
ques S celles du bord, et que la. dixième, qui resté libre ,$g£t
que toutes, les autres. Enfin rallongement de
toutes legs,,.parties de la flèur formé un dernier ûâràetêré qui
rendre nonye.au genre facile à distinguer. Ayant à 1 ^designer
par un nom^i® lui ai donné &éMy de M. J .’ B.-G. Barbier
j auteur de^nouveau^principeS'de Pharmacologie, et
d’un excellent Traité de Matière médicale^, ;désTranf-rendre
honun$§eà I-esprit d’ordre et deméthode qui le caràcte'iMëte si
éminemment.
point enGogf&<#l|£i pubJ^Mé figuré dé^cétte
planté, et que la descçintion/trop abrégée "qui®® existé^larste
quelqu e|éko|é.;àyIeMrer , jè^réis deyoirq oindre ici l ’une-et
l ’autre. ,
Barh^e^^pol^ffp^î^^., T a b .l» .'
. de décris cette plante d’après un-échantillon recueilli pajr
M> .Bedru à Porto Bièco.
Elle paroît ligueuse vers sa base $ sesrtiges ou Branches seul
aBongéèss cylindriques,igarnies de-poils longs, étalés, mous
un peu rous&âtres, nombreux sus Ié&|éütoésqmusses, plu&
rajjësA mesure q®é lés -branches deviennent âjgSij§^jp
Les feuilles sont alternes, ailées avec impairè ^lèür pétiole
est grêle, garni des mêmes poils que la tige? Lés folioles sSjrt
au nombre de huit à dix paires, outre la terminale 5 èllfes sont
pétioluléesT ovales, oblonguess; obtuses aux deu£:extrémifés,‘
terminées par une trèsr-courte arête , d’un vert foncé, cft
munies en dessus de quelques poils épars, très-pâles, éîrcfljî.^
VO|tés en:, dessous de poils nombreux et couchés, longues
de douze à. quinze lignes, sur cinq Ai sept de largeur. À la
base des feuilles-se trouvent deux stipules lancéolées , lipsesires',
acuminée#?, un peu seârieuàps , rtmssâfréS èt pubes-
Montes ; de* anal^ùésfmais plus étroites se trouvent
à. la base -de. chaque Miéle^éèt dépassent la longueur des
pétioâule^Les'* pédoncules naissant solitaires à faisselle des
feuille^, ç droits? j grêles », - poilus j 1 un peu pins»1 courts ' <pie le
pétiôl'e -, termMi# par- deux à trois fleurs disposées en grappe,
et-asstoélidées*; chaque fleur est portée ipu court pedi-
celle. A la-»base, du pédicelle se trouveutfdéux braetÉÉtfsem-
blahlfes*adfistipules^t deux-àiiîtfe's^l^Tpfac'êes*ah softimet
dtV^^fici’lHëîimmédiatfMieàf'ÈBila base du* caüêefwt dressées
l(*|lwîg|dii tube.
Lé ëalifce offre un tubê fcyÈndrique ^barque de dlx nervures
fines et*ÿèétgitadinaley | hérissê'comme branches ,
long^dè neuf- lignes, terminé par cinq lobés étrmtsjb; acu-
minés, presque l'^aûx, dressé,v*un pep^poïlus , èt longà de
quatre
La corolte êkt' dfe' couleur• #ôugë;i*lpn^^de dix-hdita vingt
? * S * î^ ^ $ é t à l e s sot#‘ftfe'cis à le u r ’basé en ÜU long onglet,
T étendard eât!eïlipfique, dblong, dépourvu cDorèillettes |
ou de callosités ,*-’replié longitudinalement sur la nervure
moyenne quiest peu'visihïipes sfilêlmut le limbe elliptique ;
la c a r è n e n t -forméë de deux pétales 'a ’dimbe oblong, peu
*soudés ensemble, et plus’Tohgs que les ailes; ;
Les étamines sd^âiit nombre de dii>’j et diadelphes, neuf
d’entre elles forment Uûe »gaine fendue du c ê fi supérieur ; la
pàrfiéiïbre dos? fili^Mprolonge' ma peu plus haut pour ceux
du milieu de la gainé1, ë^décroît*àssêz’fréguIiërement sur les
bords. Une dixième étamine libre est'de moitié environ plus
courte que les autres. Toutes ces étamines sé terminent par
% y \ .. ■ 3i .