éM;,Qty]édons
sotft.épais, charnus], àjn^^e yerdâfres J^ t ^èxeswi dessous,
oblongs, obtus, et sortent déferré [et borlfau spermoderme
comme danS lèsH^rtem^^è^ettilles primor dialesissiprit mufaiies
de deux petites stipules àifeeSjSaiis impaire, à pétiojë termine ên
soie courte et à six paires de folioles. Malheureusement j ’ai
Oublié dé biter dans ma' deicriptloif 'si Ils 'feüilles sont alternes
ou ^opposées, ët' cette liïico{istànceS;enle m’êmpêçhe