
semble assez distinct ; mais il réunit des, espèces qui §e j;es7
semblent peu, telJ^ o mp les G. parviflppcp. & p la ç q ta , qui
ont des feuilles à trois fofiole^ * aviefides G. a^wllÀy„mono~
sperm®.kqjt sphcerobarpa, qui ont les feuilles simples; dq
plus,on trouve-deux à trois graines dans les G .,p E th n en sjs,
radiata g ?d eu x à quatre dans f e ^ G eyz'.y/to Scqrpiusn
Hispdnica,^ etc. ; .de sqnte que la limite du.g^nr,eîserpit,difïi-
cile. Enfin ce6,caraçtère.déduit du nombre des’ graines ten-
droit a séparer, d a s esùeces très-voisines- èigît^ elles 7et à faire
ainsi des _coupes artificielles.
Le %e^& G epùtella.Ae Tojirnefort et de Mpench, .qui
est le mpime que.le Listepa d’Ad^nson et Je Sa.tevsdldli,g A>»
la Flore de Wettérav^^sf absolument,i& otifvii de ear|lp
lei|ès di^ncÜÈs;^gt p lù ^ i r s T ^ ^ ^ ^ 7 % } ,,> ligneuses et
ailées tendent, même à lé lier par le port avej^apnasse des
vrais tjènets. * ~ (
3°- Les genres;Ç k e^ ^ & id es^ Mcgnçh À -
danson ne |gjnt que le vrai dont il*» ont changé le
nom, vu qu il a\^^reser.v^le nom^dnGg^l^topour le Sppy-
tium junceum <m Spartiantnus de T.in.lt
4°- Enfin le. tgenre^^Mge@ de. la Fluoré de^ ^ett»:ra^^!
fondé sur le semble d!abord passible à soutenir
, à c;aüse que les vl^ ^ du fruit ,, qeu
detre planes ; mais l ’analogie du port de sev e^iec^s;a\ C(
plusieurs autres à iruil plane est tresdianpaiilc^^t^fi^Svd
bien d é f ia n c e s dans le degré de^con^^itd'des valvesdu
fruit de div^ps^esp'^a,
| P | | ^%-^We''^p<^Âiant^us Link dont j ’akparlé à f ’ar-
tiçfe ,Sf>çirlium.
- I l résulte de-êet examen que des quatre’ genres proposes
seul quitta poufroit admettre à'cause de
son fruit un peu bombé pmais il a- d’ailleurs tant de ressem-
blanefei'dâifede port fruit plane qu’il y%ura
p e #,d ’avànt^èvà|«|®Èï# séparation.
C’est d’après *êês onotifs que j^ in e t suis; décidé à conserver
le genre >®GpfezSftzv dans1 les1 limites que M. de La-
mark lui avoit?àlsÿglïë'^s 7* sauf la séparation du Sp'artian-
-’èéûs', de; Link^idfèst-à-dire énî-jyï rëqnissant toutes les Genis-
ÿëfes ài^tandbfêfsÿ monad elpla^^-tà'î »calice^ non spathace, et'a
flÿrène^ obtuse , :oblongue , étroite au point de ne-pas con-
tenir en entier le^o>|^à!n>é|rtlsexneIa. Cn genre, ainsi défini,
comprend ^de^'ësppcds*''■ a^ urièt,' detlxvyvfcrois, quatre ôu plu -
fiÉdrs:grai.nes , àkgèlsééë planes ou;bombées., à calice mem-
branlm ou foliacé, mais toujours à-deux lèvres’,tàespËiffé-
Tênogs-sont tellement èombinées entre dés*. espèces..analogues
qu’il' Tfne paroi b mêrne impdssiblelilïms’en * servir pour dis-
Sugàe^k'slÉectidnsi, et que j ’ai ,éfù’ plus conformé à l ’ordre
natureLde séparerale^,espèces d’après* le port, en1)quatre
-groupes/, .savoir :
§$^%; Celles sans épines, à feuilles’à trois folioles.
jfeifr-. L es épineuses à%uilles adrbMdliofe au moins dans le
bas. •
. ïftâ'lIfLes’ éplfceuses à feuilles simples, ou peut-être dévroit-
du dire réduites à^la fo'Mèl® du raili^ufflf
S? ;^ï^ es l é s é e s sans épines, à feuilles simples eonune les
précédentes* .■ ■
Quelques espèGÜ de la Corse; et de l ’Orient mériteront ici
une courte mention.