
graines sont en petit nombre, comprimées, ovales. Leur cordon
ombilical est idroit, ascendant, et la graine elle-même
est pendante. dans, lé fruit.-
; Cette plante a tout le port ix&VInget p ufp ufea > et stfrap-
proche en particulierrde te .genreparses étamines TOu.ges ,
plus longuement monadelp'hes que dans les Ac&cid,. -Cependant
jg comme soufrait n’offre àlintérieur ni pulpe ni farine,
je» n’ai pas cru: devoir la séparer des xÉkiaè&Êç
D epuîs la publication du second volume du Prodrp/nus etlp
commencement d^l’impressipn des Mémoires surjes Légumineuses
y il srest présenté à moi une belléjtspeièe de Mimosée, qui
tend à..corroborer les rapports entre lesgenres-AcArarop^sï
et Des»i(int^ius,x et à modifier légèreraenfXe caractère de l ’un
et de l ’autre, Cette plante gété Aécoüvertepar ^LÉ&ittall pendant
de beap vg vage, qu’il viejafcfle faire dans le territoire d’A r-
kansa : il enâ envoyé un échantillon en fleurs à M- >M©rcier
qu|^a bien voulu me permettre* de l ’étudier. A la^ppemière
vue on mbésite point à dire que c’est une, e^pèçg de ^e^ira-nc-
fe a , mais très-distincte de toutes les autres. Quand on»Lure-
garde plus. attentivement, on voit qu’elle a plus .de,rapports
avec le Desmàntfyus par sa fleur 5 et cgmme sa gousse ppt „encore
inconnue „».il est impossible d’affirmer si elle doit foçmer
une section parmi les Schranckia ou parmi les-Besrwantjkugy
qp ,plutôt conslltuer un gjenre; distipet de l ’un et dpd’autre.
Ce dernipp avissemfde mot|f © sur ce qu’elle a lf»pqrt d’un
Scfirquckia, les étamines stériles et pétaloïdes du Desmanthus,
e t q u ’elle diffère de l ’u n e td e T a u tr e ^ e n r e par sa fleur
àvq ü a tre lo b é s et h u it étamines. La connôîssance du fru it
pourra seule résôudrdUé doute que'je. consëfVe encore, Si là
g o d sse /ê st analogue a cèlfe d î f b , © ést-à-dire à
valve's susceptibles de se c’ôupêr en long- p ar le milieu*, cette
Ip u a te d ev ra former une section? dans^ce genre ; âi la gousse
;ifpt à valves e n tiè re s, à la façon cfés Desm^ÊtpMs, elle devra
constituer parmi eux une n o u v e l!^ se ctio n . MSis comme le
g en re ' I^esfhan'tftîts |four|uff,bien u n jo u r etre divise, notre
nouveau groupe? s u iv r a i soUf'silttr'Je’ie d é d ira i provisoirement
comme u n ^ fen re p a rtic u b e é | àinsi qu il suit :
LEPTOGLOTüTIS |
Flores^ olÿgamj. Calyx colôratus 4 p e r^ tiv a tio n e p i
valVatus. æ&finîa.àuÆ ütdla?^&pn cadraa)V SîajnwA A
filamentis‘liberil^ in florilîus inferio^ibas’li^ ^ ^m jB p S ip laB ^ Ste-
rilibus, in
filièîiftiiis. Ïæ g t j otum • —Heeba^ ertfcnT, g lab i^’al^eig^parYis
u n c în a ti^ s^S c S m petiofos peSunfculô^quiaborMda. iSTiPrt^^m-
-b u î& .‘'^ i A b ip ^ ia ta , p in x ^®M |^ g is fo li^ lis multijugïs, o&»
M M iMcronai^ ^ ubtiis nervis ' pabeis ana'stomosantibus elevatis
dàstànotè et singulari-nfod® rCticn-latï^^Éfl^i^axffia'tes*' sesqui-
^olitar^CAplT^^lebo^a*. G&aus affine
Wohr^anckioe^ èx acnlfeis et hâMtu, De&mantho sterilibus
ligulæfoÿiiajjjfous, ab utroque^di^ersùmAord}us.4-fidis ^stémonibus,
.sàd jru ctu ignoto dubium.
^ • « L . ÿmï'ù.ii'. ? Hab. in Americæ borealis territorio Arkansano.
(-V. S.pn hêrb. Mercier- )