
sections ont, des, ra}apprt£ass£z prononcés ,çet il est, à, désirer
que l’e'tticïe deJeursj dans
la série des Papilionacées* .
3°. Les étamines sop,f libres'dans le genre Adesmia- comme,
dans les, Snphorées; mais son port et 1^, structure de son fruit
articulé sont tellement semblables-aux lÆ^o^iinomGneip.que
j ’ai, cru i ^ l ’exemple de M. Bronn, devoir sacrifier le caractère
déduit de là non-adhérence des,.étamiàes.>,'et laisser. ce'
genre parmi les Hédy sarées>,;jt,
3VsLn-genre jffîiiçbelia a une gosussn à deux^og^s ^sëpjrées
par une cloison longitudinale due^iu, repli des vajxesp: ce
caractère est analogue à la slruclure-du fruit d.e-> \slragalcs;
mais ses étamines sont libres, ,®K§0&> portj^stiî.elleirient semblable
à toutes les Sophoréës,de la.^oà^ïïé-Hollande, que
j ’ai dfi sacrifier ici le caractère du fruit, et conserver4e genre
dans les Sdphorées. '
c Le n ’ai fait auèüne modification notable da^M^s|ïe tribu
dont les genres ont été, dans cés dernièçésPannëes, très-m^n
étudiés par MM. Smith et B,. Brown. Efries passân-tefrrevue,**
j ’indiquerai rapidement le peu de changement 'que j ’gé^cru'
devoir yàppÔrtêr, / “
i». Mtros^ mcP ^ v,
Linné ,tet, à son exemple, la plupart des auteurs ofrt admis
ici trois genres distincts, savoir : My^dsperinizin, DAhfo'xf-
lum et Toîuifera.hiiM.. Achille Richard et Runtlront prouvé,
il y a quelques mois, que les deux derniers ri’en forment qu’un
seul, et que même les deux arbres sur Iesquèls ilis étoient
établis diffèrent três-péu l’un de l’autre comme espèces :
reste donc deux groupes seulement à' comparer. Ges deux
groupes ne diffèrent entre eux que par ce seul point, que dans
le fMyrbspèrrnumf,lez-filaMëns'des étamines sont pérsistans,
, m qu’ils tombent dans le M fréxylum : mais ils se ressemblent
d'ailleurs complètement, et erf* particulier par la singulière
structure de leurffrttit qui a un long pédiceRe épanoui en
aile foliacé®feetnndhibraneùse ,’ et est lui-méme Une^samare
indéMSéente membraneuse à u n e ïq g ^ à dixmeùf gr^nes,=et
allant la loge rèmplié’d’utc sue>* aromatiques.?/et de nàturé bal-
sàttiïqiië. Outre cette orgamsatiohstrèà-particulièréjils se’res-
sèmblen^paroe que -leurs-ffoliôles^ont marquées dé peints
gfendul#feet'trénsparens;, *ët; que ces feuilles sont dans les
mêmes individus tantôt derftnn^és par une^ foliole impaire ,
tantôt abruptement* ailétes , de manière que leur vraie nature
ett difficile k fixerai’ai-eru me conforpiier;daya;^tage;à l’esprit
géîiérâLde la ckssifibatidnren- les considérant comme deux
•Sections d’un* genée ’unique j et daüàs ce Cas le nom de JAyTO-
sp.&frmum, établi en 1763 par Jacquin, a m éritéla préférence
sur/céfci de My-tàxylon publié ën 1781 seulement par
Mfânéfiki MM. Schreber et de Lamarck avaient déjà proposé
la réunion de c%#deux genres qui me paroissent en effet
former dS simples sections: Y o v X i M f à le même
nom*comme genre-et stection,*. je reprend#celui de, Ca^usia
qufrM. Bertero donnôit au Myrdspermuwi fru teicem ^ et
MétetbliàlëSîdeux secfianî|énmme suit ;* ;
Etamine/^sistantes .C’est ici que se rapporte le
M. frtttés&m's. — Myroxylon. Etamines’tombantes. Ici se
placent le M. pemiferurn^qni comprend peut-être quelques
espèces confondues entre elles, le M . puSèscens de Kunth et
le M. Toluiferum d’À? Richard*