
ne vais pas-de différences sensibles entre les S . m u n ca ta et
verm iculatet (voy* fig.< 5fj»j).
Les Coronilles ont les cotylédons oblongs, obtus | rétrécis à
la base ;, en forme de coin, sans nervures saillantes. .-Jfos premières
feuilles sont alternes , souvent la premièmji
liole, la deuxième à deux ^ savoir : la, terminale et une latéral^
plus petite 5 puis à trois folioles, partant du somnïet du pétiole,
puis à cinq folioles , savoir : les trois du sonimet eâ une paire
à «quelque distance au dessous. II..arrive .quelquefois q a e ja
première ou la^euxièine .ont déjà trois -folioles ; quelquefois
^ajpssï quteees trois foUofosfoqcqiie soudées forment un limbe trij
l$bé.£}es notes sont déduites de là gérrminalion dè-%fÇ,r.g.laûèa,
jim c e a et JEm®wts M e tte dernière diffère desdeux premières
en ce,que -les feuilles primordiales naissent ^beaucoup plus,
près des cotylédons ( v ey .
- Les- AstrohoMum ont les cotylédons, de forme semblablg,
à Coronilles, etrtrès-peu élevés au-dessus du sol.
Leurs preimiàfeiÉ^feïÆp naissent immédiatement jàu-îdessujt
des cotylédons. Dans Y A seibra®tèâtpmi-, leàffeuilles primordiales
sont ;déjà;a^ées»à quatre ou cinq paires de folioles
une terminale-^voy. Dans V A . d ïm g n .-la première
fonguemTent pétiolée., portant^ son sommet trois
foliotes égales ( voy fig, % ^ i c ’est l ’âge où GQSjdeux espaces
sonfe^eurt-etre le plus djstkietes. L !^ . m »pim dè^ ^4 la pue-
mière feuille simple, ovale, rétrécieen pétiole ÿ les stipules ,
qui sont très-petitesÉ existent déjà à la base de .cette;fouille,
mais ’soudées ensemble en une stipule simples, opposée à la
■ feuille. ■ - ■■ ' _ .
\^O lriitk e^ ^m 0m^reMi(iSv3eè&gepnination tout-à-nfait ana-
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logù# à eelle de YAstrelobium ebraete&twn, c’est-à-dire les
cofylédons tEès-près de terre, obovés -j un peu rétrécis à la
base ; les. feuille&ipuumQrdiales ailées avec | quatre ou cinq
paàres^t une foMole terminale 5 elles naissent très-près des
eotylédons.
(Les Æppocæepù ont les cotylédons linéaires, assez épais
parmi ceux qui sont féliaeés, ressemblant à ceux du Aicor^
mais beaucoup plus courlis. La première feuille est à
une, deux ,.ou plus fou,vent à trois folioles, dont une terminale.
Elle est munie d’xin long pétiole y les suivantes sont &■
f ées îà denx paires de folioles et nue terminale. Toufesnais-
senÆttrèsqjrès des, cotylédons* Tu H . unisiliquosa z. le pétiole
des feuilles ptimwdiales plus long que V tL multisiliquosa
1 lLe^S'.evù>pi^erm ades cotylédons ovales, oblongs, très-obtus,
rétrécis eù ; ©îûftà-1à la base, planes, et naissant immédiatement
au-dessus de la surface du sol. Les feuilles primordiales
naissent de l ’aisselle^même des entyîédonsq elles sont munies
de longs pétioles d’abord dressés-, puis étalés. Leurs folioles
sont au nombre de cinq,,ssavèir : deux pair es,!, et une terminale
. rfies folioles sont «obovées, écbancrées'au sommet : au
moment de leur dépelo|ipe|p>©mt elles sont redresséeslsur leur
pétiole commun à angle «droit ; 4es feuilles suivantes ont graduellement
trois et quaérfe paires‘dè folioles , et rimf&ire y
est plusiséeartée de la dernière pairê^VOy; feg. tir.).
heJjou&ea vespertilionds a les cotylédon s à peine élevés au-
dessus de terre, ovafesyoMongs^obtiisysans nervures, planes
et éta|és. Les feuilles primordiales sonflalternes le long de la
tige unique qui s’élèlfot$*!«lfo& sont toutes simftes^ pétiolées,
WÈÊÊÈ