
hi Tin MÉMOÎËf?
les genres. L ’ordre dès Légumineuses étant un defp-pip qui
présente,^ plus de-'<Ji^çrsités dairjs’ la germiOàfion "des plantes
qui ïé constituent, et ïçe! phénomène ne pouvant, dans pluj^;
sieurs cas, influer; sur la classification , j ’âi ' cru ‘’devoir présenter
ici’txn aperçu dé l’histoire de||es plantes u |||||re première
époque de leur développement. Gomme mon but est
essentiellement Ë’am^^ifrfla valeur de C(fs Æàc®es’*^ous
le rapport taxonomique, je laPlIpraue côté toutfglqui tient
uniquement àlp physiologie : l’opinipn que, p^cetjexexi^l'e,
les botanistes pourront W former de l’u tïl^ ‘d’un travail do ce-
genre , me servira de motif jpour. corMplçtê.r^Ot puhlièr en
détail mes matériaux J&HV soffGpîgés de <juol<i«e pvi\,.i»u
pour attendre que leur valeur ait été ,portée au point wFnTiïêr
setdément des considérations "générales. Je me propose., dans
éëMémoire, i°. «Éëxposer l’histoire générafeïde l a n c i n a tion
des Légumineuses ; 2© de déduire, de là leur classifièar
tioïTà cette époque de leur existence; 3^ d ’exposer en détail
lë=«développement d|s>Léguininèuses^ef’ai Observées; tjfe
/suivrai dans cette exposition l ’ordre f c tribus qüej’âiâdop-
tées , quoiàjire eet ordre lui-même soit, a quelques égards T
une'conséquence des. faits recueillis sur la germination.
h e. P A R T IE ;
Description des Légumineuses- a,TèpoaUe :de„ leur germination.
Me référant àla description des gràipes des Légumineuses
exposée dans le premier Mémoire , je dois me borner ici a
l ’acte de leur développement.
m?,
graines de Cette famille io lt l’un dp
ç/ëè-iiè qui offre* iJ^$jj>'pa®enGe lai plus» du>rpf-et da moins per-
méable ^ilIfeffre^Gfependaiit' à un haut degré-la faculté d’ab-
sorbelsd^qndrddléiandîian^^te^ésuiS’iS'e^i, pour déterminer
dérouté;que l ’eau suit dans son'absorption;, du même procédé
squ.e&PoncelehindiqUe?dans sdnhisfoire du Froment-; ilayOif
^ u ^qurndorsqu’on enveloppe un grain «de blé d%cir„e4m‘0lle en
laissant la* cica^ripule senlc à découvert, le graimgerme comme
à 1’,ordinaire«; maisrque si"- pn^èêfivre; fer cicatrtdulëldeï c ir e , et
. quon^afls e -Ife né*, I tic dcd’^^ïLfar f à di:( om ert -, .le pi ai ni ne‘
g«& 'éj0:s?l>yèoù il avoitmpaa^a^j^Uaison, que 1-eau' pén^jtee
.dans la graine par la» (âèptricule. Lorsqu’on pépèteHa même
lê^périohQe-^|æe^4e? ;^ amesa-d^;'Pjoisi,i dur|’*è#eêsff de Hari-
cpts^iÉteûf ;on,,obtient le^r,ésulf|tfe inverse ; sa^ o i^ que si on
VçOjayrr la- eicatriGuj-e,et qu’onf baisse fe..restç-,; àr.déçpUyfert, la
-'germjnatinitéa^Li^'Gomma à-1;’ordinaire , • tandis qu’elle n’a
pàsijl^tsî on eopi^re la superficie* en laissant la eicMricule à
riq^|fenç^b^^ïçU6re dans les graip.es’ de Légumineuses par
la .supipficie du rtestjyjet non. par la Gïcatriêule? * 1
. La différence frappante qui gp fadt remarquerfiei entre les
Graminées ,$et les Légumineuses tient-elle à la nature réellement
diverse .du .te^j.de^gppmes', ou que; nous- comparons
réellement deux.prganes différons;,,car la superficie du
grain de Blé ^ ^ u n véritable péricarpe, soudé a v ^ la graine,
tandis/pie. celle du-Haricot est un véritable te s| Plp
. Lorsqu’on place des graines „de Et^ tfdu, d’une autre grosse
graine de Lpgumine usé dans „de l’eau colorée en rouge par de la
. Cochenille, l ’eau pénètre dans le sper'modcrme avec sa-matière
colorante, tout comme elle pénétré aussi colorée par les spon