
parce qu’il a une priorité de qutelquési méis. I?Üo'it parce que
Diodes n’est presque connu que pour avoir désignées Haricots
sous le nom àe-D olichost H
- Des Dioclm. ont le calice divisé au-delà du milieu en quatre
lobes acüminés, dont deux latéraux‘pkfsrétroitsyleur étendard
n’arpoint de callosités ; il est oblong et réfléchi*; lés étà-
manesïsont ou diadelphes^ onia dîMîemë "ii#jpéü adhérente.
Le stigmate test presque en forme de massue ; ïla. gous'sé' test
linéaire, comprimée, polysperme, munfé/des dèuX’cotë&lïe
la sutureÿid’un bord étroit ef--membïaneux<; les ’graine^? ont
la citeatricule linéaire; Les espèces de ce genrè SèMtfJM'gneuses,
volubiles ,fà fleurs rouges-., formant des grappeS'peù fournies,
axillaires; etqfbrtées sur des pédoncules* três-adildnlgés :
Les espèfeestpe eé ghMtersont \e D olichos ruber eX^awt-
être le D . de Jacquin, les :D io 'èl& ^ s^m Ê ^ ^ ^ p itrensis
de Kunth, et une espece nouvelle que jte* désigne soilS
le nom de D . Bertetrixma.
9. -Y1GNA. ! .
Ce genre réparé du D olichos tout récemment par M/iSavi^
est caractérisé par son eaKcë à quatre lobes1 dontdé^ttpfe'rïeur ;
composé de deux soudés, forme une:lèvre, par son*étendard
muni à sa base de deux callosités convergentes fffiH !sés étamines
diadelphes, son stigmate barbu, sa^gousSe teylindriqué,
courbée , à “graines presque globuleuses -, et par la gaine qui
ceint le pédicelle de l ’oVaire. Ne connoissant pa» par moi-
même la seule espèce qui le compose, le D . liètéolus', je
doute encore si ce genre mérite bien réellement d’être cônservé.
10, DOLICHOS.
Après toutes ces éliminations reste, le véritable genre D o lichos
qu’on distingue à son calice à cinq dents, dont les deux
supérieures sont ou rapprochées ou un peu soudées, à son
étçqdard marqué de- deux ou quatre callosités divergentes ,
à s.aqa$ène; non ntontillée ^ courbée, à angle' droit ; à ses éta-
mi|^^diadelpbes$là son sfple? comprimé, barbu on dessous ,
à.sa gg,u,sse linéaire, comprimée ÿ bivalve, ne-portant ni ailes,
,tubercules , <ftg&»àdes;gràinës ont l ’om-
bjliG^oyal^- àssez petit^ Lés espècesdeiçèi genre qui sont encore
au nombre de quarante?ff|FQis sont la. plupart volubiles;
mais b^ur port effrejassoz de; différences.. Elles se divisent en
deux grandes ï^gtiftans.! .
qui ,dmt : la gousse; icomprimee et terminée
par-un style court.. , •
^sâf.^LèstPafiamg, qni ont la gousse cylindrique^ à style
Court. '
3°. qui ont une goussopresqïieôylindrique
, toruleuse, se-terminant par un slyle crochu, déprimé,
calleux , offrant une petite cavité. çn sillon ou en
cuiller dans la partie concave.
•_Je ne s,erois pas étonné qu’il y ieûf encore quelques espèces
à sortir de ce genre dont on connoît mal en 'général la fructification.
M. Savi a-commencé à »s'occuper des D olichos et des
Ph&m çlusavec un, soin;particulier^ et a publié deux excellentes
dissçrtations à ce sujet. On ne sauroit trop l ’engager a
poursuivre Inèsutiles recherchés» , et à joindre à ses précieuses
descriptions le plus de figures qu’il'lui sera possible.