
L a plupart des Léguminei^ësy saY©M, l.es Pa|)iliorj:aeées et
les iOesalpifiéesi, ont, comme les Rosaeées/lèls pétales et les
étamines insérés- sua? le calice-,:et tendent à rangea ces,deux
familles parmi les Galyciflores ; mais les Légumineuses appartiennent
moins décidément à.-eette classe, soit parce que deux
des tribus qui en font partie ,4 es S-w&rtziées et les’Mimosées,
o-nt en général les fleurs hy^pogynfes^|ôifïpçCreé que dans la
plupart de celles qui'sont vraiment périgynés, l ’insertion des
étaminësra lieu très-près de la base du calice. Dans,le,s Rosacées,'
au contraire, les ’pétales e-tdesfétàmines naissent lç
plus souvent versde haut du tube du »calice.}, -mais ilfau^-bierr
sii garder de CEoiasé que cètte différen ce soit;, .générale. Un
grand nombre dé’ CésaLpinées ont les;étamines inséréps?àu>
sommet du tube du calice,, comme^oiiide voit dans X A^rai&Jiis,
dahs d’Æo^e^a, le Tâbhïga>Üa\ VHiêtmros^wijêxê§ • le ' Cru-
4 # ^ * surtout dans le Jàetariunv^\%KG@tâyl la . On ne .peut
donc tirer aucun parti réel-de «ce caractère «pouit la- distinction
des familles^
De eabce des; Légumineuses et des, 'Rosacées, est- formé de
cinq |pu ttés raremënt de qùatjçè^^palesï&éîÿdés pgirdabasfe
enHin tubeide longueur très-variable dans•lés^Sftfe familles.
Jusques à présent le tube du calice est considéré■ comme sans
adhérence avec 1/ ovaire chez les Légumineuses $jet offrejsou-
y-ent une adhérence très-prononcée qjlezrles Rojsacéés.; mais
cette i différence ne -;peut entrei»\-qu;ev d’une ■ -manigre^ bien
séeondaire : dans des caïjactères ; -caij/i0. il existe .un grand
nombre de iRo&aeées àHovaire libre, et cë'sént celles précis«^
ment qui , comme les, Amygdal'éesi, ont le#.plus,d& rapport
avec les Légumineuses £*2°- parmi ees dernières on entro.uye
quelques; un e^rtéllés que Y M ^ m été.,,ayant le pédicelle
propreté l ’oviir-t*sefodé,ay&d l,a*ca%s,; qui nous conduisent
à,e®oirejquidnpourra- bien trouver un jour,desJJ<%ummeuses
à io v a i r e ja d h é r e n t q u i ,; par- eeMe adké^enée latérale-du
pédicelle'-de boyaire. ,avet,ifoçéalice ^©nt un rappprt très-pro-
é i l es RosaqéesdSkryspbalanees. -r
- La disposition d ^ b f o ^ d u ^ i î ë itoapyeur.-épanouisse-
mdnt-prfesente d e s o la t io n s • analoguesj- dand les deux familles
:-lorsque % 4 e«s^#xt r é g u j i^ t e le s Put. sopv^nt les
sépàles- e h | $ s ^ ^ M les
«Légninineu sesndans les^^Liâ©sées^qh^les.^®saeéeSï4ans lqs
, Po^rftilks et,genres -voisins: Ura^utre estimation,est- eqmr
munesdans lesf’deux famille^jsayèi^, f estfivation'embriquée
quinkoheiale, comme on la v o if çh^desLéguminepsesMans
lësGasÜées ^ ^ o b e^ -J lu sa e é eS .d a n s k s ^ y ^ M e s - 4 4 ^
Rosés. ^sdBapilSMaeé%pré?fe4^nl sppvent, il estçyrpj, des
estivation's ■ irrégulières ^et-plusèptr moins labieea-, qu^on ne
retrouve jamais d a n s d e ^ o ^ P S ^ ÿ k ^ ^ ^ k ^ « ^ ^
tère^éipoFriieit^’iLppliquer.qua un d p ^ n s-o y d r ê s desÆé-
pm ineuses ^ Im ’ÿ -est-pas maêmeÿgénëral/r | gi < «
Le nombré des pétales-mq peuV-qt^î admistdans cette distinction
des deux familles.- 11 est, ordinairement légal %>#lui
des «sépale^ fiais il se^éduifc par( avortement à-dès nombres
inferieurs, et mêmelésiipctales^manque'Bt* complètement chez
lès-Rosacées dans h^tribu des Afobemilksfcêt:,dans plusieurs
Légumineuses. Il faut remarquer cependant M qw M l ’a*h
Apace totalendes pétales est un: fait insignifiant dans les deux
famiR^, la diminution partielle de^leur nombre, .^#t par
avortement, un &fcp|lp; fe^ u e n t f armi