
que j ’adnpte, s'approche le plws t mais sa -gousse" est très-comprimée,
|qii qui indique. que leacotylédons sont foliacés, et
en effet le G>. clandesiina, que j ’ai vm germer, offre ce; ca--
ractère$SËÊ qui mu décidé à laisser* le plycine entre les Qür
toriei &%h&G0 l$g.a, et u l ’éboigner desfFbaséoMes-
Tous ces earaetères sont presque négatifs, et anssi lesiépr,
pèces qui restent dmm le genre Glycine actuel n’ont-elles pas
entre elles une physionomie bien pfe<m<uttede: beaucoup moins
hétérogène qu’il n’étoît , il offre encore F inconvénient de
renfermer trop d’espèces mal connues ,%ef pourra* bien dans
la suite »recevoir^de ^nivelles modifications. •
Je réunis ici les G.~elandres,iina fuefeèi&A d hedysaroides,
niinim a, stria ta , s?rieea, temuifLara, pardiftora ^.ufahelr
lata iles auteurs y dont les fruits sont connus ,ïjjétje présume,
sans pouvoir l’affirmer, qu’il faudra aussisy -réunir les G . an-
gulata, emcoT^rtatay Ifêufêo^erma , lwkiif(xUa$, &eëm%da,
erecta, heterophylla, argentea %^em m ea e t villosa, dont
l§s fruits sont peu ou point connus» ;Jj,e Monniera tyvjfaüa
de N.-L. Burmann (Prod. Fl, cap. p. 3®^), trèsrdifférent de
celui de tanné, paroît aussi devoir
_S D u genre G EÆ TO O à tYX .
Je. réunis sous» ce nom nouveau deux espèces de*tégumi-
neuses qui ont -été confondues avec les Glyci-nés, mais qui
m’en paroissent trop distinctes par le port, pour que dans
l’état imparfait de nos counoissanees. à leur égard on puisse
les considérer comme congénères;, ce sont le G. Wmeentinoe
du B ot. ïlegi&tër, pl. 799., et une espèce nouvelle, désignée
dans Fterbier dhèjL Berfëro sôùsflu nom dë G . pube^âéüii.
Elles ontides tigesdi^deu^set volubiles, des feuilles-ailées à
deux paireSfdedMdtde's, plus une foliol^Smpaire terminale.
f%ës folioles sont ovaleS^^uCroiféeS jdé55stipules Softt étalées,
lancéolées , linéaire^dSés pédiwslles qui 'naissent jÉtesiéËét
ensemble -des aisselles, sont filiformes, et portent 'chacun une
fient jaune. Lte- C'M%éîsst tout' hérissé IfêÉsêies roi des, presque
épineuses, partant d’uÉe^baSe un peu tuhernufétisé : il se di-
vise »eû'«cinq lobes distribués en deux "lèV#^,ildedt.a la lèvre su*
périëtl#e €tjrccOurbés^%©isfà'rûnfél^eureiÆil^esteide la struc-
mre eStW's®®*semblable au Glyéi4i|^ maisle ‘stylé est velu,
et »les pousses sont inconnues. Ge»groupe%e caractérise donc,
quant à la fructification, par lés iSoies-cpinéliéés du caidce,
et quant au pO®t, par ses feuilles ailées à deux paires â e fo-
Kçfelifeune im | ^ r e i p o r t est si prononcé qu ê ta i peu dé
doute qu’un e x ^ i^ j l lu s détaillé de la fleur et- surtout du
fruit, fera connoitre quelques-autres caractère^ groupe
qtte^ je p®iip^ iei provisoirement ; et que jé laiSsé'>a in suite
desÔlycinés. âg
-s6. D u g&rivè 6 Â IË 6 A Bt é u
• Dans sa première édition Linné admit '( f 7'4’3 )le ge®’e &&-
i@gm..-4®-Ikmrùèfbrt sans aucun-t-hangetoetttinotable, et èïi
mentionnant en particulier sa gousse Cylindrique et un peu
tortiletisé ; plus tard, dâàs Mplm,e èe^Éeylan dans
ses A rnoe m tafes^t^m Ê i l admit, soüS lé nom de Ofiàcèa,
un genre distinct du Guté^a^ar son fruit comprimé; mais
dans la suite il réunit cés deux genres sous le nom de Cta