
^^v-dbes'éspèoesià feuiMés<trifoliolées et 4à pëd»e|les axillaires
uùiflorestelles que les Rl kngâêûfôMà^ ^l&rMulosa
Jo#<*et'7x^^é^vtoutesori^Haïresdu€lap(ie BonnérEspé-
rance , et fort semblablesëfitre elles % Ije G l^iim éneÆ s^ originaire
de 'Guin'ééjése- rapporte aussi tà cette ‘division;* ’
Gèlles-dèïât les feuilles sont très-brièvemént-pétiolées et
à;trois »folioles presque pa-liisées^ ou très-près- de partir'fen-
\sentble du sommet dupétiole out d è s^ ^ ^ ÿ^ u lfe is -
céanx de fleurs axillaires. Leurétendârdfest eGuvert en dehors
deJ>oilsteo^feux ; leurs tiges mjp séùt pas griiftpantes^ièfloiïne
à eette section le nom tf Krùïsema $ et j e dïe serois pas surpris
qu’étudiant sur- des échantillons plus nombreux et plus eom-
plets que les miens, elle nenlcvînt le type d’un genre particulier
; jg’ést léi que je rapporte qui eit lè
^^/àttJ ^i^^aeewJid’Àublet, les' ^i r u fa , d ifflisa , crinita
puhh&üa c\ sitnpUôifaUïa qui correspondènftaux G%jpé:$ÈÉÉp
mêwfes noms spécifiques de M. Kunth; le Æ\«je#^^b5^qui
estl Poiret*, et le KvpsërulmdM^ qui1
est le C rotalaria ps&ralmdes de Lamarck. Toùtesceaespèees,
originaires d’Amérique, ont un port qui leur est propre.
Les principales espèces inédites - àe Rkywêào’éïa- que je
possède sont les suivantes. ||
: i nieTÙgpermëidem Tab.
Cette espèce est originaire d’Acapulco où elle a é|é découverte
par Née : j ’en possède deux échantillons, un provenant
de l ’herbier de Thibaud, et l ’autre dun envoid e M. Lagasca.
La tige est grêle , volubile, anguleuse, couvertes surtout
sur les angles de poils courts, nombreux et rebroussés. Les
feuilles sont écartées, munies à leur base de deux stipules
ovlle s, persistantes^ 'étadéès, un peu membraneuses rous-
sâtres. Le pétiole aénteufiiifgn^de longueur; iLeSt presque
cylindrique, un pfu calleuüKu sommet, et garni de poils
courts , nombreux, étalés ou un ppu rebrousses ; le limbe est
réniformë, échanw&à sa base , èBès-:obtus ,i large de plus d’un
pouce- survhuit à»neuf, lignes derlf-çgeury pûbescent sur les
deux -suéfacetS,-marqué en. dessous de nervures*nombreuses,
relevées #,rameuses ^-rétiGùléesvLeSfpedoncules, qui naissent
des aisselésS'sm^plus courtsiqued.es«pétioles-, ét portent trois
à?, six fleurs -brièvement pédicellées^les) calices sont pubes-
cen's., divisésiaur^elà du xnilieù^ù lobes lancéolés, acumines,
à, trois., nervures^î-La ; corolle ne dépasse pas la longueur du
calice ^,la gousse*est,sessile , pendante,, comprimée, ovale,
lancéolée, pùbescente une ou deux graines.
^ xM^npkmi'afplmetaia. -Tab* I
-^Geéte plante-est originaire'de Cayenne où, elle a été recueillie
par jVl. Patris : j ’en ai vu aussi un échantillon provenant
de l ’hetbier de Yahl, sans|désignation - de patrie, et
Souple nom ide.JQlfrtxne littovedis. ;
Sa #ge ressemble ,à celle de la précédente, ; c’est-à-dire
qu’elle e^grèle*, volubile r anguleuse et garnie sur les angles
de poils! courts , mois et rebroussés. - Les stipules- sont petites
, caduques,? lancéolées et prolongées en pointe aiguë. Le
pétide porte trois folioles dont deux opposées, situées vers
les trois quarts de sa longueur, et une terminale écartée des
deux autres ; ces folioles,sont ovales y arrondies, terminées en
pointe, presque rhomboïdales, légèrement pubescentes sur les
nervures des- deux surfaces, mais remarquables surtout par
les petits points noirâtres ^arrondis et glanduleux,, dont leur