
sait quatre g r a in s ^ Au moment où % avaient acquit le
plus de volume parfa germination9>’ai trouvé qu’ils pesoient
en moyenne 8 grains.* Au moment où ils tombèrent, ils ne
pesaient plus- que o de grain -7 donc ils ont acquis pendant
la germination 3y3®yils ont rendu a la p lanto^aS,
c’est-à-dire les 3 y8o absorbés yet 3 ,45 de leur propre substance.
Les cotyl&lons foliacés, au contraire, contiennent peu de niar
tière, mais élaborent la sève qu’ils resçôi%èht à la manière des
feuilles. t ' '
11 existe des-gradations naturelles1 entée les cotylédons
charnus ou foliacés ^ ainsi quelques genres à cotylédons foliacés
les ôrit?a$sez épais pour qu’ on puisse admettre que ces
cotylédons renferment un peu de nourriture et présentent en
même temps quelques stomates qui leur donnent la faciîlté
d’ëlabo^è une portibU de l’eau fu ’iïs foeoivent M g jg '<*
qu’on observe dans les cotylédons"des Chiùrm et des Q:^ m e
parmi l<p Luté#; des Foira cziiiùù , du Poerhms&ni(â$bt mêmè
du TaÊarmtMs, parmi lw-Getesiées. CeS cas^btérmédiaires,
quoique peu nombreux, m’ont empêché de donùer aux caractères
déduits de la germination toute F importance qu’on
pourrait leur attribuer au premier^eoup d’eeil.
'Les feuilles sêminales des Légumineuses, e’!est>àIdire les
cotylédons développés en feuilles, sont presque toujours glabres
: je ne commis d’exceptions à cette observation que dans
le genre Oraorar>, où ellès sont pùbesceïps r au moins en
Les cotylédons des Légumineuses, si on considéré 1 épaisseur
, sont ou linéaires, conime dans le Sêcrrpiuf1&$^nQ$k
oblongs èommè dans* lè Mç'dmago , ou oYales comme dans
la plupart, oupresquearroudis ©©mm# dans quelques Qzipms.*,
ou écbanqrés jen coeur. à la bfsg comme dans plusieurs ALimo-
sées , «ou -éobaiacrés fortement à la base $n deux lobes pudés
au dessous du point »d’atiaol^.^'^jpj^^î^re pelles-comme dans
l ’Acaoia d’e^pfce^eonnuêAjM^.présienté, fig ; xp,% Considérés
dans leur direet-iont ils.-sont t@ujours oppps^, : j e n ’ai trpuvé
à »eatte loi qu’une exception enti.èremen± accidentelle dans
le Tamotrindus où j ’ai vu une fois jLe§ cotylédons njtejnes.
P|@y. ;fi-g. -irt«Ta3-U'â ^ »ès .cotylédons -opposés soyt quelquefois
d^tés* d’un,pa.ême phénom|fie. .égjjt fqrqé jtoutps les
fois qu’ils restent«et|fermés.dans le-|permod$rme.Gomme dans
les Wiciées : on fp ^ p ^ u ^ ^ n s -q u e lq u e s , cas ^ù'àl8 | | É Ék
bres, comme ’dans HMèimus.(-figé m^me sUn dans
les; Astragales. - -.. •
..-La gemmule qui s’"élève rdffpt^.Aos^^otyftédljn^T^e composé
d’n » . Ifige ordinaix^mèU'f pnique , é |^ |p i ï^ ^ d déjà.fou-s
ies.caràotèresde la üge^ordinaire : dle*e&t^ sqlou?lcs .espèces,
oudroite, =oiu (couchée, GtOsVolubiilç!, anguleuse.ou cylindrique,
glabre, poilue ou ^épineuse ,sefo^Les jpremières fouj^lps qui
diffèrent ja plante,
etisènt des espèces* dJ^fots transitoires des -pqtyjé^ms .aux
autres feuilles. àiiris^elles sOut fréquemment kppjiMéesda où
les autres femMe|^seroritt altèFnes , par (eXqnplejidans fos lla-
ricOts, les Htedy'qkrum., l e s s i m p l e s ^ f ù les
autres rseront composées, par exemple dans les
YMnt&dei ’,.-l^^^z^lçteiiaMais i l fapt observer que qiarmi çes
fouilles primordiales* en apparenee.simplas,il y a ncèllcmçnt
plu^éfÉçs 'ïorganisations diverses,.: les <uncs/8©nf|des, tfudlcs