
gen.ro ..particulier; mais la corolle m’est inconnue, et j ’ai
préféré le réunir., provisoirement au genre avec lequel il- a
lo plus d’analogia.s;
i4s. 0 xvlobrdt. Ge genre établi par MM. Andrews et Brown
est très-voisin du CaM isteefoys > soit par ses feuilles; simples
et vertieillées j sâDit par les caractères del la fructification; :
on ne peut établir entre- eesjideux genres de différences^
sinon que &&x\s\& Çallwtach(y'& l ’ovaire est décidément pédi-
celle, tandis qu’il est sessile ou presque sèssile dans l ’Owy-.
labium ; encore l ’O. e llip ticu rh { est - il intermédiaire à. cet
égard. Les étâmines paraissent hypogynes : dans;le, ÆWv
lisia ch y& ; mais i l ÿ.'a des O^l&bÙMrb^et notamment mon
O . P u lten eoe , qui aveéd’ovaireabsolument sèssiteprésentent
cette apparence.
Aux espèces c o n n u e s - , j ’en, ajoute deux*,;
savoir :
L ’O. spim&sum, qui a-du? rapport aVfee»>i'e coiïdifolûkm î,
mais dont les feuilles ovées se-prolongent par l ’extrémité de
la neryure moyenne en une forte épine”.. Quoique je n’ai®
pu en vôir*le;fruit, j ’ai peu dp doute- qu’il restera dans ce
genre. Mais il en est autrement de la seconde espèces qucje
lui adjoins provisoirement. |
j L ’O, P u lten èm est la meme plante qui fait partie, des collections
de, M. Sieber, sous le nom de
Ce sous-arbrisseau a , en effet, au premier aperçu, le port
d’un P u lten c ea ; mais je conçus des .doutes surisaelassifica-
tion , en remarquant qudl n’a point d e stipules, ef, que ses
feuilles linéaires obtuses et un peu roulées sur les bords *
sont çà et là vertieillées trois ou quatre ensemble, ces deux
caractères étant étrangers' aux vrais Ptilt&Jiôëét. L analyse
détàilléè'tfe 4a. fructification à'edsfimé éê que m’avoient indiqué
ces détails des.formes végétatives. Chaque fleur naît à
f à i s i ë ^ y caduque , de la longueur
dU pédîeéle; Gelui-feT porte, sur le milieu de Sa longueur ,
deux'brâètéôlês Caduques très - petites, en forme d’alêne ; le
Calice ést persistant ,r à cinq lobes réfléchis après la floraison,
B p pèinè plus longs qùeleiûiiS^-' ièë^étaïeé ét; les étamines
tombentdprès la floraison7JêCpa¥oisSent naître du torus, ou
tout au -mbins de la basé du calice, qui en CSt la plus voisine
,'’càr oïl sait qu’il'est difficile de rien affirmer de bien
positif dan-S ëes insertions ambiguës : f étendard est arrondi ;
la fcarènéJést égale en longüeur aux ailes et a l’étendard -, lès
dix- étàmines libres. L ’ovaire est décidément sessile, ovâîe ,
oblong | ebuvert de poils sû féM ; le stfïê est glabre, courbé
p f l t s le haut, terminé par un stigmate simple. La gousse est
e'ntouréê^p^Ëîà’base dü calidè, de forme ovée, pointue, et
le% s ty le , couverte de poils, à deux valves concaves,
lisses à l ’intérieur. Les ovules sont an nombre de huit,
dont un ou deux seulement viennent à maturité 5 les cordons
ombilicaux se prolongent à leur sommet en nue petite stro-
jilÉ$Lé! ofi arillé obfaà : iêttè dilatàtion a quelquefois lien
même quand la graine àvorte.
Cette espèce formera peut-être lé type d’un nouveau genre.
i 5°. € ai;kistich?s dè Ventcnat, dont le C o llist. cu n e i-
f& lîa devra être exclu#*n
XQ\ Bhàchysema de Brown, remarquable par l ’analogie de
son port avec le K e n â ê â f a,.
\*j* Gompholobicm de Smith, modifié par Brown.