
t$i MÉMOIRE,
dé fcrmïf'idljà presque, semblable *à celle des Leuilks, et n’en
diffèrent que par leur petitesse j elles_sont, à proportion ,
niOinsE-larges et moins courtesf(rç®yr fxg.^62’)ïïv *
L ’immense genre D esm o d ium , dont j ’ai, observé ^espèces
en germination (voy. pl. serecon^ît-assez
bien parce que se^'dettxÿpremières. feujdlés^fi|pHié^WB
tiolées , simples'et exposées etlsoiat^et rapport il a quelque
analogie aveedes Phaséolées : ks-cotylédons .sont ,un peu
élevés an-dessus de -tente-,‘'.pres^ifi^tous’ ovales, obtus aux
deux extrémités, et munis d’un pétiole si court qu’on pom>
roit presque4e\passer souf-silence ?:- dans les^spètytyèhs'eri-
ve'es , savoir : les D . ty r a n s ', a la tim i, G arigeticum et C a-
n a d en se, et cinq dont les noms d’espèce sont douteux, la tige
se prolonge au-delà des cotylédons, et les feuilles primordiales
sont par conséquent distinctes des séminales par un intervalle
prononcé : ces feuilles sont pétiole es s bblongûes ,
presque-linéaires dans le JJ.-g y ran s, ovées dans Y a la tum ,
obovées. ou agrandies dans le * G an g eiicum et le .C anadeM e;
les-feuilles suivantes sont alternes, simples ou à trois folioles.
Les vrai s H ed y sa n a n , dont j ’ai observé VH . coronariuin
seulement, ont, commeles D esm odium , les feuilles primordiales
simples et opposées ; mais elles naissent immédiatement
au-dessus des cotylédons : en quoi ils se rapprochent
des' 'Jlysicanpm , mais ils en diffèrent parce qu’elles sont
longuement pétiolées et les cotylédons ne présentent pas
non plus trois nervures saillantes (voy. lig. 69.70, pl. i 3)-
Dans les O n ob rychis les. cotylédons naissent presque immédiatement
à fleur de terré j ils sont ovales, obtus, sans ner-
y ures , et à pétiole très-court 5 les feuilles naissent immédiatement
au-dessus/desjéetyiédons comme datis Y S e d y scutum,
et priées >s<i!ir de lor^sk^éti^lty kntôt eUnnoeie dans YO\ Pal-
lasiiq la.premièrecèst rsimple et OiVaAè^^et alors la «deuxième
seules êbmmenoè à produire \;e,ne petite foliole latérale très-
voisine de la terminalé ^tantôt comme dans l’Q&S&pût gdlli,
YO.vsaùu’a et JéjÉL shoccuti^s.und dÿ^feuilks primordiales est
simpl.k ii^lili^^e est déjà' à trois ; fâlâolesrnaissankfOu au sommet
,^e©m.me dans le fig. Tifij^^pu:l’impaire
écartée des autres connue dans le Gap u t g a lti (voy, fi g. 7 fV
Dans ces cas la troisième ou quatrième feuille est déjà ailée
à deux paires de folioles et une impaire. Dans la plupart des
O n obrychis la graine ou même la gousse reste en terre ou à
fleqr&de, tèrre ^«hfiMéfpar. la «plante, prèsgdu collet* >■<,
Enfin les.Despedeza^ dont j ’ai vu deux espèces germantes,
ont des cotylédons ovales, obtus, munis d’une nervure longitudinale
: les feuilles primordiales sont alternes le long de la
tige, et un peu écartées des cotylédons. La première est simple,
obovée, un peu écliancrée ; les suivantes ailées à trois folioles
obovées ou ovales. Dans leur premier développement les’ fô>-
liobs-pendent veæsila «teroeg (àpkj|^,;fig
Laftribu;des ,^^nt j ’ai obseryétyingt-deux- espèces
distribuées dans les genres qui la composent, se distingue,
quant àjfsf^germiaaation , (emictytyqne fefirs -cotylédons sont
dpais^déceiorés. jJéppurvtis« de,Is tomates, e t s restyqt cachés
sôu§, terre .«fc, enfermés^tyn s -le spermoderme ;i^;l ’époquerde|
lei^:gejÉnination,îida jèune^Jigf^sç^t de-ferré,et, porte des