
près au-dessus de la première.,» esUcomme elle simplement
ailée à trois paires de folioles y et la quatrième qui elçâu-
dessus de la deuxièmea comme elle le pétiole fourchu à trois
paires de folioles sur chaque branche. Cette sîÉfgMtère altèf-
natiye. de feuilles simplement et doublement ailées esfé un
phénomène que je n’ai vu dans aucune autre légumine'use
(voy. fig. 98).
Le genre Acacia qui rénferme comme on sait unft&®mbre
immense d’espèces très-différentes entre elles,1 offre aussi
quelques variétés notables de germination: 'Hans -toute# les
espèces observées, les cotylédons sont portés sur une tige’^sail-
lante hors de terre, droite et'ijpEîndriqué^ çotylédorfe
sont oyés, très-obtus au sommet, tronqués ou échancrés à la
base, de couleur verte, de consistance épaiste et sans rien11
vures bien visibles.
. i° Dans les Acad es .hétérophyflles, èotylédonS sont
oblongs^ coriaces,, presque charnus; ,i (à «ptefr' près ,
échancrés à leur base avec deux petites oreillettes aigues: La
première feuille est simplement ailée à quatre paires de folioles.
La deuxième'a déjà le pétiole bifide à branches-chargées
de quatre paires de folioles : mais à mesure que la planté
avance en âge, on voit les féuilles suivante^’ prendr'e un pé~
tiole ailé qui affecte une position verticale, le nombre des
folioles diminue , il disparoît complètement et les feuilles
sont réduites à un pétiole dilaté ou 'p^fÛo&vfri^ quoique
dans leur origine elles aient éfl* ailées - et même bipennées
comme les autres Àcacies.
20 Dans Y Acacia; acanthocârpa et quelques autres telles
que le glauca, etc., on trouve des cotylédons ovales ou ar-r
lu n d is , trèS-ObtUs^tÿoîiquésf ou un peu échancrés à là base,
u n “peu p ^ tM é s, p l a h e ^ v ë r ts fet-ëtalés : la première feuille
primordiàl^nhîirde^â lige immédiatement au-dessus des coty-
lé’d fe s ‘’péé&Iéè fîjgaÿîêment ailée u t à cinq paires de
fèlMêS^dSIs^aiM-es "qui nâissênt ajn-dëésus dé-là première , al-
t'^ n ^ è i^ ë èM e s im itfe -p ë tio lê ^ à d'eux branches chargées cha-
Gutoë*i.ë''âuatrepairés âé-folioles^voÿU fig%b}p U ri Acacia que
j ’ai i%çu%îu#le diffère des précédentes
q u é p a r jP'granurappfochement des*premières feu illes,'et par
Je^éètylédpns plus1 ëchancrés^èn coéuè ; mais toujours obtus
■ H te .‘iftgx ÿ i^ ^ pD ’autresiëspè(Sss,'dônt malheureusemént lê:
ÿtom^âpécifique m’é#Éfinéonnu ,• ne diffèrent des précédentes
q u ’enèeci^ que la première feuilleta u n plus g rand nombre dé
folioles et n a îie c a rté e au-dessus des cotylédons-} les-suivantes
qïii s%Ü?t alternes-«ont" déjà à deux branches. J’ai observé
trois 'eSpétees'dàhsvce cas : je donne la figure d ’une d ’elles
B jH
0$^ Ujica&ia Famesiéna eSÈTè type d’un troisième mode
(fé^germination, dans leqüëlLles’ cotylédons sont ovales ou
oMongs^écltancréi^àdâ’bàsé, obtus au sommet, mais qui'ont
deux; fciiilles primord iàlesîsimpl emen t ailéesut opposées, les
süivanteS altèrnes et à pétiole fourchu. \1A . Fatnesiana
(voy. fig.'âfcfâ) en particulier est remarquable, 10 parce que
ses deux feuilles primordiales naissent immédiatement au-
desshs des cotylédons et portent dé 7 à 9 paires de folioles ;
20 parce que le collet y est fortement prononcé par un rebord
circulaire qu’on voit rarement marqué au même degré.-Une
autre espèce dont j ’ignore le nom, mais dont je donne la
figure (^sroy. fig. io3;)| sè distingue dé la précédente par deux
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