
feuilles primordiales alternes. Ce dernier caractère distingue
les Viciées du petit nombre de Pbaséolées dont les cotylédons
restent sous terre : celles-«! ont les feuilles primordiales opposées.
L e Çécer■ arietinum a les cotylédons souterrains, très-
épais , un peu échanerés à leur base, de manière à former
deux petites oreillettes récurrentes assez prolongées • la tige
est droite, cylindrique; les premières feuilles alternes, ailées
, avec deux, trois ou quatre paires de folioles et une terminale;
les stipules et les folioles semblables à l ’état ordinaire
de l’espèce : cette germination est remarquable en ce
qu’on y trouve les feuilles ailéesavec impaire ^ v®y.. figi
Les, Fem&s^ dont j ’ai observé neuf espèces,, et iljpppstël,
ont aussi leurs cotylédons cachés sous terre : leur tige sMilve
presque toujours un peu anguleuse, et porte deux feuilles
primordiales réduites à une écaille embrassante qui représente
la base du pétiole : dans la troisième fémdlle le pétiole
s’allonge, se termine en une petite soie, et porte deux folioles
opposées, comme on le voit dans le Noetbom.ensis
(fig. 74-w ) 5 Ie Bithymica, le F . Faba et le FÆyricbG®,:
quelquefois les deux ou trois feuilles suivantes ne porté™!
de même qu’une paire de folioles, comme p a r ‘exemple;
dans le F io ja - N issoliana : -quelquefois , au contraire v,fon.
trouvé dès la troisième feuille deux ou trois paires de folioles,
comme par exemple dans les F ic ia <vrtio6dàftd i^lîg.-p§i)‘,
BvnghatenÉh e t jmgpjj Dansles feuilles primordiales
réduites à une simple é c a ille , on trouve souvent les
deux stipaleslatérales qui sont un peu sondées avec le pétiole,
et donnent à l’écaille l ’apparence tritide.
s offre entièrement -les mêmes phénomènes
que1 les- Vicia : ses cotylédons sont souterrains , sêS' deux
fouilles primordiales alternes et squamiformes ; les deux
suivantes a nnç'païft àéjfolioles. Ainsi, par la germination
comme pj*r la fouctilMtiM',#-geWe: Fiyùni n’est pas sensiblement
distinct de$ Fiâid^voy.. 'figi^^^S’ É
J ’en dirai tout autant du genre Pisum, pourvu qu’on le
débarrasse du P. &ùhrus qui est un vrai hàthyHis par sa
germination les P. sàtwùm et ârvense ont les cotylédons
souterrains ; la.tige droite ; les feuilles primordiales alternes
réduites, lnoetinférfoure* à la base du pétiole*, l’autre supérieure
formée de la base du pétiole etaiies? rrahmen® des deux
stipules qdi sont grandes;? foliacées et adhe'rentes au pétidie
par- leur base seulement ; les trois et quatrième feuilles ont
une-paire de folioles, une paire de stipule® foliacées et un
péfe|ole terminé' en söie sô>vènt ^èz,allongée fdoy. ,-figv jg ).
.^Lqgfcttyîédons de tousses Fathymtsées lent sons, terre dans
le i speÈrnoderme”; la tigè^’élève un peu anguleuse et porte
de^i feuilles primordiales, mais cell'Qs^il^e nfeséUtent sous1'
différén&.~r Dans la* plupart d ^ s | è % telles
que les L. \hirs$éi?s\ a n è y i M c a r p o s îetc.,
les deux-premières feuilles sont réduites à la base du pétiole,
tantôt simple, tantôt tiifide à cause des deux stipules latérales.;
les deux suivartiesont une paire de folioles, ^une paire
de stipules et un pétille terminé en soie comme dans les
Pisnmt dt la plupart des Fièia^wef^ fig: 1
ptosâea®s«sffcèr«^fes^ae leM ^ k m s ^ e F'i-ar-
tiGulfytus, e tc ., les feuiUes primordiales so n t r é ê u ite s à un e
écaille, simple , trè s -p e tite , et -tes su iv an te ^ ne p ré sentent