
qu’on ne le retrouve pas i c’est qne l ’avortement a eii lieu
ayant l ’époque où l ’ovairejsst susceptible d’être analysée
2°. Les valves peuvent être ou planés et parallèles, ou plus
ou moins concaves ou courbées en carène. ; caractères qui dé-
terminent les formes apparentes des gousses.
Mdtâr Les sutures peuvent être tuméfiées et comme repliée#
à .l’intérieur, ce qui détermine les gousses à deux loges-séparées
par une cloison longitudinale ^ pan exemple dans les
Astragales.
4°. Les vafvfBf.peuvent-être continues dans toute leur longueur
f ou articulées en travers de manière à produire les
gppsses transversalement articulées | comme daùs les Hédysafe
réeSij, quelquefois comme dans
changent en„ nodosités, e’est-à-ffire en neends épais où l ’on
pbser* dès fibres ;<®çâ^ées,, et qui séparent la gousse en vraies
loges transversales.
• 5°. Entre les graines il se'dévefoppe souvent de fausses
cloisons transversales membraneuses formées de tissu cellulaire
, qui divisent la gousse transversalement: en laides eom-
piettes ou incomplètes* mais qu’il ne faut pas confondre avec
les articulations ouïes nodpsités^qui nersont que-desarticu-
lations indéhiscentes: c’est ce qu’on observe dans plmsieurs
Gassiées , et dans quelques Phaséolées.
, f£". L ’intérieur de la gousse secrète quelquefois des sucs particuliers
ces sucs sont de trais natures , savoir aqueux,
très-acerbes, astringenset présentant les propriétés âcres et
nauséabondes de l ’extractif, des Légumineuses au plus haut
degré, , comme par exemple daps les Sophora et les Qiedïtsia
à fruit p u lp e u x .Y r a im e n t de consistance pulpeuse , de saveur
douce e t sucrée, de couleur rousse ou brune, et toujours
doués de piM)prie,tésalaxativeS^ tels sont les sucs de la Casse, des
Iwgcù-, etcl'-S^. -La logé interne de certaines gousses, comme
celle , -renferméam-sttç balsamique, odorant,
volatil, extStMit ettrès-différent par sâ nature des préeff
dens. Il est vraisemblable que ce sont des organes divers de
l ’intérieur dît fruit qui secrètènttdes sucs si différons, mais
onteé peut lesdétermiÉer a^fec précision«Xi li
con^istâncè'ides1 valves est presque toujours foliacée
ou membraneuse | mais il-)ÿe présente cependant quelques
exceptions à>eèttfe lo i , ét&rl en résulte dés fruits d’une apparence
singulière. i Ainsi tâiÉtéÉpùffeùffteréài^èliÉire ou le péricarpe
devienffi^plci^ou moins dansson ensemble .)
comme paruimnple dans ]el(Jei£siS.jftstülux ^ tantôt lérnéso-
carpe devient épais , charnu , plein d’uné espèce de pulpe
acide et laxative , commedans lèjTamarin, sans: que l ’endo*-
carpdjét^ëpiKsarpeî cê®eù#wetrë? ’a peu près membraneux :
cétte dhafîr du. mésocarpe: à , dit-on , une consistance- te r reuse
dans le CodMrücm, et c’est aussi le mésocarpe à demi
charnu qui lorme la partie mangeable du fruit du Caroubier
5 tantôt la face interne ou l ’endocarpe seul dévient ou ligneux
ou osseux fl et alors il arrive en même temps que le méso-
carpe defpdént plus ou moins duaMé^lai^i les fruits du Q&ùf-
frmtL\ du "G&i^épkà^ db^dDetaiwium sont des gousses: par la dis-
positionde- leurs parties -et des drupespar la consistance de
ces meures parties. Mais les vrais drùpps-des' Amygdales ne
sont pas autre chose. Quand on compare les fruits des Légumineuses
ârupacéeùet desRusaeéesdrupaeées, il est absolument
impossible d’y trouver là moindre différence, ni dans