
®Îï»iéb eri étudierons ledévefoppement dams le mémoire suivant.
" Tels sont lés caractères génér&axdes Légumineuses que j ’ai
félhits, je dois le répéter v à<leurs plt»S simpMs#*pressiohs ,
afin d’éviter la répétition de tous les. détails qui sant,&ôüf-
doma.es dans la dissertation de M» II. Bronn, a laquelle je -me
réfère four tnutee qrn n’ès* f i s èn oppositionmw ies-prin-
-cipCS gênértéuxque je viens d’indiquer.
D E U X IÈM E MÉMOIRE.
DE LA GERMINATION
ÔKS LÉGUMINEUSES.
,£ i s graines ont été bien étudiées sottsAé rapport anatomique ;
la germination l ’a éfll avée soin sous le rapport physiologique i,
mais on a rarement cherché à lier les caractères des graines
leonsidérées dans leur état oarpolog^que «veetes formes qu’elles
revêtent dans l ’acte de la germination. Depuis plus de vingt
ans je®ne suisnccupé de.t^îsrtjet qui m’a paru avoir de l ’in-
té»ét r Wûit sous le rapport de la classification., soit sous celui
de la physiologie, soit même pour la simple connaissance pratique
d elà culturelles jardins botaniques.' (Test dans les semis
faits jadis l|a.' Jardin* de Péris e t sültodt dans ce\& *que j ’ai
moi-ipême dirigés dans les Jardins de Montpelliêr et de fie-
riève, que j ’ai eu'occasion d’examiner la germination de plus
ie urs Inilliers d’espèces , et que j ’ai décrit et fait dessiner
graduellement toutes ^ u e s q u i m’ofïroient quelque intérêt.
Chaque année je continué ce travail et je cherche à compléter
cmn®. collection, au moins en ce qui concerne les familles et