
Le Psophooarpus de^Mcoker ,<mi^Botor d ’Adanson.
-n l^Gm tavaliaà^ DuPetit-Thouars ,ou MàfomçMa êeSayi.
I Le M uçuna d’iÀ-danson.
L e G3fffl7e«j-dlÀdans®Q, aussi décriti par moédans le catalogue
du jardin de Montpellier.
L e Lupimus ; q u i, à*eertainss égards ,'«e rapproeheaussiiun
peu des Cr&talaria,} mais qui rompt :Jarsséri^pù o«t le. place.
Le C ^ & ^ ckÀ iton .
L jjÈ rythi^né^e Linné.
L e Rudolphia de Willdenow, qui, par,se&srapportsavec
le Butea , lie eette section avec |lefeLtedbergiées. .
- D u }g è kw «»SWEETIA.
Deux?, espèces de Légumineuses grimpantes, décrjtes*et figurées
par Jacquin Éjjtag le nom de GHlegm^mais ^qp&Éêàp-
partiennent sûrement pas A c e . groupe , formentyle^ genre
auquel j ’m?dm3mé le nom de Sw eetia, en Je«fêensaerant à
M. Robert Sweet/ botamste anglais, auquel Jaseienee est
redevable d’une bonne moUograpliie des • Géraniacées \ et de
quelques autres ouvrage» précieux pour la botanique des
jardins.
Les .Sfmetia diffèrent des Gailega etvdes Æ&phrosia, par
leur calice à quatre lobes presque égaux,Æe caractère les rapproche
des Phaséolées chez lesquels; il est fréquent, et leur
port est tout-à-fârt d’accord* avee.cette indication. Parmi les
Papilionacées à calice quadrifide, le» Smeetm ont surtout des
rapports avec \es Q ala ctia , mais s’en distinguent surtout par
leur calice nu .èt non muni de deux -bractéoles à sa base, par
leur c^èpe« d%nfflls^pétkles sont soudé» excepté à l ’onglet,
et par leur gausse ttèseuomprimée.
*ÿ^e; sq^,dfes s'op^arbrisseaux tr&ggréles et volubiles, tous
originaires jde^^^lles.^eoef»'>ieuRles sont ailées avçc impaire
^ i r o i s folioles oblongues j couvertes', ainsi que la tige,
de^poils -mou», courtseticauchés: Elles m’sont point de sti-
pelle» à de*êr base, mais on trouve tes^stipulesmenues ^ et
en %me,id’aMnè? àyla baso des pétioles quksont assez courts.
Ees pédoncules'sont - axillaires, filiformes, chargés de deux
à,quatn@fleurs(.î QeMes-ci sont petitéd, de couleur purpurine ;
leur calice est aminci à sa base ,4 divisé jusqu’à la moitié en
quateedobes acuminés ,-lancéolés, presqueégaux. La corolle
a tson# rétendard; cunéiforme;« le»îétamines sont diadelphes y
l ’ovair%sessile. lie style glabre et filiforme ; les gousses -sont
linéaires^, comprimées > pubescentes;, polyspermas, unilôcu-
1 ai.rp» .Te> Wevconnais; pas-assez bien la germination pou® affirmer
appartient âux Notées 0%aux Pbasédéesa»*
Je rapporte à ce genre :
^ L e 'S:> loMgifoiia^ biendiguré par Jacquim à lai planche
5ijf2:'de ses Icôn es paviores.
Le S.$lÿo7màs:;*.ft$piTéde^même^à^k-plancbe 5?3 de
l ’ouvrage cité.'
t J’y joinsuvec doute le. G ly cin e \ iignosa y indiqué par
M.: Turpin Enohiffîdiian de M; Persooni, et dont j ’ai
vü un échantillon sans ffeurs dans l’Éerbier du Muséum de
Paris. MI