
4U x i i '. B H p p u i
qu’une à deux lignes.de longueur ; ellé^si munie^de dix étamines
qui&depassent peu la longueur des* petales: *«
lia plupart jd#Sjdfe4rs tombent nÙMmëdiatëttent* après la
floraison, et sur çfette multitude qurcomposent une panicüïe
il n’y* en a qilft quelques-unes qui portent iruit.:
quïûn'peut‘voir réduite à la moitié de sa grâif-'
deur, pl.)6a'ÿlestiportée sur un c-burtpéflîcellïe, plahd^gï^bre,'
ob:buse ■ auxf deux'-extrémités, longues; de neuf 'à 'dikr*pt»*ûie*ëâ
sàrlfcrois de largeur:^Âusa maturité les^ûturesir'ibstfflt^.^^
ehéeà- so/uæ forme de nervures.comme un "cadre ofe’lo'n|||f l'es
valvesil seaacoupent en travers de marrièrèjà former douze à
quinze articles séparéspar- une articulation èèetièi^ê^tEànis-1
verse j cbaque+article parallélogramique,(hrg.* Mi^tedépouilleV
de sQnlépimxpéfet offre à l ’intémMr une loge f©r®éraqfard’ eri-
docarpcisi'iil (Iig.ïÉ^v)ïl»<,bii-ciq>sfnn(uul)iaiu‘u\.,!ifaKîb«ià[iâ®l^i
lor^ u’bniftii^bire on trouve à L'inférieur unegrawij iiiWp ffiffi
ovale Comprimée. à bord calleux,? qui offre un embtydndroit
£fig. -i^), sans albumemet à radicule peu ou point visible.
„Geftmespèce est connue depuis long-temps, et jjiteêfi’in-
dique ici que pour donner un exemple d^nîdraetéréspdu^ênrë
Mim&s'a .et de la section des Habbasmv EHo Cs^ïen particulier
É remarquable par son calice divisé irrégulièrèmCnt en
plusieurs • lanières setiformes ; et si ce Caraetèré^es# commun
à tous les; 'H'àhbàsicè’fy' il motiveroit leur1 séparation' comme
genre;. La structure de son fruit a du rapport a%ec Y'Êlitoedaj
mais les- pétales-sont soudés eu une corolle d’une seule |fefeëÿ
les fleurs réunies en tête arrondie, et l ’épicarpeidès articles
deda; gousse reste adhérent à l ’endocarpe.
jMlM.QSÉES.
Ellfeler^àtla Jamaïque, à fc a -C ru x ,, Dçmerari 1 etc. On
la distingue du Afrique', seulement parce
que les pédoncules qui portent l e s ^ t e d h fléurs sont, dans
ee’lle d?Àïftdîâqtiè$Mÿla longuepf dêi^è^iiM’ekî, dans ceflc
d’Afriqueteùvirou^qÈîàtré fois plus longs. * *'
J e décri^&jâÇte;plante^d’après un échantillon en fruits, mais
dépourvund^fl^d^l^^^11^’ai^té^^pbEté^i^^l^p^PLdithe
par tMv-Berfeerô, et qüéfeôri amisBalbis m’^ Communiqué. Il
étoit conservé dans s7ôri herbier^W^s le nom d tiiùtcdKS^
• Sprehgi, nom qùeJjlnMW^ la plante
n’appartientljpàs auigêjteb MR l| *-* ' |j|sj jj • -
i f ié iam è a u que souples *yèu^fesf^iÉrêJk*lnt glabre^
presque .dépourvu d’épines dad^sa’ fiâfeëBiltiperiêure : il en
offre funteWehkda * base qui- indique qu|||ës«;|h§t;?éparses et
PU® s tipulairesi^|f&üilles»ln}Sl^^btiêr'êmont dépourvues,
deuxiois ailéeS^à douze paires dë'pinntd#‘qùi ont chacune
environ trente faites de folioles linéaires, Gifièr^es^les pétioles
ne portent|âucunte.glande.
fruits fornfëàt• une-panicule terminale, lâche, un peu
penchée de côlê1, e t «semblent indiquer quelles dîeur s «étoient
en épi. Chaque;’gousse-,l^étrécie à sa base-eh un pédicelle
grèl'èî/ est comprimée’, linéaire, hblongue » mucrone'e
d’un pouce à un pouce ht demi sur déuf lignes et demi de
largeur. Les sutures shût saillantes*,, sans* épineshet persistantes;
Les articles- sorMpresque - carrés, se séparent en se
coupant en travers à la maturité ,'>èt ne s’ouvrent pas d’eux-
mêmes. Chacun d’eux renferme une seule graine , ovale ,
arrondie,. compiiniée. Lesffteurs sont inconnues, et il reste.