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pétiole, la deuxième, à laquelle je'donne le noiii d e 'L o fo -
nonis pour indiquerson analogie avéc^lès Lotftöl^oihprend.
les espèces à stipules non adhérentes. ~
La première section renferme ehTiróii' soixante-quinze espèces
asiéz Sien conUiies et *tSuté4 originaire!? ^fe^tEurope,
du bassin de la Méditerranée C td éF Orient. La deuxième'se
compose d’une trentaine d’espèces maf '(Mèriws^ôriginaires
du Cap de Bonne Espérance, et qui',' au moins pour la plupart
y devronu-etre exclues dû genre.'
LesE uononis,ou Ononis proprement <lilo,onl (‘ntrè'ellcs
*<degrandes andldglëS:,’ et j ’ai-eù recours, pou^tes^dstSser1, à
dès divisions purèmenï déduites de léur port} savoir : •
1°. Les N a trix ont lès feüillës% une wffl plus souvent trois
folioles, le? fleurs portées sur de lo n g s^M ip lIw axillaires
et les corolle#|Mun^| l’étendard seulement ^s£*/dans quelques
espèces , un peu Rougeâtre ou r a ^ d e TOftgieîiia plupart
àëû!;]Satrix sont remarquables par la viscôsifeéyd'e:teurs Surfaces..
-'.2°l Les Natridium ou faux/iV^rzx qrnd'es ‘•feuilles-et les
pédoncules semblables aux J$uirisc% mais lg^fl’étirs*sôfitt rougeâtres
) Ou blanches:
Sf- làes- Bügranes ont les feuilles à une ôt$4 trois^folio'les ,
les fleurs rougeâtres ou blanches* portées sûr des pédicelles',
courts etvrapprocbés âu sommet des branches-enépis" serrés,
entremêlés d e . bractées, lesquelles' Sont principalement formées
par les stipules adhérentes au pétiole, d’où résultê qiie
la plupart sont trifides au sommet.
; ' 4°» Les fausses Bugranes ? diffèrenf
des précédentes que parce qu’elles ont la fleur jaune.
LQTÉES:- * .221
- 5p. Les P te r o è o ^ ïs^ waaes On,§.ni&ù feuilles ailées avec
éImpaii^e^êétteCdernièÿeïsfect^n est C^cone mal connue et mérite
une mention particulière;Dans l ’état actuel de la science,
*; ÿ y ^éunisi^uatfee<eâ|èces très-analogues ;entifefelles, savoir :
l ’O. yinkeda de Brotero, eW?i©îs espaces nouvelles au«oins
'pour le'srnioderînes,..savoir : les
irm quifalia. Toutes-sont remarquais;-,en ceci .que leur pétiole^
aùfcUfdlêlporter une seule folible terminale .coinme
' dans les
dont, une terminale-et.’deux
la té ra les^ pp^é i, formant m u vp^ e . éloignée .du sommet,
commuta pldpâtfdesi^pèces du g|nâ^#éir pétiole, dis-je, I porte-teôfcte iWbprminale, trois q u a% pmresjidè folioles
Les stipules sont les folioles.dèntéqs
■ ' ênseie, tomurndans le sq u a% f f récédentes divisions^et leur
port èst tellement ■ anU]nguëfeq,uie, maigre cette, dgéronce, A
| jg$ t impossible deme^ls reeonnoître ^%-le-champ^eur ana-
?4>ssi bienrearactérisé par son'
nom que par sorl b a rktè re , * tant s.e| feuilles., ressemblent à
*y^è»é&«i!Èîs droit, hérissé g g g
fëüirllèsvont quatre paites^ deÉoMol^dvsééss, dentéésVmpie ,
un peu veiMS, ipYitre une>ierminale impahrey é p a » de la
paire ifip'érieure ; les feuilltsl, supérieures n;ont graduelle?
ment que trois, deux , ou même qu’unc.paire de folioles , et
il en est même vèrs4e$ sommet qui sont réduites à. la foliole
terminale. Les stipules* spnt grandes, demi-ovaless,1 ipomtues
dentée^ emscieq ies fleurs .s|nttén épi serré ;leu rca lice est
très-velu ; leur corolle grande , rougeâtre. Cette , espèce a
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